NOUVELLES
de la
Vallée du CIRON.

Mustil

Les visons,  mascottes de la Vallée du Ciron.

Mustelle

Courriel  occasionnel édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron. 33210 (Gironde) (France)
 

N° 152   du  23 février  2006.

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L'informatique est comme une flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire....
Christian Flages
.

Sommaire:

Haut débit : Adsl à Barsac, Illats, Pujols, etc...

Des tomates......  comme s'il en pleuvait.

Main basse sur les semences de ferme.

Le concombre démasqué (Canard enchaîné).

Le secret d'un cultivateur.

Humour et rire à Loupiac

Raid Canoë à Bommes nautique par équipe de 2.

Journée de neige à Artouste. Inscriptions.

La rivière.....le Ciron.

Infos utiles.

Pour voir le reportage sur la plantation des petits hêtres  issus de la Hêtraie fossile du Ciron, vous pouvez aller sur le site de FR3 :

 

http://jt.france3.fr/        

 

Cliquez sur la région Aquitaine et ensuite sur le journal du jeudi 16 février. Pour aller plus vite vous pouvez utiliser l'avance rapide,
le reportage démarre vers 19h11.

Alexis Ducousso.

Par courriel le lien direct.

Haut débit = ADSL. Barsac, Illats, Pujols....

Réponse.

Il existe effectivement des solutions, même pour couvrir des zones entières.

Vous pourrez dire aussi que le satellite n'est pas cher, il suffit de se renseigner :

http://www.teles-skydsl.fr   pour le grand public.

http://www.sat-isfaction.net  pour les professionnels.

Il y a 2 ans, nous avons construit un projet  satellite pour une entreprise dans le Tarn. 

Actuellement, nous travaillons sur un projet OFDM (WIFI évolué) pour relier 3 entreprises très éloignées du net haut débit (10Km). 

Début de mise en oeuvre dans quelques jours.

Il faut bien étudier les contraintes géographiques et financières avant de choisir la solution, surtout si on peut faire des mutualisassions de coûts.

Vous pouvez me contacter si vous avez besoin d'un petit coup de pouce.

Olivier HUC.

Note: 

Les solutions existent pour l'accès de tous au haut débit Internet. Pour les mettre en oeuvre il suffit d'une volonté collective, encore faut-il que celle-ci s'organise ... !

Le Club Informatique de Pujols sur Ciron peut être la structure permettant le rassemblement des énergies, des idées et des propositions. 

Et cela sans frais autres que les dépenses de temps pour y penser, d'attention pour étudier les possibilités et de volonté pour agir. Ce n'est pas cher.

Il suffit de collecter les adresses Internet de ceux qui désirent accéder à l'Adsl.

Nous pourrons ainsi leur présenter des projets, les tenir informés, donner à leurs représentants le poids d'un soutien collectif.

Il ne faut que quelques bonne volontés ..... actives ... !

Pour agir : CLICLA

Le Jardinier.

Le Jardin  naturellement, produit des légumes ou des fleurs.
Ce n'est de l'iceberg que la partie qui affleure.
Plante ou sème jardinier, tu cultives l'espoir.
D'une graine minuscule, cette plante belle à voir,
Se développera doucement sous tes yeux
Et fera de toi, un homme bien, heureux.

A.C.

Des Tomates........ !

Comme s'il en pleuvait.

Bonjour à toutes et tous,

La période des premiers semis est revenue, je commence aujourd'hui.....

Cette année, à la suite d'achats et d'échanges effectués bien souvent hors des frontières de l'hexagone, je me trouve à la tête d'une "collection" dépassant largement les 400 variétés ; toutes tailles, toutes formes, toutes couleurs et bien sûr goûts exceptionnels sont au rendez-vous.

Pour tous les jardiniers aimant ces variétés anciennes j'aurai des plants disponibles à la plantation dès le début avril, cela permets de récolter les premières précoces courant juin à condition de prévoir un tunnel plastique au départ selon les conditions atmosphériques.

De façon à répondre aux désirs de chacun, vous pouvez me passer commande dès maintenant.

Je tiens à votre disposition un fichier de mes différentes variétés reprenant leurs principales caractéristiques afin de vous guider dans vos choix (fichier Excel); je peux vous l'envoyer si vous le souhaitez.

J'aurai également plusieurs variétés d'aubergines et de piments/poivrons (toutes couleurs également), de melons, de concombres, de courges (coureuses et non-coureuses) ainsi que des fleurs (pétunias, reines-marguerite, cosmos, oeillets d'inde, mufliers, tournesols) si cela vous intéresse.

Je demeure à la disposition de chacun pour tous renseignements.

A bientôt. Bien cordialement.
Roland

roland.robin@wanadoo.fr

Tel: 05 56 62 03 57

Les nuages s'amoncellent. 
Les représentants du peuple, ligotent, asservissent le peuple.
Par des lois contraires à la liberté d'agir, au bon sens, à la tradition millénaire.
Pour satisfaire des intérêts économiques.
Est-ce cela la démocratie ?

Main basse sur les semences de ferme.

Les sénateurs ont voté le 2 février un projet de loi qui généralise la taxation des semences de ferme. En suspend depuis dix ans, ce projet n'a fait l'objet d'aucune consultation auprès des organisations agricoles.

La filière des semences se félicite. Le projet de loi de Dominique Bussereau sur les obtentions végétales a été adopté à une large majorité au Sénat. Ce texte généralise la taxation des semences de ferme. 

Autrement dit , un agriculteur qui ressème sa récolte et donc utilise des semences produites sur son exploitation mais issues de semences protégées par un certificat d'obtention végétale devra rémunérer le semencier. 

La Coordination nationale de défense des semences de ferme (CNDSF) - qui regroupe la Confédération paysanne, le Modef, la Coordination rurale, la Fédération nationale de l'agriculture biologique, Nature et Progrès… - dénonce ce passage en force. 

Le texte a en effet été mis à l'ordre du jour du Sénat de manière très rapide et dans la plus grande discrétion. Issu du projet de loi de Philippe Vasseur de 1996, on aurait pu attendre que ce texte fasse l'objet d'une remise à jour en concertation avec les organisations agricoles. 

(Le projet de loi est une transcription en droit français de la Convention de l'Union pour la protection des obtentions végétales. Cette dernière a pour objectif « la protection des obtentions végétales par un droit de propriété intellectuelle ». Adoptée en 1961 à Paris, elle fut révisée en 1972, 1978 et 1991, cette dernière révision ayant été ratifiée par la France le 17 janvier 2006.)

Les défenseurs des semences entendent faire retirer ce projet de loi pour la quatrième fois et démonter cette loi qu'ils ont déjà réussi à faire retirer trois fois. Ils dénoncent des règles d'appropriation des variétés par les obtenteurs de semences qui dépossèdent les agriculteurs du droit de ressemer leur récolte. 

Les firmes semencières défendent, elles, un retour sur investissement pour leur recherche sur l'amélioration des semences. Ce à quoi la CNDSF rétorque que ces règles nient " le rôle des agriculteurs dans l'amélioration variétale " et les obligent à contribuer à une recherche sur laquelle ils n'ont aucune prise. Michel Geray, porte-parole de la Coordination, souligne que "la recherche peut privilégier par exemple l'obtention de variétés hybrides, non ressemables ", les hybrides ayant la particularité de perdre leurs caractéristiques à la génération suivante. 

Des patates.

Outre cette appropriation du vivant, l'enjeu financier est de taille. En effet, les semences de fermes concernent 40 % des surfaces de céréales à paille, 55 % du pois, plus de 30% du colza et 25 % de la pomme de terre. 

Jusqu'à présent les autres filières végétales bénéficiaient d'une tolérance, même si juridiquement l'utilisation des semences était illégale. Place à l'ordre donc, aux intérêts bien compris !
Autre avancée notable pour les semenciers, le projet de loi prévoit un allongement de la durée de protection des variétés. 

Il faudra attendre cinq ans de plus avant qu'une variété protégée par un certificat d'obtention ne tombe dans le domaine public. Concernant les variétés de pommes de terre Monalisa et Charlotte dont la protection expire en 2006, ce report de 5 ans permet un gain de plus de 4 millions d'euros ! 

Les contrôles se multiplient.

Difficile de ne pas associer à cette attaque contre les semences de ferme le sort réservé à l'association Kokopelli. Elle est en effet traînée devant les tribunaux par l'industrie semencière qui souhaite voir cesser son activité de diffusion de variétés potagères issues de sélection paysanne.

 Cette concurrence " illégale " puisque les semences ne sont pas inscrites au catalogue officiel contrarie en effet les industriels qui vendent des semences potagères à 80 % hybrides, donc non ressemable. Le Réseau semences paysannes constate également que " Cette plainte n'est pas isolée. Depuis quelques temps de nombreux contrôles s'abattent sur les paysans qui conservent et sélectionnent et leur semence. "

Magali Reinert, 

Transrural Initiatives n°303, 14 février 2006. 
ruralinfos.org  Adir - 2, rue Paul Escudier 75009 Paris
tél : 01 48 74 52 88 - fax : 01 42 80 49 27 
e-mail : contact@ruralinfos.org 
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Le concombre démasqué.

 

Cultiver et vendre d'anciens et goûteux légumes est interdit parla loi.

Pour longtemps encore ?

 

Penchons nous un instant sur le concombre. Il nous vient de l'Inde, et on  trouve encore son ancêtre sauvage  dans les vallées subtropicales de l'Himalaya.

Non seulement le concombre est naturellement amer mais il a la fâcheuse tendance a vouloir se reproduire dans le champ du paysan, donc a fabriquer des pépins…

Or  le consommateur est dressé pour n'aimer que les fruits et les légumes sucrés et standardisés. 

Après avoir passé au crible 1.000 plantes, les sélectionneurs hollandais ont dans les années 70, découvert un concombre de la variété anglaise, long vert amélioré, qui avait la particularité d'être dépourvu d'amertume : c'est de ce seul et unique spécimen, dont on ne cesse de tirer des variétés hybrides dites parthénocarpiques; c'est à dire sans pépins que proviennent quasiment tous les concombres qu'on trouve aujourd'hui dans le commerce: 33 des 36 variétés de concombres inscrites au catalogue officiel qui recense tous les légumes, fleurs et céréales autorisés à la vente proviennent de ce Concombre Originel.

Et voilà pourquoi votre concombre est fadasse.

Le hic, c'est qu'il existe une abondante et joyeuse troupe de concombres amoureusement cultivés. sélectionnés et améliorés depuis des lustres par des paysans du monde entier.

Connaissez voue le Satsuki Madori originaire d'Asie, le Scopatizzo Barese venu d'Italie, le Nejinsky russe, etc. ?

Dans le catalogue 2005 de l'association Kokopelli qui défend le droit à l'existence de ces variétés dites anciennes, on en trouve pas moins de 47. 

Problème : ces graines sont complètement hors la loi.

Tout comme les variétés anciennes de tomates (plus de 300), de piments (idem), de laitues (une centaine), de courges (idem). d'aubergines (une cinquantaine), etc.

Et du coup un semencier de Nancy, la maison Baumeaux, vient d'assigner en justice Kokopelli pour concurrence déloyale, exigeant quelle cesse la commercialisation de 461 plantes et lui demandant 50 000 euros pour préjudice commercial. 

La France a, en effet. cette particularité bureaucratique, inconnue par exemple au Canada ou aux Etats Unis: 

toute espèce végétale qui n'est pas inscrite au catalogue officiel n'a aucun droit d'être semée ni commercialisée.

Certes, pour laisser vivre les anciennes variétés potagères, le législateurs a bien crée en 1997 un registre , "  Variétés annexes pour jardiniers amateurs »... Mais. pour y inscrire une variété, il faut débourser pas moins de 242,90 euros !

Or depuis un demi siècle quasiment toutes les espèces cultivées  connaissent le syndrome du concombre fadasse : l'agro-business s'est détourné des variétés  anciennes pour mieux vendre ses hybrides FI c'est-à-dire des variétés obtenues en croisant deux lignées hybrides, ce qui donne des clones hétérozygotes (ayant reçu de leurs parents des gènes différents), explique Jean Pierre Berlan. directeur de recherche a l'Inra, dans sa préface au catalogue Kokopelli.

Ces clones sont pareils à des prototypes de formule I,  hyper compétitifs mais vite hors course.

Il leur faut beaucoup d'intrants (pesticides, engrais).

Chaque années, le paysan doit en racheter, quand on les ressème, ils perdent la moitié de leurs qualités et ils sont incapables de s'adapter aux aléas climatiques, au sol, aux parasites, devenant en quelques années sensibles a des maladies auxquelles ils résistaient auparavant.

Les semenciers industriels ne cessent donc d'en créer de nouveaux.

Du coup, on assiste tous les ans à de vrais défilés de mode: acheter mes nouvelles semences de tomate, elles sont hyper-productives et donnent de grosses boules dures et rouges qui peuvent rester sur les étals trois semaines sans mollir,  ce qui vous vaudra les félicitations sonnantes et trébuchantes des vendeurs ! 

Quoi ? Le consommateur les trouve insipides ? Tant pis pour lui.

Dans ne conteste, le destin ces sentences anciennes. qui peuvent être ressemées chaque année gratuitement et ne génère donc aucune plus-value, est tout tracé : rester sagement au congélateur en attendant que des chercheurs s'avisent d'aller en extraire quelques gênes utiles pour mettre au point leurs semences  hight-tech.

 Les quelque 3 000 militants potagers réunis au sein de l'association Kokopelli basée à Ales, ont une autre vision de la biodiversité.

Pour eux, celle-ci s s'entretient d'abord et avant tout dans les champs et ce depuis douze mille ans; grâce aux observations et aux sélections des producteurs professionnels comme des amateurs chevronnées.

A son catalogue. pas moins de 1 200 variétés. anciennes. quelle fait vivre grâce à des bourses d'échange, et dont elle fait profiter gratis une cinquantaine de pays du tiers monde, en y envoyant des sachets de semences bio.

Dams le catalogue officiel, 97 %  des semences sont des hybrides F1, dit Raoul Jaquin.

Dans le notre, toutes sont anciennes. Si nous refusons de les inscrire au registre annexe, c'est non seulement parce que c'est au-dessus de nos moyens, mais aussi parce que c'est absurde : l'inscription n'autorise que la consommation personnelle, pas la commercialisation.

Chez Kokopelli on se réjouit donc paradoxalement de ce procès qui pourrait être l'occasion d'éclaircir les choses.

Bientôt dans nos assiettes, des concombres enfin amers et plein de pépins.

J.-L. P.

 Extrait du canard enchaîné.

Le secret d'un cultivateur.

 

A Olmet, près de 300 variétés anciennes de tomates sont cultivées suivant un procédé des plus simples.

Quand Pascal et Jocelyne POOT se sont installés il y a 5 ans à Olmet, au-dessus de Lodève personne ne pensait que ces deux maraîchers bio, l'air un peu rêveur, réussiraient à cultiver quoi que ce soit sur ces mauvaises terres.

Pensez : des parcelles à flanc de coteaux, au sol aride tout juste bon pour de la garrigue ! Mais Pascal Poot n'est pas né de la dernière pluie. Après 15 ans passés dans le Lot dans des conditions similaires, il ramenait dans son pays natal un petit secret : « Ne strictement rien faire. Laisser la nature se charger du travail !

En effet, ici les légumes poussent, avec succès, sans aucun traitement, ni protection, ni engrais, ni même arrosage ! 

 Je me suis demandé pourquoi les agriculteurs se donnent tant de mal à cultiver leurs légumes alors qu'à côté les mauvaises herbes poussent sans rien exiger, explique Pascal.

En fait, les plantes sont comme nous. Si on s'en occupe trop, elles deviennent paresseuses et ne peuvent plus se protéger contre les maladies, la sécheresse, d'où l'utilité de faire l'inverse des méthodes agricoles actuelles et de laisser se débrouiller les plantes ! 

Au bout de trois saisons sans soin, après avoir sélectionné les individus les plus vigoureux, on obtient vite une variété résistante à tout.

Vous en doutez ? Alors sachez que Pascal et Jocelyne cultivent, dans ces conditions si extrêmes, plus de 300 variétés anciennes de tomates ainsi que des poivrons, potirons, courgettes, radis noirs ronds, navets jaunes, etc. 

Qu'ils ont sélectionné des variétés résistant à la sécheresse, au gel.

L'été dernier, le mildiou qui avait ravagé des vignes aux alentours a épargné leurs tomates alors qu'elles sont généralement beaucoup plus vulnérables.

Leurs semences se vendent partout en France et en Europe. Certaines de leurs variétés sont cultivées avec succès au Cameroun, aux portes du désert !

Et Pascal Poot, "moi, un autodidacte, qui ne suis jamais allé à l'école !" donne des cours à l'université de Clermont Ferrand pour enseigner son procédé.

Preuve qu'il existe une autre agriculture, loin des  méthodes agricoles intensives et polluantes !

A vous de goûter!

C'est au lieu dit La Roque à Olmet, en empruntant un chemin de terre sur la gauche au niveau de la route de Lodève, qu'on accède au Conservatoire de la tomate de Pascal et Jocelyne Poot.

Là poussent des tomates de toutes les couleurs, rouges, roses, jaunes, noires, de toutes les formes et pour tous les goûts, juteuses ou pleines de chair.

Outre la vente de semences à des producteurs bio à travers l'Europe, ils vendent également leur production au marché de Lodève et sur place.

Visite, conseils en jardinage et dégustations gratuites (sur rendez vous) permettent de venir goûter l'été les diverses variétés de tomates et de faire la différence avec celles  qu'on trouve dans les réseaux de grande distribution... !

Contact: 04 67 96 69 83.

 

Le magazine du département de Hérault. N° 136. mai 2005

CLUB DE CANOE KAYAK BOMMES NAUTIQUE

RAID BOMMES - SAUTERNES - VALLEE du CIRON

Samedi 25 mars 2006 à 13h30.

42 km de VTT + 9.5 km Canoë (type C2)
par équipe de deux,  licenciés UFOLEP et non licenciés.
BOMMES (base nautique)

INSCRIPTIONS : 05 56 76 61 42
 
www.bommes-nautique.new.fr

Il est de tradition à Bommes de naviguer sur le Ciron. 

Depuis plusieurs générations, les barques pour la pêche et les canoës fabrication maison pour le loisir, évoluent sur la rivière, et c’est ainsi qu’une équipe d’intrépides se lance un beau jour de Préchac dans ces embarcations pour tenter de rallier Bommes en franchissant les nombreux embâcles qui entravaient le cours du Ciron de cette époque.

    Une nouvelle passion voyait le jour, nous voulions découvrir d’autres rivières en Gironde, mais rapidement, nous débordons les limites de l’Aquitaine jusqu’aux confins du  Massif-Central, du Roussillon ou des Charentes.

    Entre temps, le club avait vu le jour en 1987 sous l’impulsion d’Alain Charrier, Bernard Laurans et Francis Pradalier qui en était le premier président. Depuis ces années,Jean-Jacques Lopez, Richard Faget et dernièrement Nathalie Sterlin, ses successeurs, ont dynamisé  l’association qui a formé des initiateurs et des moniteurs, pris des responsabilités dans les instances supérieures (comité départemental, ligue d’Aquitaine, formation de cadres….).

   Ces activités ont aussi crée des vocations, et depuis quelques mois, Fabrice Pradalier est revenu donner au CKBN en tant qu’animateur Brevet d’Etat un souffle nouveau aidé par une équipe dynamique qui doit gérer un nombre de licencies de plus en plus nombreux et motivés comme en témoignent les résultats des compétitions tant au niveau régional que national.

   L’association assure la location de canoës, avec ou sans encadrement pour les écoles, centres de loisir, comités d’entreprise ou particuliers.

   Le club propose pour ses adhérents d’autres activités comme des sorties dans les Pyrénées pour pratiquer la randonnée pédestre ou la raquette en hiver, un cycles de conférences sur des sujets touchants notre région (ouvertes à tout public). 

  La section VTT (affilié UFOLEP) sillonne les sentiers du pays et organise pour la 5éme année le Raid Bommes-Sauternes-Vallée du Ciron qui rassemble plus de 300 participants entre vignoble forêt et descente canoë.

  Depuis le printemps dernier, « Au fil du Ciron » vous invite à découvrir des sensations nouvelles sur différents niveaux de parcours-aventure dans les arbres et voir la Vallée du Ciron depuis leurs cimes.  

Bernard LAURANS;

Journée neige à Artouste.

Samedi 4 mars 2006.

Départ de Pujols sur Ciron à 5 h 30.

Arrivée à Artouste à 9 h 30 ( halte casse croûte)

Départ d'Artouste à 18 h.

Arrivée à Pujols sur Ciron à 22 h 30 ( halte casse croûte).

Transport = 25 Euros.

Déjeuner = 15 Euros. ( facultatif)

Renseignements et inscriptions : 05 56 76 61 98  / 05 56 76 65 14

Le Ciron (rivière).

Le Ciron est à la cote de 67 cm. 
Le niveau 0 étant l'étiage le plus bas repéré de 1990. Dernière des trois années sèches, 88, 89,90
Point de relevés, sis à 5.300 mètres du confluent avec la Garonne à vol d'oiseau soit près de 8.000 mètres au fil de l'eau.
Le cumul des précipitations s'établit depuis le 19 juillet 2005.

La brusque remontée du niveau du Ciron démontre que les sols sont gorgés d'eau en surface.

Le niveau des sources s'est élevé de seulement dix cm, mais très rapidement, une semaine.
Dans le ruisseau l'Arec, à sec de tout l'été, un filet d'eau s'est établi depuis le 20 février.

Il pleut dans la région entre 750 et 850 mm en année pleine.

M. Jean Dartigolles, historien local, cite une année de sécheresse intense où il n'avait plu que 400 mm.

 

Dates 23/02/06 13/02/06 01/02/06 17/01/06 31/12/05
Niveau. (Cote). 67 31 37 39 29
Hauteur d'eau. 1,22 0,86 0,92 0,94 0,84
Largeur 13 m. - 2 m. = 11 11 11 11 11 11
Somme H. x l. 13,42 9,46 10,12 10,34 9,24
Vitesse : 75 m en : secondes. 100 115 115 115 115
Soit = m/s 0,75 0,65 0,65 0,65 0,65
Soit = km/h. 2,70 2,35 2,35 2,35 2,35
Débit en M3/s. 10,07 6,17 6,60 6,74 6,03
Débit en M3/h. 36 234 22 210 23 760 24 277 21 694
Evolution en % 63% -7% -2% 12% -5%
Précipitations. (Pluie) en mm. 62 2 16 57 13
Total depuis le 19 juillet 05 433 371 369 353 296

 

Infos Utiles :

Dépannage Informatique. Frédéric Flores Sos Depan. Info.05.57.31.05.38 / 06.65.26.45.42 floresfr@wanadoo.fr

Débarrassons caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. 

Avant de jeter n’hésitez pas à contacter Christian de LOS ANGELES, membre du club Informatique :  05 56 76 61 81

Passez vos annonces artistiques, culturelles, sportives, de loisirs, sociales et covoiturage sur le Web. 
Participer au covoiturage géré par
Adiu : (adiu@adiu.fr) ou http://www.adiu.fr

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
Président Christian FLAGES    Tel: 05 56 76 61 98
E-mail: club.info.pujols@wanadoo.fr
Site: http:perso.wanadoo.fr-pujols-sur-ciron
Site: Vallee-du-ciron.com
Site: Cironsite

 Le webmixer
André COCHET

Tel: 05 56 76 63 12
ancochet@wanadoo.fr