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NOUVELLES
de la Vallée du CIRON. |
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Mustil |
Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
Mustelle |
Courriel occasionnel édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron. 33210 (Gironde) (France) |
N° 177 du 6 janvier 2007. |
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L'informatique est comme une
flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire.... | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Via Aquitana. A.G. à Barsac. Spectacle à Barsac. Tourisme en Sud Gironde. Ardilla fait danser à Saint Macaire. Le site internet de Cérons. Patrimoine en Sud Gironde.. Messe de noël chantée en occitan à Saint Ferme. Chants occitants à Louchats Le site Internet de la CdC de Villandraut. Rectification. Le frelon chinois.. Concours de soupes à Uzeste.. Art et Action. Inscriptions. Infos utiles. |
Plus on boit de vin ..... plus on trouve sa femme gentille, ses amis fidèles, l'avenir encourageant et ....... l'humanité supportable !
Gabriel Chevalier | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
A toi qui lis çà .... Bonne et heureuse année..... | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Via
Aquitana (Antenne
Girondine).
Assemblée Générale. Le SAMEDI 20 JANVIER 2007 à 15 Heures salle MONTALIVET 33720
BARSAC Madame, Monsieur, Je vous propose de nous retrouver le SAMEDI 20
JANVIER 2007 à 15 heures à la SALLE MONTALIVET pour l'assemblée générale
de l'Antenne. ORDRE DU JOUR Compte rendu de l' A.G. de Narbonne et ses décisions. Assemblée de Printemps en Minervois les 14 et 15
AVRIL prochain. Conférence de Mr Alain RECHIGNIAC, membre de
l'antenne, sur les ponts. Jean‑Pierre PETIT/Pierre COUDROY DE LILLE vous
souhaitent une bonne Année 2007 J.P.Petit. P.Coudroy
de Lille P.S.
Si vous connaissez des personnes intéressées par notre projet,
veuillez l'en informer et transmettez nous ses coordonnées Afin de lui
envoyer copie de ce courrier.
Antenne
Girondine Siège
social: Mairie de Barsac 33 720 Courrier
J. P. PETIT 27 rue Ferbeyre 33200 BORDEAUX Tel/Fax : 05 56 42 03 46 / 06 71 39 31 38 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Spectacle
à Barsac. "Duo
pour Violon Seul"
de
Tom Kempinski samedi
20 à 20h30 et dimanche 21 janvier à 15h
Françoise Cittone. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Tourisme en sud Gironde. Sud
Gironde Le Républicain 7 décembre 2006. ENQUÊTE
DE LA SEMAINE Auprès des hébergeurs, des vignerons, des élus, des
professionnels.. Tourisme
: le sud Gironde à la croisée des chemins. Vignobles,
fleuve et rivières, patrimoine naturel et historique, détente et loisirs
.... voilà autant de pistes pour «doper» le tourisme en Sud Gironde. Les
atouts sont nombreux mais il reste à les mettre en valeur dans le cadre
d'une politique de territoire. Les professionnels la réclament, les élus
en acceptent l'augure: il ne manque qu'une impulsion... Bâtir
une politique du tourisme en Sud Gironde, apte à mettre en valeur les
atouts du pays, à les fédérer pour donner une impulsion à la filière
et, par rebond à toute l'économie locale : voilà une idée
de bon sens qui fait
son chemin... Elle rallie les hébergeurs, les viticulteurs, les
techniciens du tourisme, les élus et, au delà de ces cercles, ceux qui
pressentent le bénéfice que pourrait en tirer tout le bassin de vie. Cette
belle unanimité se heurte pourtant
à quelques difficultés si réelles qu'elles n'ont pas été surmontées
à ce jour. Quelles
sont elles donc ? Dans
le désordre : le
territoire concerné par le projet, le nombre des structures (les offices
de tourisme, syndicats d'initiative, syndicats viticoles ... ) et des
collectivités existantes (les communes, Communautés de communes, pays,
canton ... ), voire l'état des relations entre certains acteurs du
dossier et pas seulement entre élus. Ce
denier frein, qui n'est pas le moindre, donne une idée du temps à
attendre avant un
éventuel déblocage : il ne viendra sans doute pas avant les prochaines
échéances électorales, c'est-à-dire les législatives et les
municipales qui rebattront les cartes
et le jeu. Dans
l'intervalle, intéressons-nous aux deux questions précitées
… Le
territoire ? La
plupart des acteurs du dossier s'accordent sur le contour à donner à ce
«Sud Gironde touristique». Prenant appui sur les deux atouts majeurs du
territoire, le vignoble et la Garonne, il inclurait
le Pays des Rives de Garonne (c'est à dire les Communautés de
communes de Langon, Auros, Saint Macaire et Podensac), le Pays de
Montesquieu, et les Communautés de communes de Bazas, Villandraut,
Captieux et Grignols. Quelle
structure ? Le
nombre des collectivités donne à imaginer
la quantité existante
de structures à vocation touristique et l'inconstance de la réalité sur
le terrain : la Communauté
de communes de Langon a son office de tourisme et le Pays de Montesquieu
le sien, Bazas fait vivre un office de tourisme municipal, le canton d'Auros
un syndicat d'initiative, comme Portets, commune membre de la communauté
de communes de Podensac, la seule des collectivités du cru à ne pas
disposer d'une structure touristique propre. Qui
a parlé d'un casse tête chinois ? Pour
y porter remède, les avis divergent parmi les tenants d'une politique
sud‑girondine du tourisme, du simple accord de partenariat entre les
entités existantes : Richard Voisin, directeur de l'office de tourisme du
Sauternais, Graves et Pays de Langon fera une proposition en ce sens aux
Communautés de communes et aux communes intéressées,
à la création d'une structure nouvelle chapeautant les OT et les
SI actuels, voire les absorbant purement et simplement. Cette
question, encore non réglée, est au coeur du débat: si l'essentiel paraît
de s'entendre sur le contenu à donner à la politique du tourisme, il
faudra bien une structure, quel qu'en soit le statut, Pour l'encadrer et
la piloter. Nonobstant
cette lacune, des projets émergent et des idées fusent, lire par
ailleurs, pour le développement du tourisme en Sud‑Gironde. Ce
bouillonnement donne à penser qu'il est urgent d'agir sauf à courir le
risque de laisser passer sa chance.
Parmi les idées à suivre, celle des chemins de randonnées et des pistes
cyclables, à la découverte des
trésors du Sud Gironde. Etienne
BOURRIBON. De
la Route des vins au tourisme fluvial. De
tous les projets touristiques à vocation sud‑girondine, le plus
avancé est la Route des vins. Il
s'agit d'associer les vignobles locaux, de Pessac~Léognan à Sauternes en
passant par les Graves, autour d'une vaste campagne de promotion. Enjeu
: la mise en service d'une signalétique commune et un effort à porter
sur l'accueil des touristes. Ce
projet est étudié depuis un an et demi dans le cadre du comité de
pilotage sur l'oenotourisme qui associe les acteurs du projet dont la
Maison des vins de Graves de Podensac, les offices de tourisme, les
syndicats viticoles, la Chambre d'agriculture, le Conseil général, le Conseil régional... Une
charte a été rédigée et été soumise aux vignerons. En la paraphant,
ils s'engagent à assurer les meilleures conditions d accueil du public,
en particulier la propreté des chais. En
contrepartie, ils seront référencés sur la Route des vins. A
ce stade, la création d'un site internet, la distribution de dépliants
et la mise à disposition de matériel GPS (pour permettre aux visiteurs
de se déplacer sur le parcours de la Route des vins) sont envisagées. Et
l'enveloppe budgétaire estimée: 160.000E à répartir entre les
partenaires du projet. Un
blocage semble se faire jour à Langon, le président de la CdC et le
directeur de l'OT ne voulant, ni l'un ni l'autre, libeller le chèque. Il
faudra pourtant faire sauter ce bouchon. D'autres
idées ou pistes de travail sont recensées, dont l'état d'avancement
diffère et qui ne créent pas toutes les conditions de l'unanimité. Il
en va ainsi des pistes cyclables et des chemins de randonnée, du tourisme
historique (autour des châteaux clémentins par exemple) et du tourisme
fluvial... TÉMOIGNAGES
/ l'avis d'un hébergeur et d'un viticulteur. Claude
et Michèle Bray : doper la moyenne saison. Sur
l'activité touristique et sur la région où ils l'exercent, Claude et
Michèle Bray, les propriétaires du gîte «La vigne reine» sur la
commune d'Illats, posent un regard neuf et dénué d'idées reçues. Et
pour cause: originaires du département du Nord, ils ne sont Girondins et
acteurs de la vie touristique
locale que depuis cinq ans... Un dépaysement et une vocation revendiqués:
«Nous avions le projet de tenir un gîte dans le Sud Ouest et nous avons
choisi la Gironde pour le faire. Nous
nous sommes installés en 2001 et nous avons aménagé un gîte comme nous
l'imaginions, à «La vigne reine» à Illats» témoignent ils. Vit-on
correctement de l'activité d'un gîte de quatre chambres dans la lande
girondine ? Claude et Michèle Bray répondent sans détour. Par la négative:
«Nous n'avons jamais pensé vivre du gîte. Nous
l'avons toujours considéré comme une activité de complément,
ancien journaliste à La Voix du Nord, Claude Bray est cadre dans
une collectivité territoriale. «Nous
n'avons pas le statut d'hébergeurs professionnels et cela nous convient». Pour
autant le couple s'emploie à développer l'activité de «La vigne reine»
et, à ce titre, souscrit à l'idée d'une politique touristique
ambitieuse et concertée à l'échelle du Sud Gironde. «Il
faudrait une structure unique, un office de pôle par exemple, pour lever
les barrières existantes, estime Claude Bray. Cette structure, quel que
soit son statut, aurait vocation à créer une offre touristique dynamique
autour des atouts de notre région : le vin, la Garonne, les chemins de
randonnée, le patrimoine historique ... Adossée
à une véritable politique de promotion du territoire, cette offre
serait de nature à donner de la consistance à la moyenne saison:
les mois d'avril, mai, juin, septembre et octobre. Ce serait profitable à
tout le monde : aux hébergeurs et aux viticulteurs, bien sûr, mais à l'économie
locale en général». Jean
François Villemeur : Il
est urgent d'agir. Le
tourisme, Jean François Villemeur s'y intéresse à double raison: en
tant que vigneron et en tant que président du syndicat d'initiative du
canton d'Auros. Cette double casquette lui donne à voir tous les problèmes
que soulève l'absence d'une politique du tourisme à l'échelle du Sud
Gironde. A
titre professionnel, l'exploitant du château «Les Guillemins», à
Langon, héritier d'une longue lignée de producteurs de vin de Graves,
confronté à la crise de la filière viticole, sait ne pas devoir négliger
le marché de l'oenotourisme. Sur
la propriété familiale, pas d'hébergement mais le sens de l'accueil
et... quelques bonnes idées. «Les
mentalités évoluent: les gens s'intéressent de plus en plus au travail
du vigneron et à la vie de l'exploitation. Il me paraît donc naturel de
leur consacrer du temps, de leur expliquer la culture de la vigne, la
vinification et le travail au chai. Je
passe parfois deux heures pour vendre trois bouteilles mais je consens à
cet effort parce que les gens satisfaits de l'accueil reviendront. Dans le
même esprit de service, je me suis mis en relation avec un hébergeur :
il m'envoie ses clients et je lui envoie les miens. L'an dernier, cela m'a permis de vendre un millier de bouteilles supplémentaire. Ce sont des échanges de ce type, appliqués à plus grande échelle, qui permettront de donner un coup de pouce à l'économie locale. Dans la seule filière viticole, je suis convaincu que cela peut permettre de sauver des exploitations mais il y a urgence à agir». Enfilant
le costume de président du syndicat d'initiative du canton d'Auros, Jean
François Villemeur donne des pistes de travail. Quelques
priorités aussi : «Il faut commencer par
se mettre d'accord sur le territoire : celui du Pays des Rives de Garonne
est petit, il manque Bazas et Villandraut voire Captieux et Grignols. A
partir de là, il faut prendre appui sur un support fort tel que le vin,
l'Airbus ou la Garonne pour donner envie au touriste de découvrir ce
qu'il y a de richesses dans la région. Il faut peut-être même voir plus loin et imaginer des actions avec Casteljaloux et son pôle thermal».
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Ardilla fait danser... En janvier, venez danser …
19heures– salle Fr. Mauriac de Saint Macaire
ARDILL’APERO TRAD
La Fondation de France est un nouveau partenaire d’Ardilla qu’elle soutient au titre de la création d’emploi. Cette soirée fera donc place, en ouverture, à une brève présentation de la Fondation de France par l’un de ses représentants régionaux, suivie d’une remise de diplôme à la présidente d’Ardilla, au titre de l’officialisation du partenariat… le tout dans un cadre musical chaleureux. 1ère Partie Les Sous-Fifres de Saint Pierre d’Aurillac Les souliers usés par des kilomètres de parade, le moment convivial qu’est un Ardill’apéro nous amènent les Sous-Fifres, au chaud dans une salle, avec leur répertoire d’air à danser : scottish, valses, bourrées, mazurkas, cercles… à volonté. Ils vont vous faire danser dans des rythmes traditionnels revisités. En suivant Grand Bal avec le Bass&Drum dance trio
C’est la première sortie de ce nouveau trio constitué de Julien Estèves à la batterie, Guillaume Vallot à la basse et Pascal Lefeuvre à la vielle à roue
électro.
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Site Internet
à Cérons.
Cette fin d'année est décidément active pour la commune, puisque son site Internet vient d'être présenté aux habitants : http://cerons33.fr. C'est l'adjoint Patrick Soulé qui en est à l'origine et le maire rendra hommage à son travail. « Il y a passé quelques‑unes de ses nuits, on ne sait pas trop ce que cela a entraîné comme conséquences au niveau de sa famille !» Ce site très fourni utilise la couleur jaune pour indiquer les informations relatives à Cérons et un dégradé de rouge pour les Graves. Pour la petite histoire, on apprendra que le nom « cerons » était déjà déposé par une société suédoise ! D'où le palliatif « cerons33 », comme pour Langon, dont le nom avait déjà été pris par une petite commune d'Ille‑et‑Vilaine. « Jusqu'à présent il n'y avait que la fête des petits pois de Clamart, on va pouvoir montrer les nôtres ! », fera observer Jérôme Priam, l'un des organisateurs de la Fête des petits pois de Cérons. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Patrimoine en sud-Gironde. Sauvegarde : La création d'un Centre du patrimoine se précise. L'objectif, sauvegarder les témoignages du passé encore nombreux. Des souvenirs à conserver. La « mosquée » de Langon: un exemple de patrimoine à sauvegarder! Il faut faire vite ... Ils disparaissent si rapidement ces puits, lavoirs, croix de mission, machines agricoles... et ces petits objets utilitaires de la vie quotidienne de nos parents et grands‑parents : matériel de cuisine, de chauffage, ustensiles d'éclairage, outils de jardinage, jeux et vêtements ... Il est temps de s'apercevoir de leur valeur, de les sauver et de leur faire raconter la petite histoire de ce pays. C'est ce que souhaitent faire Francis Patrouilleau et Alain
Miot, deux Langonnais qui chacun de leur côté ont créé une association de sauvegarde, associations qui pourraient d'autant mieux se rapprocher qu'Alain Miot est le trésorier de celle de Francis
Patrouilleau, et celui‑ci membre du bureau du futur Centre du Patrimoine du Sud‑Gironde. Futur, car les statuts seront déposés début janvier à la sous préfecture ! Mais Alain Miot qui travaille depuis longtemps à ce projet, le dit: « beaucoup d'associations font déjà quelque chose sur le patrimoine, il faut travailler ensemble ! ». Sans entrer dans les détails, nous y reviendrons au moment du lancement effectif de l'association, le créateur de ce Centre le voit comme un moyen de sauvegarder les objets, de les restaurer quand c'est nécessaire, mais aussi de les faire vivre. Un conservatoire et non un musée. Pas question de construire un musée et de les enfermer derrière une vitrine. Mais il s'agit de proposer une présentation vivante, active, peut‑être sous la forme d'un parcours sur plusieurs lieux où les enfants découvriraient comment vivaient leurs familles, il n'y a pas si longtemps, et les touristes comment vivaient les habitants d'une région trop souvent visitée superficiellement. Sur une idée de Jacques Pomarel, le premier objectif de ce futur centre du patrimoine, est de recréer une classe des années cinquante, avec ces petits bureaux, ornés de trous pour l'encrier, le gros poêle a bois ou à charbon, le tableau noir. Le Centre est donc à la recherche d'objets de cette époque, cartables, trousses... blouses... si elles n'ont pas été mangées par les mites. Une telle collection se constitue peu à peu. Les dons sont évidement les bienvenus, le prêt peut être une solution, particulièrement lors des expositions temporaires, et aussi l'achat dans les brocantes, ce qui sous‑entend que l'association obtienne des subventions, partenariats et autres mécénats ! Mais les objets ne sont pas tout, ils doivent s'accompagner de la mémoire des anciens, qui est aussi un patrimoine. Et inversement. Tél. 06.71.60.15.19. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Occitans
à Louchats. L'Association " Lous Casse Can" vous invite au concert de chants de Noël par l'ensemble choral de Benauge dirigé par Marie Noëlle Beau. Le dimanche 7 janvier 2007 à 15 h 30 dans l'église de Louchats. Au programme 25 chants de Noël du XIIIè siècle à nos jours. La soirée se poursuivra par un partage du gâteau des rois et vin chaud dans la salle des fêtes du village. Matinée de 15 h 30 à 19 h : 8 Euros, (gratuit pour les enfants)Eglise et salle des fêtes chauffées. Renseignements : 05 56 88 56 02.
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Messe de Noël
à Sainte Ferme.
L'association LA GRUIA ARGENTADA, membre du CGLO, vous informe : Dans la joie de Noël et de l'Epiphanie Le DIMANCHE 7 JANVIER 2007 à 11 h En l'Abbaye de SAINT-FERME (33580) Messe chantée en occitan par le Groupe le Poutou Toulousain. CRECHE VIVANTE. La célébration sera suivie d'un apéritif offert. Pour s'inscrire au repas, contacter le secrétariat de l'organisation 05 56 61 62 13 et 05 56 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le site Internet de la CdC deVillandraut. Sud Ouest 13 décembre 2006. Un
simple CLIC pour tout savoir Mais le lien n'était pas bon Adresse du site : http://www.cc-villandraut.fr/v/ C.Poyti.
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Le frelon chinois ! Le
Républicain 7 décembre 2006. Les apiculteurs locaux s'inquiètent. Le frelon de Chine «vespa
velutina» a fait une violente irruption dans les paysages lot et
garonnais puis girondin, puis dans tout le Sud de la France. Cet insecte aux essaims
impressionnants est un redoutable tueur d'abeille. Si la cause de Marcel Dugrand, un
apiculteur macarien de 71 ans, pourrait prêter à sourire à première
vue, il s'agit d'une cause nationale.t 1 Le frelon chinois a été repéré
en France pour la première fois à Nérac en novembre 2005, en mai 2006
les observateurs constataient un essaimage sur une bande géographique
allant de Tonneins à Langon suivant donc la vallée. Aujourd'hui, il semblerait que ces
redoutables insectes aient franchi la frontière avec l'Espagne au Sud et
atteint les limites septentrionales
des Charentes. Un frelon chinois tue environ 10
abeilles «apis notofica» par jour. Cependant la France ne produit pas
assez de miel et importe déjà la majorité du miel consommé sur son sol
national. C'est d'ailleurs la cause qui a servi de base à l'interdiction
l'an dernier d'utiliser des insecticides systémiques tel le «Régent»
ou le «Gaucho» qui attaque le système nerveux des abeilles et crée de
grands désordres dans les ruches (Parfois fatal à la colonie). Marcel Dugrand est aussi passionné
d'apiculture, il a constaté cet été une attaque sans précédent de ses
ruches qu'il a défendu du mieux qu'il a pu, il a tué tout de même 450
frelons chinois dont 60 le premier jour. Il a déclaré la guerre à ce
nouvel insecte qui s'est trop bien acclimaté et qui n'a pas de prédateur.
A Saint Macaire, la présence de
cet insecte atteint des sommets avec huit essaims recensés. La saison est
propice à leur découverte. Avec la chute des feuilles, les nids se
voient de loin: en effet les essaims construisent un nid ovoïde de la
taille d'une pignata (plus gros qu'un oeil de boeuf), de couleur terre
(beige marron) et fixé au sommet des plus hauts arbres, il est
reconnaissable de loin. Mais souvent les gens ne savent
pas de quoi il s'agit car ils n'en ont jamais vu. «Il faut maintenant se défendre
!» Marcel Dugrand se porte volontaire
pour organiser la lutte. En effet après avoir demandé aux pompiers ce
qu'il est possible de faire (oeux
ci, n'ont plus le droit de s'en occuper, il veut agir en deux phases:
premièrement, un recensement en décembre et deuxièmement, une
destruction par élagage en janvier (en effet à cette époque les nids
n'auront plus d'activité). Il prend contact avec un
professionnel qui fera un «prix de gros» vu la quantité
d'interventions: huit nids à Saint Macaire, deux dans des platanes du
clos des cordeliers, trois dans les acacias du quartier du moulin, ...
(L'insecte préfère la zone urbaine apparemment) c'est un de plus qu'à
Casseuil. En fait la cité médiévale
semble détenir un record de concentration de nids et le septuagénaire
compte demander à la municipalité une aide financière pour les propriétaires
d'arbres porteurs de nids pour les en débarrasser. Marcel Dugrand a eu l'occasion
d'observer le frelon chinois à l'attaque dans son rucher à Saint
Pierre d'Aurillac: l'insecte se met en vol géostationnaire devant la ruche puis, dès qu'une abeille
sort ou s'approche pour rentrer, il fonce sur elle et l'attrape en plein
vol, la tue instantanément avec ses puissantes mandibules puis l'emporte avec lui dans le
nid sur l'arbre perché où l'abeille est rangée dans un garde manger
pour l'hiver. Puis le frelon revient et, dans ce
va et vient incessant, il peut tuer 10 abeilles par jour. Marcel Dugrand a
pisté les frelons devant ses ruches et les à assommés lorsqu'ils étaient
en vol immobile, prêts à attaquer. «Maintenant, dit il, les nids ne
vont plus avoir d'activité, ça va être le moment de les cueillir et les
détruire». L'alerte est donnée. Il est facile à chaque propriétaire
foncier de repérer s'il y a, sur un arbre haut, un nid. Dans ce cas, téléphoner à
Marcel Dugrand au 05.56.76.28.60 L'abeille française est en danger
! il y a d'ailleurs d'autres envahisseurs qui sont en train d'arriver: un
parasite, le «varoa» un acarien microscopique et un petit coléoptère
venu d'Afrique du sud «aetina tumida». A cela, il faut ajouter un été
prolongé qui épuise les abeilles: celles ci vivent sur leur réserve et
continuent à sortir mais ne ramènent rien.
Pierre
RAMBAUD. |
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Concours de soupes à Uzeste. Le
Républicain 14 décembre 2006. TRADITION / Un concours gourmand
en préparation La
soupe à travers les âges. Soupes et Gasconades: ce sera
l'intitulé d'un concours gourmand imaginé, par l'association Foire de
Mai. Les cordons bleus, amateurs s'entend, sont invités à se manifester. La soupe sera l'occasion de faire
la fête mais aussi de se retrouver et de déguster. La marmite fait bouillir les idées
et une simple idée, histoire d'une soupe, est devenue un concept original
d'animation. La soupe naguère, se mangeait à tous les repas, été comme
hiver et même au petit déjeuner. Ce n'était pas un simple
bouillon, mais des recettes multiples, on prenait le temps de choisir les
ingrédients, de les préparer, de les faire mijoter et enfin de les déguster.
La cuisine est une pièce importante de la maison, du moins dans les
maisons anciennes, avec l'imposante cheminée et l'indispensable potager
avec ses braseros, et l'évier encastré. Dans les maisons paysannes, la
cheminée est le centre de la cuisine et la vie familiale se déroule
autour de l'âtre où pend la crémaillère. Les anciens et nos grands mères
ont appris à marier les saveurs, les goûts, à doser les produits du
jardin, et avec presque rien créer des plats simples destinés à nourrir
la famille. Il y a aussi les repas de fêtes, ceux de fortes ripailles,
rythmés au temps des travaux des champs, fenaison, battage, vendange. Les menus plus importants, ceux
des mariages et acabailles, recèlent une foule de plats, et parmi eux la
soupe. La soupe a sa place partout et
dans le banquet organisé au château de Gombervaux en 1367 pour sceller
le traité de Vaucouleurs, elle occupe une bonne place dans le premier
met. Le banquet en compte cinq, composés
chacun de trois plats. Ici la soupe est «Venoison de
sanglier en souppes», c'est à dire un bouillon épicé de viandes
largement assorti de tranches de pains, qu'on appelle «souppes». Le terme de soupe est donc très
ancien, qualifié de terme francique. D'ailleurs, les soupes de nos
lointains aïeux sont souvent accompagnées de pain trempé. Dans les
chaumières, la soupe est le plat principal, un bouillon avec quelques légumes,
du pain et parfois un vieux morceau de lard, histoire de donner un peu
plus de goût et de tenue. La soupe depuis a fait son chemin.
Elle est devenue un mets complexe et simple à la fois et est surtout
l'entrée par excellence, celle qui met en appétit. Il faut manger sa
soupe pour profiter du repas et pour les enfants : «Mange ta soupe, drôle,
si tu veux devenir grand». La soupe sera l'occasion de faire
la fête à Uzeste, les vendredi 9 et samedi 10 février, sous l'égide de
l'association Foire de Mai. Cela sera plus qu'une simple fête. Soupes et Gasconades sera un
concours de soupes ouvert à toutes et tous, professionnels exclus, Alors dès à présents mitonnez,
sortez les recettes, préparez vous car la date n'est pas si loin. Il faut
être au mieux de sa condition pour préparer et goûter les soupes et
pourquoi pas de gagner le concours. . Renseignements en téléphonant au
05.56.25.89.44 ou 06.71.13.36.48. Jean
Luc Harribey. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
ART & actions. A&a Inscriptions second trimestre dès maintenant.
Enfants, adolescents, adultes. Par l'apprentissage de techniques picturales et de procédés d'exécution classiques, les activités A&a incitent à la découverte des arts contemporains Un double objectif : favoriser l'expression personnelle et encourager à l'acquisition des techniques de base. Pour le plaisir de donner FORME à ce qui est à IMAGINER, chacun, au sein du groupe, évolue à son rythme et bénéficie d'une attention particulière portée à son travail et à ses goûts artistiques. Les ateliers sont proposés par Valérie Champigny,
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titulaire du DNSEP des Beaux-arts de Bordeaux. Valérie Champigny. Pour voir une présentation d' Art & actions Clikici. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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mobile se réduit fortement et dangereusement. Le cumul des précipitations est en dessous des moyennes annuelles, c'est préoccupant.
Le cumul des précipitations est mobile sur un an. Il est encore dans la fourchette haute d'une année normale. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Infos Utiles :
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Club Informatique de PUJOLS sur
CIRON Foyer Rural 33210 PUJOLS
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