NOUVELLES
de la Vallée du CIRON. |
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Mustil |
Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
Mustelle |
N° 159 du 16 mai 2006. |
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L'informatique est comme une
flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire.... | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'église de Dieulivol. S.O.S. L'atelier artistique de Sauternes expose. Via Aquitana, vins, Croisade contre les degrés. Via Aquitana, antenne girondine, sortie archéologique. Sensations fortes au bord du Ciron. La réussite après huit mois de galère. Expo sur la Russie à Barsac, château Gravas.. Cinéma à Captieux : programme.. La machine à lire. Rencontres avec les auteurs. La rivière.....le Ciron. Infos utiles. |
Ciron S.A. Cette entreprise de conditionnement de produits chimiques est installée au bord du Ciron, sur le site de l'ancien moulin de Pernaud à Barsac. Elle propose d'apporter des informations aux correspondants des "Nouvelles" sur l'utilisation de ces produits pour faciliter les tâches ménagères ou le bricolage. Poser les questions : ACLIC Michel
Pons | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'église de Dieulivol.....S.O.S.
Le bâtiment - inscrit à l'Inventaire des monuments historiques - est une ancienne chapelle castrale édifiée au XIII ème siècle au bord d'un plateau rocheux qui surplombe la vallée du Drot. Depuis de nombreuses années des chutes de rochers sont observées, la falaise régresse inexorablement mettant en péril la tenue de l'édifice. Les fondations de l'église ne sont plus, par endroit, qu'à quelques centimètres de la crête de la falaise. L'église peut donc s'écrouler à tout moment et avec elle c'est la mémoire d'un haut lieu de l'histoire de cette région qui risque de disparaître à tout jamais ! Pour éloigner ce péril il faut entreprendre au plus vite des travaux de confortement du site. Ces travaux ont un coût qui a été estimé à 120.000 euros ... Cette somme est énorme pour une petite commune rurale de 263 habitants. L'Etat ne prend à sa charge que 30 % du financement et le Conseil général de la Gironde 15 % seulement... Par ailleurs, le dimanche 4 juin 2006, dans le cadre de la Semaine du développement durable, une promenade paysagère est organisée par l'association Paysages d'Aquitaine depuis l'Abbaye de Saint-Ferme jusqu'à Dieulivol. La population de Dieulivol accueillera les randonneurs autour d'un pique nique (sorti du sac) partagé avec eux et leur fera découvrir l’histoire du village et de l'église. Une tombola sera organisée au bénéfice de la sauvegarde du site : de nombreux lots sont à gagner dont une superbe sculpture, œuvre d’art de Liliane Yauner, artiste franco-anglaise et habitante de Dieulivol. Pour connaître tous les renseignements pratiques pour participer à la randonnée, vous pouvez me contacter ou consulter le site suivant : Pénicaud Benoît
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L'atelier
artistique de Sauternes "Printemps des Arts " qui aura lieu Vice-Président Exposition
ouverte du jeudi
18 mai au lundi 22 mai 2006 de
14 à 18 h 30 Edgard Soula. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Via Aquitana : Vins : Croisade contre les degrés. « Les techniques de désalcoolisation devront être généralisées »... C'est le ministre de l'Agriculture qui le dit. Le temps n'est plus aux vins à forts degrés. Pour conquérir des consommateurs, les vignerons des Etats-Unis et de l'hémisphère sud extraient l'alcool sans complexe. Pas en France où, pourtant, les campagnes antialcooliques donnent des scrupules aux buveurs de vin... Et surtout pas en Languedoc, où la recherche de la qualité a fait grimper les degrés. Entre
une réglementation européenne qui interdit de désalcooliser et les
autorités de santé qui stigmatisent l'abus d'alcool, deux vignerons de Béziers
sont en croisade contre un paradoxe bien français et, évidemment, ils
prennent des coups... On n'a jamais raison trop tôt. « Plume », le vin à 9° des Pugibet, remporte un réel succès à l'exportation. Et pourtant, il leur cause beaucoup de problèmes avec l'administration. Trois questions à Jean Louis ESCUDIER. Directeur Inra UE Pech Rouge Gruissan (Aude) « De nouvelles voies a ouvrir» Qu'apporte l'alcool au vin ? Le vin est un produit complexe, fait de l'équilibre de milliers de composants. Quand on sait qu'un arôme présent dans la proportion d'un pour dix mille peut modifier radicalement les qualités gustatives, on comprend que 12 % 13 % d'alcool jouent un rôle majeur dans l'identité du vin. Mais c 'est aussi affaire de perception. Nos sens se réétalonnent assez rapidement sur des degrés plus bas. Que pensez-vous de l'osmose inverse ? S'il s'agit de réduire de deux on trois degrés, cette technique est au point. Aujourd'hui l'INRA avec l'Institut technique du vin et l'Institut coopératif du vin, travaillent, dans le cadre d'un programme régional, sur l'intégration des techniques de désalcoolisation dans le tissu local des distilleries. Ainsi, nous suivons la mise en place d'un atelier de désalcoolisation à la distillerie d'Olonzac dans l'Hérault. Sur ces techniques, le champ de nos investigations est vaste. Elles portent notamment sur une gamme qui va de 6° à 12°. Notre but est d'ouvrir de nouvelles voies vers de nouveaux produits, pas de dire la vérité sur le vin. Y a-t-il d'autres façons d'obtenir de faibles degrés ? Autrefois, les vins du quotidien titraient entre 9° et 10°. Ils étaient issus de cépages à faible teneur en sucre. A l'Inra de Montpellier, Alain Bouquet étudie le croisement de deux variétés dont l'une est hautement résistante aux maladies. Les premières micro-vinification ont permis d'obtenir un vin à 9° avec un raisin a maturité. Toujours à l'Inra de Montpellier, on travaille sur la mise au point de levures de fermentation à faible production d'éthanol. Il
aurait pu également y avoir la voie des OGM mais elle a été abandonnée
par l'INRA.
L'Europe
distille lentement sa loi. Désalcoolisation,
utilisation des copeaux de chêne,... : le débat autour des nouvelles
pratiques oenologiques oppose deux conceptions du vin. Il
a pour toile de fond, la chute de la consommation dans les pays
producteurs d'Europe occidentale, et la nécessité pour eux d'exporter
vers les marchés émergents où ils sont confrontés à la concurrence
des Pays du Nouveau monde viticole. Ces
derniers s'appuient sur l'utilisation de méthodes issues de l'industrie
agroalimentaire pour produire des vins technologiques aux
caractéristiques invariables. A
contrario, l'encadrement des pratiques en Europe est fondé sur le respect
pointilleux de la définition du vin telle qu'elle figure dans le code
alimentaire : un produit issu de la fermentation de raisins frais. Le vin doit donc être le plus naturel possible et les interventions, aussi bien dans les vignes que dans les chais, se limiter à la correction des aléas climatiques. Ces
usages loyaux et constants, sont listés dans le règlement communautaire
qui s'impose
aux pays de l'Union Européenne. Les pratiques qui n'y figurent pas sont
donc interdites. C'est
le cas de la désalcoolisation. Le
règlement fixe aussi le degré
alcoolique minimum, région par région. Il
est de 9° en Languedoc
Roussillon, 9°5 en Espagne,
8°5 en Charentes. Mais
la globalisation du marché, fait évoluer les choses. Ainsi, eu 2002
l'Union Européenne a admis une exception à l'interdiction de
désalcooliser. Les
Etats peuvent autoriser des
expérimentations pour des volumes limités et commercialisables
uniquement sur le marché intérieur. En
France ces expérimentations se font dans le cadre de protocoles entre
l'administration et le
Vigneron.
En 2004, l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV)
où siège tous les pays
producteurs de l'UE, a introduit la désalcoolisation partielle du vin
dans le code International des
pratiques œnologiques tout
en limitant la réduction à 2°. C'est
un pas de plus vers la généralisation de la pratique en Europe.
C'est
quoi, l'osmose inverse ? L'autre stade est après la fermentation, une fois le vin fait. Deux techniques sont aujourd'hui bien maîtrisées: l'évaporation sous vide et l'osmose inverse. Cette dernière, utilisée au domaine de La Colombette, permet en passant le vin à forte pression sur une membrane, de séparer l'extrait sec de la solution hydro-alcoolique. Il faut ensuite distiller celle-ci pour pouvoir réincorporer l'eau endogène dans le vin traité. L'utilisation d'eau exogène (mouillage) est interdite alors qu'elle est autorisée aux Etats-Unis.
Croisade contre les degrés sur les terres de La Colombette. A
Béziers, ses copains l'appellent le
Diable , à cause de sa barbiche à la Méphistophélès, à cause de
ses chardonnays pour lesquels on se damnerait, à cause de ses entêtements
aussi qui font que ses ennemis le vouent aux enfers... Et ses entêtements
ont conduit François Pugibet devant un juge la semaine dernière. Parce
qu'il avait eu des mots pas très doux à l'adresse d'un inspecteur des
fraudes. Il
le dit d'ailleurs sans détours: « Les inspecteurs des fraudes ne
remettrons plus les pieds à La Colombette. » Entre lui, son fils
Vincent, et l'administration, le contentieux est lourd. Si lourd qu'il a
un peu écorné l'image de ce domaine prestigieux, planté sur les généreuses
croupes calcaires qui dominent la vallée du Libron. «
La désalcoolisation, ça fait quatre ans qu'on y travaille. Au début, ou
a fait ça en catimini. On a testé l'osmoseur la nuit pour ne pas attirer
l'attention. Puis nous sommes allés aux Etats-Unis. Là-bas, l'alcool
dans le vin n'est plus un problème. On l'élimine à grande échelle.
Alors, on s'est dit: il faut en parler, sinon on va encore prendre du
retard... » Et
ils en ont parlé, les Pugibet. Ils en ont parlé avec cette passion qui
les caractérise et qui emporte tout sur son passage. «
La recherche de la qualité dope l'alcool dans cette région. On a pris en
moyenne un degré par décennie. Or, à plus de 13° on tue le vin »,
martèle François. En
juillet, l'an passé, « La Colombette » sort sa gamme joliment baptisée
Plume : des vins écornés à l'osmoseur. Des vins qui affichent la
couleur sur l'étiquette: « vin partiellement désalcoolisé »,
peut-on y lire. Leur degré ? 9°, à la frontière du monde du vin. Les
Pugibet se répandent dans la presse, donnent des conférences avec
l'appui des organisations professionnelles. Des personnalités politiques
les cautionnent. « C'est vrai qu'à leur façon, ils ont fait avancer
les choses en portant le débat sur la place publique. Maintenant,
on s'intéresse aux travaux des chercheurs », relève Philippe
Cottereau de l'Institut technique du vin (ITV). Des
combats d'avant-garde, ces vignerons en ont livré d'autres. François a
été l'un des premiers à introduire le chardonnay dans la région, l'un
des premiers à utiliser la machine à vendanger, à produire à grande échelle
des bouteilles à capsule à vis, l'un des premiers (et des rares) à
irriguer ses vignes au goutte-à-goutte, à planter en haute densité (8.000
pieds à l'hectare contre 4.000). Avant
de les gagner, ces combats, il a pris des baffes. « Je ne rentrais
jamais dans les clous des aides publiques depuis, je n'en demande plus
», rigole François. Aujourd'hui,
l'utilisation rationnelle du goutte à goutte qui évite à la vigne les
souffrances des étés torrides, et la haute densité qui permet de réduire
la charge de fruits par pied, conduisent à des maturités optimales. Sur
les coteaux de la Colombette, les cépages offrent le meilleur de leur
expression, pour une production de vins de pays dont la notoriété n'est
plus à faire. Pourtant
ici, le sucre dans les cuves ne donne jamais trop d'alcool dans la
bouteille. «
Tous nos vins sont corrigés à l'osmoseur, même ceux qui partent chez
nos clients les plus prestigieux. C'est comme ça que nous marquons des
points à l'exportation, » explique Vincent. Ainsi,
depuis l'année dernière, leurs vins volent sur la compagnie hongkongaise
Cathay Pacific et Plume, leur « 9° », est largement diffusé à l'extérieur
de l'Hexagone : "c'est
notre revanche sur les "bodybuildés" du nouveau monde. La
mondialisation ne nous effraie pas, pourvu qu'on nous donne la liberté de
l'affronter." A
trop rechercher cette, liberté, les Pugibet ont largement enfreint les règles.
C'est sous la pression et au bout de trois procès verbaux qu'ils ont
finalement conclu, en décembre2OO5, un protocole d'expérimentation avec
la Direction de la concurrence et de la répression des fraudes... Une
administration gênée aux entournures par la notoriété de leur combat,
mais qui n'en continue pas moins son travail. Car
les deux vignerons ne se satisfont pas, bien sûr, du protocole. Ils ne
devraient pas exporter le vin désalcoolisé, ils l'exportent ; ils
devraient limiter les volumes produits, ils passent tout à l'osmoseur ;
ils devraient avoir une colonne de distillation, on vient tout juste de la
leur livrer,... Persuadés que, d'ici peu, les règles auront évolué,
les Pugibet avancent à l'assaut du Nouveau monde avec la foi des
conquistadores, au risque de trébucher. François et Vincent Pugibet inaugureront en grande pompe leur unité de désalcoolisation, mercredi 10 mai à 18 h 30, au domaine de La Colombette, près de Béziers. Association Via Aquitana. Mairie de Canet d'Aude. 1 route de Raissac. 11200 CANET D'AUDE. Tel : 04 68 43 81 42. Fax : 04 68 43 88 64. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Recherche Archéologique. Antenne Girondine de Via Aquitana.
Antenne Girondine de Via Aquitana Siège social : Mairie de Barsac 33720 Courrier
: J.P.PETIT 2 7 me Ferbeyre. 33200 BORDEAUX Baigneaux : 05 56 42 97 83 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
De
nouveaux parcours d'accrobranche créés. Marche
dans les arbres, vélo acrobate ou tyrolienne : il y en a pour tous les goûts
et pour tous les niveaux. « Le but n'est pas d'attirer des
milliers de personnes en créant une industrie accrobranche. Il faut que
l'on vive de notre activité mais en gardant la convivialité et des
rapports humains de qualité avec nos clients ». Un an après, ce principe édicté
par la bande des quatre d'Au fil du Ciron, est toujours vrai et
surtout a fait ses preuves. Un an après le lancement du parcours aventure situé sur les bords du Ciron bommais, on retrouve Sébastien Born, Bruno Boyer, Laurent Lafarge et Pierre Caty, plus que jamais investis et motivés par leur petite entreprise d'accrobranche. Une première saison positive, où
effectivement leur accueil et leur enthousiasme a fait recette auprès des
visiteurs, les quatre animateurs continuent l'aventure plus que jamais
soutenu par une municipalité concernée par la réussite de cette
entreprise. Un parcours pour les tout petits. En bons chefs d'entreprises, ces
spécialistes de l'alpinisme urbain font évoluer leur prestations et
proposent cette année plusieurs nouveautés. Ainsi la création d'un
parcours « baby » ouvert aux petits, à partir de 2 ans. « Enfin, les petits frères et
soeurs ne seront plus cloués au sol pendant que les plus grands seront
dans les arbres. Cela répond à une demande » est‑il précisé. Et
attention, ce n'est pas un parcours au rabais. Tout y est, y compris une
tyrolienne: « C'est exactement conçu comme un grand, avec des agrès
sympas. Mais tout est adapté à l'âge. » En fait, à 1,50 m du sol,
les enfants seront harnachés de la même manière, auront une ligne de
vie et toujours deux mousquetons à gérer. Mais la faible hauteur
permettra aux parents de les suivre et de pouvoir intervenir à tout
moment. Y compris à la tyrolienne. Nouveautés.
Autre nouveauté, un parcours
intermédiaire accessible avec une taille de 1,30 ni et proposé aux
enfants comme aux adultes hésitants. « On a pris le temps de le
penser et de l'élaborer. Il est novateur, original et ludique. »
Effectivement, le parcours est à la hauteur de l'annonce puisqu'on pourra
y faire du vélo, le saut de Tarzan et l'éternelle tyrolienne, de 87 m
tout de même ! Un parcours pour la tête et les jambes avec pour le
candidat, des options de chemins à prendre durant le périple. Selon son
choix, l'amènera à une boucle plus ou moins difficile. Et à la fin le
fameux saut de Tarzan dont nous ne divulguerons pas le principe. Il vaut
mieux découvrir en situation. Pour clôturer le chapitre des
nouveautés, des nocturnes sont proposées cet été. La bande n'a donc pas hiberné,
car au‑delà des nouveautés les parcours existants ont aussi évolué,
notamment l'Expert. Au fil du Ciron mène donc sa barque et ne
navigue pas à vue. Préoccupés par la réussite économique de
l'entreprise ils ne veulent pas négliger l'accueil et la richesse du
contact humain. Vertige ou pas, sportif ou non, tout est possible pour
passer un bon moment. Si l'on ajoute le partenariat avec la base de canoë,
il y a vraiment de quoi faire sur les bords du Ciron. Christine
Berges. Au fil du Ciron à Bommes. Tél.
06.85.16.05.23 ou 06.70.27.11.17. Sud Ouest 13 mai 2006. |
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La réussite après huit mois de galère. Stéphane Richard a ouvert son atelier de réparation-vente de cycles sur
la zone artisanale de Saint-Symphorien
? "Ce
qui me fait râler, c'est que ça tourne alors que toutes les banques
m'avaient refusé le crédit ! " Penché
sur son établi, Stéphane termine un travail en racontant son parcours.
Il n'y a aucun doute, les clients se succèdent, le « boulot »
rentre... Et
pourtant, quelle galère pendant les huit mois écoulés entre l'arrêt de
son travail salarié et l'installation ! Bien sûr,
le maire Guy Dupiol lui a trouvé un local. Heureusement
aussi que sa mère l'a beaucoup aidé. Mais le refus successif de douze
banques a failli lui faire vendre sa maison. C'est l'intervention de
Philippe Carreyre, le conseiller général, qui a débloqué son dossier
de prêt. Apprenti.
Quelle
est l'origine du projet que Stéphane vient de réaliser à 30 ans ? Le
souvenir des trois années de 18 à 21 ans passées chez celui qui lui a
appris son métier: un véritable maître artisan avec des idées à lui
et une relation singulière avec l'apprenti. « Il
m'a appris plus que le métier, il m'a appris la vie ! » Le choix
de Saint-Symmphorien ? Il n'y
connaissait personne, il a fait bâtir sa maison ici à cause des prix modérés
: « je ne regrette rien, pour rien au monde je ne voudrais revenir à
Bordeaux, on est super tranquille ici ». Stéphane
est marié et il a une petite fille de 2 ans et demi. Son épouse vient d'être
embauchée dans une entreprise du village. Jean-Pierre Castro. |
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Exposition sur la Russie à Barsac. CHATEAU GRAVAS du mardi 27 juin au dimanche 16 juillet toutes
les après-midi de 14h00 à 18h30 Notre thème : Le Métissage Culturel Aquitaine-Russie. Le Concept : Regards croisés : La France reflétée par les artistes russes et la Russie dans le regard des artistes français. Notre manifestation culturelle :
Le tout sera agrémenté par une dégustation de nos vins de Barsac en toute convivialité. Florence Bernard CHATEAU GRAVAS 33720 BARSAC. T : 05.56.27.06.91 |
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Le Cinéma à Captieux : Centre audiovisuel de Captieux. Programme du 24 mail 2006 au 17 juin 2006.
Mme HENDERSON PRESENTE Angleterre 2005 - 1h45Comédie dramtique de Stephen Frears Avec Judi Dench, Bob Hoskins, Will Young, Christopher Guest Londres, 1937. Fraîchement veuve, la riche Laura Henderson, 69 ans, s’offre un théâtre, le Windmill. Vivian Van Damm en sera l’administrateur. Ces deux fortes personnalités s’opposent, mais cette étrange association ne tardera pas à porter ses fruits; mieux, elle bouleversera très vite les frileuses habitudes du théâtre britannique!.. « Mme Henderson initiera le public de tout sexe à l’audace d’être libre et à la réflexion toute pure en hameçonnant, poissons que nous sommes, notre goût pour la beauté : l’érotisme comme toujours a bon dos » Le Nouvel Obs L’AGE DE GLACE 2 Etats Unis 06 - 1h26Film d’animation de Carlos Saldanha Pour Manny, Sid et Diego, la vie est devenue aussi douce que la température. Mais l’heure n’est point venue de faire de beaux projets, car la fonte d’un immense barrage de glace menace leurs vies. Il faut rejoindre l’autre bout de la vallée. Voilà nos 3 aventuriers de nouveau sur la route, accompagné d’Ellie et de ses 2 insupportables frères... « Une équation comique imparable : nos 3 héros, Sid, Manny et Diego, ajoutez-y une femme mammouth dingo et le fameux écureuil obstiné… » MEMOIRES D’UNE GEISHA Etats Unis 06 - 2h20Comédie dramatique de Rob Marshall Avec Zhang Zlyl, Ken Watanabe, Michelle Yeoh, Gong Li Peu avant la seconde guerre mondiale, Chiyo est arrachée à sa famille pour travailler dans une maison de geishas. Après une difficile initiation, elle devient la légendaire Sayuri. Mais celle qui fascine les plus puissants reste hantée par l’amour qu’elle porte, en secret, au seul homme qu’elle ne peut atteindre… « 2h20 de beauté pure » Rolling Stone JUSTE-PLANETE : Forêts, l’espoir certifié France 05 - 52’Un documentaire de Jean Michel Vennemani et Noël Mamère La collection documentaire Juste Planète fait le pari de remettre en perspective les actions des hommes au sein du commerce équitable. En trois volets -le café en Colombie, le coton au Mali et le bois au Brésil-, de cultures en cultures, de villages en villages, nos ambassadeurs J.M. Vennemani et N. Mamère développent leur point de vue. Pour eux, une prise de conscience de tous peut amener à une multitude d’actions individuelles qui impactent la chaîne de valeur dans son ensemble et jusqu’à son origine. Dans le cadre de la semaine nationale de développement durable et de la mise en place d’un Agenda 21 sur le Pays des Landes de Gascogne. JEAN-PHILIPPE France 06 - 1h30 Comédie de Laurent TuelAvec Fabrice Luchini, Johnny Hallyday, Guilaine Londez, Antoine Dulery Fabrice, le plus grand fan de Johnny Hallyday, se réveille un jour dans un monde parallèle où Johnny n’existe pas. Désespéré, il part à la recherche de Jean-Philippe Smet, et le retrouve en patron de bowling. Il va alors tenter de réveiller le Johnny qui sommeille en Jean-Philippe, mais ils ont 40 ans de carrière à rattraper… « Osons l‘écrire, ce film est l’une des meilleures comédies écrites ces dernières années» Le J.du Dimanche
PRIX DE LA SÉANCE : Tarif plein : 5 E / Tarif réduit* : 4. Tarif réduit* : demandeurs d’emploi, étudiants, enfants de moins de 12 ans CARTE DE FIDÉLITÉ : 5 films + le 6e gratuit - Tarif plein : 25 / Tarif réduit* : 20 Une salle confortable, un son Dolby Stéréo, 4 séances par semaine en moyenne. Répondeur Cinéma: 05 56 65 90 50. Mairie. 05 56 65 60.31 Mel: mairiecaptieux@yahoo.fr
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La Machine à Lire.
Mercredi 17 mai à 18h Alain Monnier À l'occasion de la parution de son roman "Givrée" aux éditions Flammarion. Alain Monnier vit à Toulouse. Il est l'auteur de sept ouvrages parus aux éditions Climats : "Signé Parpot" (1994), "Un amour de Parpot" (1996), "Parpot le bienheureux" (2004), "Côté jardin" (1998), "Les ombres d'Hannah" (1999) ainsi que "L'insoluble problème de la présence sur terre" (2000), recueil de nouvelles et "Survivance" (2002). Il explore au travers de formes narratives variées, en jouant de contraintes toujours renouvelées, les zones floues de l'humaine condition où se côtoient normalité et turpitudes. "Mais qui est givrée ? Est-ce Marie l'effrontée que le sexe ennuie ? Est-ce l'histoire de cette accumulation de réfrigérateurs ? Ou notre époque de communication qui, à force de mensonges, a terrassé le sens commun ? Quel rapport y a-t-il entre les centres d'appel et la paternité ? Entre l'amour et l'électroménager, et particulièrement le frigo ? Vous apprendrez beaucoup de choses sur ce dernier, mais sans doute pas tout. Certains sujets, tel le phénomène bien connu des hommes qui n'y trouvent jamais rien, et l'explication controversée qui prétend qu'ils sont, depuis la nuit des temps, des chasseurs au regard exercé à se porter au loin pour apercevoir le gibier et non sur l'étagère du frigo pour dénicher la cuisse de poulet derrière le pot de confiture, ne sont pas abordés. N'est pas non plus abordé le cas de Clara Adélaïde Girardon, la belle tourangelle, qui demanda en janvier 1922 un brevet pour un appareil dénommé Grigorific et ne le fabriqua jamais. Tout ne sera donc pas dit à son sujet dans ce roman drôle et tendre... mais c'est pourtant grâce à lui que Marie découvrira combien les "presque rien" nous changent plus sûrement que les grandes idées." "...Car ce roman tient d'un petit miracle : la façon dont le narrateur garde jusqu'au bout sa posture d'observateur amical et attentif, mêlant l'ironie à la gravité, et brossant autour de ses personnages un monde moderne aussi absurde et peu réconfortant que favorable aux belles aventures. Du pur plaisir." (Sophie Avon, Sud-Ouest Dimanche) La rencontre sera animée par Olivier Mony. Jeudi 18 mai à 19h Jean-Luc Coudray et Ted Benoît Né en 1960 à Bordeaux, Jean-Luc Coudray s'engage dans l'écriture et le dessin d'humour en créant en 1979 Monsieur Piéton pour Virgule. Il multiplie depuis les projets en tant que scénariste dont "Nous sommes tous morts" avec Lewis Trondheim, les séries "Drôles de…" et "Théocrite" avec son frère, Philippe. Il est également novelliste et a obtenu le Prix Paul Valéry de poésie. Il vient de publier "Monsieur Mouche tome 3" (Zanpano, 2006). Thierry Benoît, dit Ted Benoît, est né en 1947. Passionné par les films hollywoodiens de haute époque et grand admirateur du style graphique de la "ligne claire" institué par Hergé et Edgar Pierre Jacobs, Ted Benoît conjugue ces deux références sur un mode subtilement parodique où futur proche et passé récent se mélangent : "Berceuse électrique" (Casterman, 2002), "Cité lumière" (Casterman, 2003) et "L'homme de nulle part" (Casterman, 2004). La rencontre est organisée par l'association Arcadia et sera animée par Laurent Queyssi et Alain-Julien Rudefoucauld avec la complicité de Philippe Coudray. Vendredi 19 mai à 16h30 Gilbert Merlio Autour de la sortie du film "Sophie Scholl, les derniers jours". Germaniste, professeur à l'Université de Paris-IV après avoir enseigné à Bordeaux III, Gilbert Merlio est un spécialiste de l'histoire des idées, notamment politiques, en Allemagne. Il a déjà publié entre autres : "Jaspers, témoin de son temps" (Presses Universitaires de Bordeaux, 1986), "Bordeaux au temps de Hölderlin" (Peter Lang, 1997) et "Les résistances allemandes à Hitler" (Tallandier, 2003). La rencontre est organisée par l'association des Cinémas de proximité de la Gironde dans le cadre des "Clins-d'Œil Cinéma" et sera animée par Jean-Louis Ribreau. Samedi 20 mai à 17h La revue L'Inactuel Pour sa treizième livraison : "Moments excitants à penser" (éditions Circé). "Publié deux fois par an, L'Inactuel a été fondé en mai 1994, dans cette période dite de "crise" de la psychanalyse, par trois psychanalystes freudiens, Pierre Fédida, Patrick Lacoste, Marie Moscovici. Conformément à l'esprit qui anime la revue, la rédaction s'est entourée d'un Comité composé de représentants d'autres disciplines : Georges Didi-Huberman, historien de l'art, Patrice Loraux, philosophe, Charles Malamoud, historien des religions. Cette composition de la rédaction - noyau formé de psychanalystes, collaboration mutuelle avec des chercheurs d'autres domaines de la pensée - reflète les visées de cette publication : donner suite au sentiment partagé que dans le champ de la psychanalyse, sa pratique et sa théorie, et contrairement aux idées reçues, des voies et mouvements de recherche ne cessent de se proposer, surtout si l'on prend garde aux questionnements venus de ceux qui dans leur propre démarche sont confrontés à des écueils de même nature, et qui ont de l'"intérêt" pour la psychanalyse. Car "crise", à nos yeux, ne signifie pas forcément déclin mais plutôt obstacles et résistances qui obligent à bouger. "Résistances", à son tour, ne désigne pas nécessairement les refus répertoriés dans la cure ou l'air du temps, mais surtout ce qui de l'objet même de la psychanalyse - la "chose psychique" - ne se laisse justement ni chosifier ni épuiser. Approfondir ces perspectives, dans la psychanalyse et au-dehors d'elle, est l'une des démarches constantes de la revue. En ce sens, le sous-titre "Psychanalyse et Culture", apparemment conventionnel et qui semble désormais figurer sur tous les programmes prend ici une dimension intrinsèque à tout le projet. C'est ainsi que sur chaque thème proposé, objet commun à tous les auteurs sollicités, on a pu voir les conceptions de celui-ci se diversifier et se particulariser; mais également observer qu'au-delà des différences entre les approches, les questions soulevées se faisaient écho, fût-ce en apparaissant comme des obstacles les unes aux autres, contraignant les pensées et les pratiques à de nouveaux pas." (Marie Moscovici) La rencontre réunira les rédacteurs de la revue : Marie Moscovici, Patrick Lacoste et Patrice Loraux. Mercredi 24 mai à 18h Pascal Enard Pour son livre "Figurant polyversel" publié aux éditions Démocraties Nouvelles. "La salarisation de la fonction chamanique dans le prix de la passe psychanalytique, ne semble pas pourtant, à elle seule, détruire la fonction sacrée qui était celle de nourrir le moine bouddhique, le pèlerin expiatoire ou votif en de toutes autres situations historiques. Le grand apport freudien d'avoir fixé le prix de l'écoute et de la prolifération des maux intimes contre la banalisation communicationnelle petite-bourgeoise ne résout pas la question du duende : que le griot soit bénévole ou salarié ne lui donne talent ou réceptivité. Mais qu'il soit rétribué, adapté ou non à qui requiert ses services, lui permet de durer, car le salaire pour l'effort n'est pas le bénéfice de l'action mais le simple moyen de reproduction cellulaire du corps vivant." Le débat sera animé par Jean-Paul Abribat. Vendredi 26 mai à 18h30 Maria Santos-Sainz Pour son livre "L'Élite journalistique et son pouvoir" publié aux éditions Apogée. Maria Santos-Sainz est maître de conférences en Sciences de l'information et de la communication à l'université Michel de Montaigne de Bordeaux 3, où elle enseigne à l'IUT Carrières Sociales et à l'IUT de Journalisme. Docteur en Sciences de l'Information de l'Université Complutense de Madrid (où elle a enseigné le journalisme), elle a été auparavant rédactrice du quotidien national espagnol Diario 16 et rédactrice en chef de la revue Españoles en el Mundo. "Les médias actuels sont de puissants ressorts contrôlés, orientés, et instrumentalisés par une minorité de journalistes, l'élite journalistique, dont le rôle éminent dans le système démocratique est au cœur de nombreuses polémiques. À partir de l'évolution de l'élite journalistique en
France au cours des vingt dernières années, l'auteur étudie la
composition, les mécanismes d'ascension, les réseaux d’influence, le
profil social et idéologique, la façon dont cette élite introduit de
nouvelles pratiques journalistiques et de pouvoir." | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le Ciron (rivière). Le Ciron est à la cote
de 86 cm. La cote du Ciron est brusquement remontée de 34 cm à la suite des orages du 12 mai . La somme des précipitations est calculée depuis le 17 juillet 2005.
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Infos Utiles : Dépannage Informatique. Frédéric Flores Sos Depan. Info.05.57.31.05.38 / 06.65.26.45.42 floresfr@wanadoo.fr Débarrassons caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. Avant de jeter n’hésitez pas à contacter Christian de LOS ANGELES, membre du club Informatique : 05 56 76 61 81 Passez vos annonces artistiques, culturelles, sportives, de
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