L'informatique c'est comme une flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire....Christian Flages.

S.o.S : Eglise Saint Pierre de Dieulivol.(33)

Dieulivol est un charmant village de l'Entre Deux Mers, sur lequel veille une petite église romane. Le nom de la commune « Diex li volt», « Dieu le veut », remonte à l'époque de la première croisade prêchée par Urbain II.

 L'histoire de la commune, celle de l'église, viennent d'être mises sur Internet par un enfant du pays, Benoît Pericaud, bibliothécaire à la Bibliothèque nationale. Clicla

Certes, la création, de ce site a été voulue par son auteur afin de contribuer au rayonnement international de sa commune, mais aussi avec l'objectif d'alerter le public et les autorités sur le devenir de l'église. 

Construite sur une falaise que les pluies effritent, l'église classée monument historique qui se retrouve aujourd'hui à l'extrême bord, est menacée de destruction. 

Il faut consolider la falaise.

Mais depuis 1987, le maire de la commune Jean Jacques Goulard lance, sans succès, des appels au secours. Il a frappé à toutes les portes, l'Etat, l'Europe, les fonds publics, les fonds privés... 

Le Conseil général et la Conservation régionale des monuments historiques ont accepté de financer une partie des travaux. Et quelques privés (dont des soeurs bouddhistes du village des Pruniers) ont fait des dons.

L'église a besoin de mécènes.

Cependant, le maire confiait à « Sud Ouest» qu'il lui fallait encore trouver entre 80 000 et 75 000 Euros, une charge beaucoup trop lourde pour une commune de 269 habitants. Naturellement, plus le temps passe, plus les risques augmentent et plus les travaux seront coûteux.

Le site créé cet été par Benoit Penicaud pourrait donc contribuer au sauvetage de l'église, l'avantage d'Internet étant son universalité.

L'internaute y lira tout ce qu'il souhaite connaître du village et de l'église, photos et bibliographie à l'appui.

L'auteur, qui a l'intention d'en faire un site évolutif, une version en langue occitane est en préparation, espère que les habitants aideront à l'enrichir de leurs souvenirs et de leurs témoignages. Et espère aussi qu'en la faisant connaître au-delà des frontières du Sud Gironde, l'église de Dieulivol trouvera des mécènes. 

Agnès Claverie
Sud ouest du 3 novembre 2005.

Atau l'an contat

C'est comme ça qu'ils l'ont raconté. 

Un livre et un CD. Ce livre CD propose une sélection représentative de la richesse linguistique de ces  cinq années de collectage, à travers histoires, musique et témoignages, spécialement enregistrés.

Offre de souscription : le livre CD « Atau l'an contat » à 13 E. franco de port.

ASSOCIATION BRUC E BRANA
Christiane Califourg
6 route de Saint Michel
33720 GUILLOS
Téléphones : 05 56 62 52 85 - 05 56 62 43 70 - 05 56 85 09 64

En le découvrant, il vous donnera envie...« d'anar mei lunh dab nos autes capvath la lenga gascona » (d'aller plus loin avec nous à travers la langue gasconne)

 Il y a moins d'un siècle de cela, la langue gasconne vivait au quotidien dans les fermes, les vignobles et la lande. Parlée par les paysans, les artisans, les notables... elle servait aussi au prêche du curé, le dimanche.

 L'Association Bruc e Brana de Guillos a été voulue pour permettre à cette langue de continuer son chemin. 

Depuis cinq ans:

* une cinquantaine de membres fidèles se réunissent une fois par mois pour échanger, lire, écrire, transcrire, conter, chanter, le tout enregistré au fur et à mesure pour en fixer la mémoire.

 *des manifestations annuelles ouvertes à tous les publics nous rassemblent dans des soirées autour de la culture gasconne où comédiens, chanteurs, danseurs, musiciens, amateurs de cuisine locale etc., se retrouvent.

 * dès la belle saison, des journées de découvertes du patrimoine régional sont organisées ainsi que des ateliers autour de fêtes traditionnelles.

 Offre de souscription : le livre CD « Atau l'an contat » à 13 E. franco de port.

 CD 74 minutes. Histoires et témoignages:

 Jacqueline Amanieu Laoué (Landiras) Christiane Califburg (Guiffos) ; Francis Califourg (Guillos) ;. Jean Daney (Fargues de Langon) ; Marc Dubourg (Landiras) Marie jeanne Duff au (Cudos) ; Suze Laoué (Landiras) ; Pascal Losse (Gajac) ; Andréa Poinstaud Rablade et André Rablade (Sore) ; Marc Ricaud (Landiras) ; Francis Rouchaléou (Cazafis).

Coordination: Jacqueline Amanieu Laoué et Françoise Méric.

Musique traditionnelle au fifre : Francis Rouchaléou

Enregistrements, post production audio : Françoise Valéry

Livre :

Textes fournis en gascon phonétique par les participants, transcrits en gascon normalisé et traduits en français par Jacqueline Amanieu Laoué et Françoise Méric.

Saisie informatique: Jacqueline Amanieu Laoué

Illustrations à la plume : Monique Saraben

Mise en page: Françoise Valéry

Souscription.                           

Une belle idée de cadeau pour Noël.

(pour retrouver des racines en ce beau pays.)

Les Conférences du CIRON  de Bommes.

Le Club Informatique de Pujols sur Ciron.

vous présentent le projet d’édition de:
(sortie prévue pour le 15 novembre 2005.)

Un marque page inédit est offert et joint à chaque livre commandé avec la copie de ce courriel. 

Pour lire la présentation de Jean Dartigolles  Clikici.

Les textes qui font suite à cet ouvrage sont accessibles ci-dessous :

Dominique de PINOS  et André COCHET.

BUDOS sous la Révolution.   (13ème partie).

 Dans notre dernière chronique, nous avons pris connaissance de l'image tout à fait rassurante que le Comité de Surveillance de BUDOS avaient cherché à donner aux Commissaires du District de CADILLAC.

C'était sous la Terreur.

Et ce message parait avoir été bien reçu puisqu'il semble qu'aucune intervention politique extérieure ne soit venue perturber la vie du Village pendant cette période si troublée; période au cours de laquelle il suffisait d'un rien pour déclencher les foudres du Pouvoir.  

Cela ne signifie pas pour autant que la vie Budossaise ait pu être un long fleuve tranquille et qu'il ne se soit rien passé, tant s'en faut.  

A partir de Janvier 1794 commença ce que l'on pourrait appeler la période des inventaires.   Et tout d'abord l'inventaire des meubles trouvés dans le presbytère du ci-devant Curé DORÂT et dans ses dépendances.  

On se souviendra que le vieux Curé DORAT, revenu à BUDOS sur un permission spéciale qu'il avait obtenue dans les derniers jours de Décembre 1792, avait dû en repartir précipitamment sur un plainte de son successeur, le Curé LATAPY (voir 5ème Partie).

Il avait dû ainsi abandonner pour la seconde fois son presbytère sans avoir eu le loisir de mettre ses affaires en ordre. Il en avait, dans l'urgence, confié la garde au Citoyen BEDOURET qui avait été jusque là pour lui une sorte de régisseur.

On l'avait vu en effet s'occuper de ses récoltes de seigle et de la vinification de ses vendanges.

Mais les biens du Curé ayant été mis "sous la main de la Nation", autrement dit sous séquestre, BEDOURET avait dû remettre toutes les clefs de la maison au Citoyen COURBIN, désigné par la Municipalité pour en assurer la conservation.

Or, lorsqu'il commença à être question d'inventaire, le Citoyen LATAPY se rapprocha de COURBIN, en se disant Commissaire désigné par la Commune pour procéder à cette opération.

Ce LATAPY n'était autre que le successeur du Curé DORAT, mais, comme le culte catholique avait été aboli, il s'était retrouvé sans emploi et avait abandonné son statut de Curé pour adopter celui de simple citoyen et il était resté dans la Commune.

Et voilà LATAPY, accompagné du seul COURBIN, en train de procéder, de son propre mouvement, à l'inventaire des meubles du ci-devant Curé DORAT.

Après quoi, il s'en vint déposer le résultat de son travail devant la Municipalité qui, ne lui ayant rien demandé, apprécia peu cette initiative.  

Cette démarche parut louche; on sent bien que la  confiance ne régnait pas.

Les Officiers Municipaux s'étant réunis :

« sur le requis de l'Agent National, ayant lu  l'inventaire fait par le Citoyen LATAPY, ci-devant  Curé de BUDOS, se disant Commissaire nommé par la  Municipalité, qui a fait, seul, l'inventaire dudit  DORAT, à la livraison des clefs desdits chay et maison,  faite par le Citoyen COURBIN, les Officiers Municipaux,  se méfiant de quelque prélèvement fait par ledit  COURBIN et ledit LATAPY, lesdits Officiers, assistés  du Secrétaire Greffier.., avons procédé à un second  inventaire des effets séquestrés audit DORAT..."  

Mais ce que ce texte ne dit pas, ce sont les conditions dans lesquelles s'était préparé ce second inventaire. C'était COURBIN qui détenait les clefs, et il n'entendait pas les remettre à quiconque. Pour lui, l'inventaire de LATAPY était le bon, et il n'y avait lieu de rien y reprendre.

Mais la Municipalité eut beau jeu de faire observer que s'il détenait ces clefs, c'est bien parce qu'elle les lui avait fait remettre en son temps, par le Citoyen BEDOURET, ancien régisseur du Curé.

En ces jours de Nivôse An II (Décembre 93/ Janvier 94) une vive polémique s'éleva entre ces deux parties. C'est finalement la Municipalité qui, à bon droit, finit par l'emporter et l'épisode se termina sur un geste théâtral sur la place de BUDOS, le 14 Nivôse (3 Janvier)

 " ledit COURBIN nous a jeté les clefs des chay  et cuvier devant la porte du Citoyen PENICAUD…..  De suite, avons ramassé lesdites clefs et avons procédé  à un second inventaire."  

Cet inventaire mériterait d'être rapporté dans son détail tant il permet de reconstituer ce qu'avait pu être la vie quotidienne du ci-devant Curé DORAT au fil des dernières années, et aussi les conditions précipitées de ses deux départs successifs lors de son arrestation à la fin des vendanges de 1792, et au terme de sa permission écourtée en Janvier 1793.

Il n'est cependant pas possible de reproduire ici les nombreuses pages de ce document. Citons néanmoins quelques éléments caractéristiques.

Dans une grange, à côté du chai, se trouvent deux grands pressoirs, une grande cuve en bois, cinq douilhs, sept barriques de râpe pourrie et un petit tas de râpe pourrie dans l'un des pressoirs.

Lorsqu'à la fin des vendanges il a dû abandonner son presbytère, le Curé avait dû former le projet de se préparer quelques barriques de piquette. C'était, en ce temps-là, la boisson commune de l'hiver à BUDOS.

Trop précieux pour le boire, le vin que l'on récoltait était réservé à la vente, On n'en mettait sur les tables qu'en quelques occasions festives. Et l'on découvre ici que même le Curé se conformait à cet usage.

Passons sur les détails, mais retenons tout de même la présence de quelques objets que l'on peut encore trouver dans nos chais: des bastots, un tamis en fil de fer, des paniers "à passer la vendange", un marcus, etc..

Dans le chai proprement dit se trouvaient vingt cinq barriques de vin blanc de l'année dont une entamée destinée à l'ouillage et dix barriques de vin "passé par la râpe".

Dans un autre chai adjacent, on découvrait vingt neuf barriques de vin rouge de l'année "dont neuf appelées de CAHORS".

Il doit s'agir là de vin issu du cépage Arramon, spécialité du vignoble de CAHORS mais dont la présence est attestée par d'autres textes anciens dans le Pays des Graves.

On y trouvait également cinq autres barriques de vin blanc de l'année et dix barriques de vin vieux bonde de côté, plus trois demi-barriques de vin vieux, elles aussi bonde de côté et enfin trente bouteilles de vin et vingt et une vides qui devaient probablement représenter la réserve personnelle du Curé.  

Nous pourrions poursuivre ainsi l'exploration de tout le presbytère, pièce par pièce, jusqu'au grenier. Ne retenons de tout cela qu'une impression générale d'usure et de vétusté.

Le mobilier est réduit à sa plus simple expression. A part une couverture "fine presque neuve", tout la literie est rustique et tout à fait modeste : "huit mauvais draps, une mauvaise couette", etc...

Un bureau ? oui, certes, le Curé avait un bureau, mais il est "défoncé". Le linge de maison est un peu mieux fourni avec dix sept serviettes fines et quinze autres plus rustiques, mais il n'y a qu'une seule nappe, encore est-elle assez grossière, et dix huit torchons " tant bons que mauvais".  

Arrêtons là l'extrait de cet inventaire. Il suffit à nous montrer que le Curé DORAT n'avait certainement jamais mené bien grande vie. De même ne devait-il pas nourrir de bien grandes préoccupations intellectuelles car on ne trouve, ici et là, dispersés dans la maison, que quelques " vieux livres" et rien d'autre.

Il avait semble-t-il simplement connu la modeste vie des curés de nos campagnes au XVIIIème siècle.  

Tout ceci est bel et bon, mais voilà que nos Officiers Municipaux font des découvertes.

Au cours de ce second inventaire, ils découvrent qu'il manque trois boisseaux d'avoine (309 litres), que du linge qu'ils ont trouvé n'a pas été inventorié, et 

"de plus avons trouvé cinq barriques de vin blanc  nouveau que ledit LATAPY n'avoit pas mis dans son  inventaire et trente bouteilles pleines de vin que  ledit LATAPY avait déclarées vides.. ."

Voilà bien qui fait désordre, mais ce n'est pas tout, car on apprend qu'en une autre circonstance, le Citoyen BEDOURET a vu LATAPY prendre

 " une boette où il y avait des bagues et croix d'or  dedans que ledit LATAPY a mis dans sa poche en présence  de gens et qu'il n'a pas inventoriée."  

A BUDOS, le scandale est énorme. On pousse l'enquête plus loin. On va recueillir ainsi la déposition du Citoyen BEDOURET portant sur des faits remontant au temps où il détenait les clefs du presbytère pour le compte du ci-devant Curé DORAT, avant que la Municipalité ne les lui retire.

Et BEDOURET témoigne: 

"le Citoyen LATAPY, ci-devant Curé de BUDOS, s'est  présenté dans le mois de Septembre pour me demander  deux boisseaux de froment. Je lui ai répondu que le  Citoyen DORAT en avoit besoin. Alors, il m'a répondu  que si je ne le lui livrais pas tout de suite, il  allait m'enfoncer la porte. Alors je lui ai livré.  Il s'est présenté ( un autre ) jour, me demandant deux boisseaux d'avoine. Je lui ai répondu que je  n'avais pas ordre de la vendre. Alors il me déclara  qu'il alloit inventorier tout. Il se prit les deux  boisseaux d'avoine. Il n'a point payé l'avoine ni  le froment."  

Curieusement, la suite de cette affaire ne nous est pas connue. Nous ne saurons donc pas si le Citoyen LATAPY fut ou non reconnu coupable de vol et de dissimulation de biens nationaux placés sous séquestre.

Aucun document susceptible de nous renseigner n'a pu jusqu'ici être retrouvé.   Ce n'est peut-être pas aussi surprenant que l'on pourrait le croire. On trouve dans la région ( notamment à NOAILLAN ) plusieurs exemples d'affaires plus ou moins délictueuses qui, délibérément, sont restées dans les limites du Village et pour lesquelles on a manifestement décidé de " laver son linge sale en famille ".

Il n'est guère douteux que si la Municipalité de BUDOS avait donné une suite judiciaire à cette affaire devant le Tribunal de CADILLAC, le Citoyen LATAPY aurait eu toutes les chances ( si l'on peut dire...) de terminer sa carrière sur l'échafaud dressé sur ce que nous appelons aujourd'hui la Place GAMBETTA à BORDEAUX.

En ce mois de Janvier 1794, nous étions au temps de la Terreur et l'on prononçait une sentence de mort pour bien moins que cela. Alors parfaitement consciente de cette situation, il est bien possible que la Municipalité de BUDOS n'ait pas voulu envoyer délibérément son ancien Curé à l'échafaud.

Ceci ne veut pas dire pour autant qu'elle ait abandonné toute idée de sanction. Elle a pu en prendre une, mais laquelle ? La question, pour le moment reste posée.  

Dans une prochaine chronique, nous aurons l'occasion d'examiner l'inventaire du mobilier de l'église. C'était le temps des inventaires...    

A suivre.

 Jean DARTIGOLLES

Randonnée Pédestre

Afin de financer un puits au mali à INDELOU en pays Dogon

Au sein de l’association Afrique Amitié, des randonnées pédestres sont organisées chaque mois.

Le samedi 26 novembre 2005.

Destination : St Léger de Balson dans les landes girondines.

Ruisseau, lac, forêt de pins, fontaine d’eau de source.

Heure de départ: 14h30 devant l’église, 

Prévoir : chaussures terrain plat , bouteilles vides pour provision d’eau de source.
Durée de la sortie: 2h30

Organisatrice: Monique DAUTANT 05.56.25.02.98  06.33.63.56.75 

 Via Aquitana en Aquitaine :

Gruissan invité en Aquitaine.  

Découverte des vertus du jus de raisin.

L'Association «  Via Aquitana », est de plus en plus active le long des 270 milles (400 km) de la « Voie d'Aquitaine » construite par les Romains entre la mer Méditerranée et l'océan Atlantique ; en Gironde notamment, sous l'impulsion  des Archéologues, Historiens, Universitaires, où sa réhabilitation est entreprise sur une trentaine de km avec l'appui des autorités, l'opinion publique se mobilise.

Les 10 et 11 décembre prochain, c'est-à-dire deux semaines avant Noël, l'Association «  Via Aquitana »  organise en Aquitaine, dans les chais du château Myrat, grand cru de Sauternes à Barsac (Gironde) un Week-end de découverte des produits qui transitaient par cette grande voie antique sous l'impulsion des empereurs Romains.

Gruissan, lieu de débarquement des Romains en 118 avant J-C, est à l'honneur avec tous les produits de terroir dont les Romains, déjà étaient friands : ses huîtres et l'ensemble des produits de la mer Méditerranée et leurs dérivés avec ses vins blancs secs et rosés qui leur correspondent, le sel de Gruissan sous ses diverses utilisations, le miel et ses dérivés notamment l'hydromel, les olives et leurs huiles que les habitants de l'Aquitaine vont redécouvrir à cette occasion et ceci en exclusivité.

La cité de la vigne et du vin de Gruissan (INRA) tiendra un stand, également dans les chais du château Myrat mis gracieusement à la disposition de l'Association «  Via Aquitana ».

Les produits dérivés du raisin y seront présentés; une cure de santé par le raisin y sera inaugurée.

Les jeunes générations les plus actives, seront à l'oeuvre avec le stand du Lycée Charlemagne(de Narbonne) dont les étudiants présenteront leur remarquable exposition sur la « Voie d'Aquitaine » qu'ils ont entreprise dans le cadre de la mise en valeur de cette voie antique inscrite à leur programme d'étude.

Plus encore, les chais du château Myrat accueilleront à cette occasion, les établissements d'enseignement Agricole, Hôtelier et touristique de la Gironde qui vont à leur tour lancer des programmes de mise en valeur de la dénomination «  Via Aquitana » dont la responsabilité vient d'être confiée à M. Henri Sarda, Proviseur Adjoint du  Lycée Charlemagne et à son jeune successeur.

Toujours dans le cadre de ce week-end, une conférence sur la « Voie d'Aquitaine en Gironde » sera présentée par M. Coudroy de Lille, historien, Vice-président de la Société Archéologique de Bordeaux.

Le Film de J.M. Jansana et les diaporamas de Joël Bert sur la Voie d'Aquitaine réalisés à Montredon des Corbières seront projetés en boucle.

Michel Bourzeix.

Invitation.

Le Domaine de la gauche à Bommes (33210) se fait un plaisir de vous accueillir 

  les samedi 12 et dimanche 13 novembre 2005 de 10 h à 19 h.

A cette occasion, artisans d'art et artistes peintres s'associent à notre propriété pour le ravissement des yeux.

Le château Lascaux, AOC Bordeaux et Bordeaux supérieur achèvera d'agrémenter ce week-end.

Robert DUCOS.

Renseignements: 05 56 76 60 76   Courriel :  robert.ducos@wanadoo.fr

  A l’occasion des « Journées Portes ouvertes du SAUTERNAIS »

Le Comité de jumelages et d'animation de Pujols sur Ciron
 en partenariat avec le 
Domaine de la Gauche. 

Vous propose le 

DIMANCHE 13 NOVEMBRE 2005.

UNE BALADE DANS LES VIGNES.

PROGRAMME

10 H : 

Départ Place de la Pinesse à Barsac, après le pont de l’autoroute, sur la route de Pujols/Ciron au Port de Barsac. Promenade pédestre à travers les vignes et autour des Châteaux du Haut-Barsac

Vers 12 H 15 :  Repas.

Vers 14H 30 : Reprise de la « ballade dans les vignes ».

Vers 17 H : Retour au point de départ. 

Renseignements complémentaires :  Max PARAGE  05.57.31.06.44 

Le comité de Jumelages et animations de Pujols sur Ciron organise deux lotos.

Le 11 novembre à 15 h.

au Foyer rural.      Ouverture des Portes à 14H00.

77 CHANCES DE GAIN,  40 LOTS dont 29 DOUBLES et 8 BOURRICHES

 dont  une Journée  à la Neige pour 2 Personnes (Transport + Déjeuner.)

Boissons et pâtisseries, salle chauffée, parking.

Pays de Cernès

  Samedi 26 novembre 2005 : 

Visite de l'écosite du Bourgailh à Pessac : un exemple de développement durable : réaménagement du site d'une décharge  par utilisation des biogaz pour le chauffage de serre tropicale, aménagement forestier, création d'un sentier de découverte dans un parc de loisirs.

Rendez-vous à 13h30 devant l'église de Gradignan ou à 14h00 à l'entrée du site. 
Participation : 3 Euros/personne pour les adhérents, 5 Euros pour les non-adhérents.

Serge BOYRIE

Contacts : "paysdecernes@free.fr"

Téléphone : 05 56 89 01 70

C O N F É R E N C E

Mardi 22 novembre 2005 à 20H00

à l’Athénée Municipal de Bordeaux.

Une autre approche de cet espace domestiqué passant par le respect du vivant : nos amies les petites bêtes les fleurs sauvages à redécouvrir

par Vincent ALBOUY

Participation Libre. Soirée organisée par
L’Ortie 19 rue neuve à Bordeaux Tél : 05 56 94 53 10 lortie@wanadoo.fr

Le Groupe NADAU.

donne un concert 

le 12 NOVEMBRE

 salle Bellegrave à 21 H à PESSAC

Prix des places : 16 euros, les billets sont à retirer à l'office socio-culturel de Pessac.
(le groupe vient soutenir la calandreta - école occitane - de Pessac

 Emilienne LAVIGNE

Bel Canto Chante                              la mélodie populaire......

Dimanche 27 novembre à 16 heures 
en
l'Eglise de Fargues de Langon.

Mélodies francaises, napolitaines, irlandaises, Singspiel, Brahnms, Britten, Donizeti, Grieg, Mozart, Rossini, Tosti.....

entrée 8€, tarif réduit 4€

Un cycle de Conférences géologiques est organisé en 2005, sur le thème général :

Exemples de ressources naturelles en Aquitaine ; géologie et substances utiles.

         Cinq conférences sont prévues le mardi, à 18h30, 
au siège des Sociétés Savantes, place Bardineau, salle de réunion au rez-de-chaussée; 
ENTREE LIBRE.

- mardi 22 novembre 2005 : 

Préparation des sols et application à la viticulture (P. Bécheler; ),

Pierre Bécheler est géologue pédologue, consultant et conseiller de propriétés viticoles des Pessac-Léognan et Graves.

Pout tout contact ou information, écrire à :

Dr Bruno Cahuzac, Maître de Conférences,
Université Bordeaux-1, UFR Sciences de la Terre et de la Mer,
Château Bonnefont, Bât. A37,  351, cours de la Libération,
33 405- TALENCE Cedex F.
Tél. : (33 5) 05 40 00 29 08.
b.cahuzac@ufr-termer.u-bordeaux1.fr

Dr Bruno Cahuzac.

Pour lire une présentation de cette asso dans un courriel précédent : Clicla.

Le Cinéma à Captieux : 

Centre audiovisuel de Captieux.

Programme du 9 novembre au 4 décembre 2005.

La Machine à Lire.

La librairie vous invite à rencontrer :

Mercredi 9 novembre à 18h

Olivier Mongin

Pour son ouvrage : "La condition urbaine" publié aux éditions du Seuil.

Olivier Mongin est directeur de la revue Esprit, ancien secrétaire général, puis vice-président du SPCS (Syndicat de la presse culturelle et scientifique) et il co-dirige la collection "La couleur des idées" aux éditions du Seuil.

Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont : "Franz Rosenzweig" (Verdier, 1982, épuisé), "La violence apprivoisée", avec Yves Michaud (Hachette, 1996), "La violence des images" (Seuil, 1997), "La peur du vide" (Seuil, 2003), "L'artiste et le politique" (Textuel, 2004).

"Avec la mondialisation, nous voilà projetés dans l'"après-ville", dans le "post-urbain". En Europe, nous étions habitués à voir la ville comme un espace circonscrit dans lequel se déroule une vie culturelle, sociale et politique rendant possible une intégration civique des individus... Nous voici maintenant confrontés d'un côté à des métropoles gigantesques et sans limites, et de l'autre au surgissement d'entités globales, en réseau, coupées de leur environnement. La reconfiguration en cours suscite l'inquiétude : allons-nous assister au déclin irrémédiable des valeurs urbaines qui ont accompagné l'histoire européenne ? La fragmentation et l'étalement chaotique vont-ils inéluctablement l'emporter ? Sommes-nous condamnés à regretter la polis grecque, la ville de la Renaissance, le Paris des Lumières, les grandes villes industrielles du XIXe siècle ?

En rappelant les éléments distinctifs qui composent l'expérience urbaine, Olivier Mongin pose les fondements d'urne réflexion d'aujourd'hui sur la condition urbaine. Nous vivons à une époque où l'information s'échange immatériellement selon des flux plutôt que dans des lieux : comment, dans ces conditions, refonder des lieux urbains accordés à notre temps ?"

La rencontre est organisée par l'association Discordances avec la collaboration d'Arc-en-Rêve.

Jeudi 10 novembre à 18h30

Sébastien Darsy

Pour son ouvrage : "Le Temps de l'antipub : l'emprise de la publicité et ceux qui la combattent", publié aux éditions Actes Sud.

Sébastien Darsy est journaliste indépendant.

"Le temps de l'antipub est-il advenu ? L'omniprésence de la publicité est de plus en plus critiquée. On lui reproche non seulement d'agir sur l'esprit et l'inconscient du consommateur, mais aussi d'influencer la vie politique, culturelle et sociale.

Sébastien Darsy répertorie, maints exemples à l'appui, les multiples formes que revêt la "communication commerciale". Il dresse également un panorama des différents mouvements antipublicité agissant à Paris et ailleurs. Qu'il s'agisse de mouvements pour sauvegarder le paysage, de collectifs indépendants ou d'altermondialistes déclarés, tous amorcent une prise de conscience essentielle et tentent de limiter l'influence publicitaire.

Pertinent et bien documenté, Le Temps de l'antipub, issu de plusieurs années d'observation, d'enquêtes et d'interviews sur le terrain, nous éclaire sur l'un des faits de société actuels le plus sujet à controverse."

Mardi 15 novembre à 18h30

Jean-Claude Kaufmann

Autour de son dernier livre "Casseroles, amour et crises, ce que cuisiner veut dire", publié aux éditions Armand Colin.

Jean-Claude Kaufmann est sociologue, directeur de recherche au CNRS (CERLIS, Université Paris-V-Sorbonne) et enseignant. De par ses travaux, il a été amené à développer ses propres outils et méthodes de travail, en prise directe avec les terrains d'enquête. Il a notamment travaillé sur la construction du couple et de la famille, sur les attentes des individus en matière de vie conjugale et d'amour, ainsi que sur la vie à deux et ses implications sur la construction des identités.

Parmi ses nombreux ouvrages : "La trame conjugale" (Nathan, 1992), "Corps de femmes, regards d'hommes" (Nathan, 1995), "Le cœur à l'ouvrage" (Nathan, 1997), "La femme seule et le prince charmant" (Nathan, 1999), "Sociologie du couple" (PUF, 1999).

"La table est le petit théâtre des familles. Avec ses jeux de rôles, ses répertoires imposés (raconter sa journée), ses délices et ses crises. Car le face-à-face rapproché provoque le meilleur comme le pire. La table est une épreuve de vérité, qui dit l'état exact des relations conjugales et parentales. L'auteur nous entraîne vers les coulisses, la cuisine. Nous pénétrons dans la tête du chef, au plus intime de ses pensées contradictoires. Se débarrasser de la corvée ou réaliser des merveilles ? Question difficile car il ne s'agit pas seulement de faire à manger mais de fabriquer du lien social.

Jean-Claude Kaufmann nous montre comment de façon étonnante la famille se façonne avec les mains. Il croise à sa manière inimitable témoignages vivants (où chacun se reconnaît) et analyse serrée, nourrie d'une érudition historique jamais indigeste. Sans oublier sa plume savoureuse.

Un régal."

Le débat sera animé par Maïalen Lafite et Dominique Mitou.

Jeudi 17 novembre à 18h30

La méthode Feldenkrais

Présentée par Jean Arzel et Gérard Ostermann.

"Qu'est-ce que l'image de soi ? C'est comment on se voit, ce que l'on croit être, ce que l'on croit qu'on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient, la photo de nous-même que nous avons en tête, quel rôle nous croyons jouer... C'est aussi une photo de famille, sur laquelle nous sommes entourés de nos parents, de nos amis...

La constitution de l'image de soi est une activité fondamentale du cerveau humain. C'est elle qui influence le plus notre vie. L'image que nous pouvons construire de nous-mêmes est fortement influencée par notre culture, tant par le type que le niveau...

La méthode présentée par Jean Arzel a été mise au point dans les années 1950 par Moshé Feldenkrais, physicien israélien d'origine russe, qui avait travaillé avec Irène et Frédéric Joliot-Curie."

"Ce que je recherche, ce ne sont pas des corps souples, mais des cerveaux souples, c'est restaurer en chacun sa dignité humaine". (Moshé Feldenkrais)

Samedi 19 novembre à 14h30

Les Amis du Monde diplomatique

Rencontre organisée par les Amis du Monde diplomatique de la Gironde.

Samedi 19 novembre à 18h30

Un voyage à travers la musique brésilienne

Avec Rafael Lucas (maître de conférence, Université de Bordeaux-3) et Jorge Fernandes (guitariste brésilien) et ses musiciens.

La rencontre est organisée par l'association La Folìa.

Mercredi 23 novembre à 18h30

Cyril Mouquet et Jean-Denis Pendanx

Pour leur livre : "Bordeaux il était une fois", publié aux éditions des Falaises.

Vendredi 25 novembre à 19h30

René Gallissot

Rencontre organisée dans le cadre des 49e Clins d'œil cinéma par l'Association des Cinémas de proximité de la Gironde, animée par Jean-Louis Ribreau.

La Machine à Lire (8, Place du Parlement - 33000 Bordeaux - Tel : 05.56.48.03.87 - Fax : 05.56.48.16.83)
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Le Ciron (rivière).

Le Ciron est à la cote de 15 cm. Température: 16°
Le niveau 0 étant l'étiage le plus bas repéré de 1990. Dernière des trois années sèches, 88, 89,90
Point de relevés, sis à 5.300 mètres du confluent avec la Garonne à vol d'oiseau soit près de 8.000 mètres au fil de l'eau.

A la suite des pluies du 8 au 12 septembre, soit 51 mm, la cote 27 fut atteinte le 12 septembre 2005.

Dépannage Informatique. Frédéric Flores Sos Depan. Info.05.57.31.05.38 / 06.65.26.45.42 floresfr@wanadoo.fr

Débarrassons caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. 

Avant de jeter n’hésitez pas à contacter Christian de LOS ANGELES, membre du club Informatique :  05 56 76 61 81

Passez vos annonces artistiques, culturelles, sportives, de loisirs, sociales et covoiturage sur le Web. 
Participer au covoiturage géré par Adiu : (adiu@adiu.fr) ou http://www.adiu.fr

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
Président Christian FLAGES    Tel: 05 56 76 61 98
E-mail: club.info.pujols@wanadoo.fr
Site: http:perso.wanadoo.fr-pujols-sur-ciron
Site: Vallee-du-ciron.com
Site: Cironsite

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André COCHET
Tel: 05 56 76 63 12
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