Patrick-Roger-Pierre Chéreau.

« Ganja et Chevrotine »

Né en 1953 à Madagascar, Patrick Chéreau a terminé ce roman après une vie professionnelle consacrée à l’art dentaire. Il s’est nourri de poésies, de chansons, de musique, de théâtre et de lectures. Un de ses amis le qualifia de Monsieur Emile, « trapéziste dentaire ! Il se définit aujourd’hui comme un écrivain en « herbe » .

Ce roman est né sur un cahier de brouillon où l’auteur avait écrit ces trois mots « Ganja et Chevrotine » (Couverture) après des mésaventures policières de deux adolescents…l’un en garde à vue pour consommation d’herbe dans les ruelles montalbanaises, l’autre pour port de fusil illicite dans les campagnes quercynoises…

L’histoire s’est détachée de ces évènements devenant un polar « ethnologique » au ton décalé.

"On devrait pouvoir quitter Montauban…

Un militant écologique improbable est dézingué pour de vrai. On retrouve son cadavre dans les coteaux entre le Quercy pas si blanc que ça et la plaine du Tarn. S’agit-il d’un accident, d’un assassinat ?

Basile C., commissaire, petit homme ordinaire, s’apercevra qu’un trafic de drogue bien particulier, les « go-cool », vient troubler son enquête. Et forcément, tout cela dérange un tueur mégalomane au bizness original de ganja (cannabis, marijuana). Basile, plongé dans les arcanes des cartes à jouer, hanté par les fantômes de la pop music, en sortira-t-il indemne ?"

Ce roman a obtenu le Grand Prix du Roman 2018 décerné par les Gourmets des Lettres sous l'égide de l'Académie des Jeux Floraux de Toulouse. Format broché 21x15,  190 pages, Les éditions du Bord du lot. www.bordulot.fr , Ou à commander chez son libraire…

Paroles de lecteurs :

« …un univers chargé, épais, lourd, glauque parfois. Poétique bien sûr. Des personnages attachants, une intrigue dans laquelle on entre bien grâce à toutes les infos sensorielles ! (les cinq sens, même plus peut-être !) »

« …J’adore les références musicales… »  /  « …Un ton décalé, parfois potache… »  /  « …J’ai le sentiment que raconter cette histoire n’est qu’un prétexte à jouir de l’écriture… »

Patrick-Roger-Pierre Chéreau.

« Ganja et Chevrotine »

Patrick Chéreau nous présentera son premier roman « Ganja et Chevrotine » lors du festival du livre à Monclar de Quercy.

Ce premier roman, un polar atypique, a reçu le Grand Prix du Roman 2018 décerné par les Gourmets des Lettres sous l’égide de l’Académie des Jeux Floraux de Toulouse.

Clémence Isaure aurait-elle pu écrire comme un des lecteurs de ce livre ? « C’est un roman joyeux et réconfortant. Pourquoi ?

Parce qu’il n’est pas toujours politiquement correct, parce que l’humour y est souvent noir, parce qu’il y a une observation de ses concitoyens avec un sens aigu et parfois impitoyable, peut-être aussi parce que j’y retrouve Montauban, le Tarn et Garonne. Parce qu’il y a des images que j’aurais aimé créer, le banc froid du quotidien, la Camarde qui fait de l’auto-stop, et bien d’autres… »

Une sombre histoire de drogue, la « Ganja », sur fond d’écologie, et un zeste d’agrobiologie nous promène dans les décors de notre petite ville de province et dans les coteaux d’un Quercy, pas si Blanc que çà !

L’auteur raconte volontiers avec humour la genèse de ce roman, les mésaventures policières de ses garçons à l’adolescence.

Il rajoute :
« L’écriture a toujours été au centre de mes passions. J’ai longtemps couru après les rêves, faisant le tour de la Terre, et forcément, l’un d’eux, le plus rapide, m’a rattrapé. Il m’a tapé sur l’épaule : Je suis là ! »

Aujourd’hui, il écrit son nouvel opus. Gageons que le challenge du second roman soit réussi !