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NOUVELLES
de la Vallée du CIRON. |
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Mustil |
Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
Mustelle |
Courriel occasionnel édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron. 33210 (Gironde) (France) |
N° 188 du 6 juin 2007. |
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L'informatique c'est comme une
flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire.... | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Expo à Dudon à Barsac. Lumières d'afrique. Fédération Française des Amis des Moulins Des déchets mal triés et peu recyclés.. |
Quand on sème des épines
on
ne va pas sans sabots.
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Nouvelles
du Club.
Le mardi 19 juin 2006 à partir de 18 h 30 Cette dernière séance autour d'un « Auto-pot » c'est à dire une réunion gastronomique où chacun apporte ce qu'il souhaite faire déguster à ses meilleurs amis, ou plus simplement un kil de rouge, un quignon de pain et un calendos, permettra de faire le bilan de l'année écoulée mais surtout d'envisager celle à venir. Mais avant il faut faire le bilan de cette année particulièrement riche : 64 Adhérents ont pu participer aux différentes activités. Le matériel : 15 ordinateurs fonctionnent en réseau à la salle informatique. Ils sont à la disposition des élèves de Pujols pendant les heures de classe. 3 sont installés à l'école avec accès à Internet. 15 autres sont en service à l'école de Bommes. Résultats pour le B2I (Brevet Informatique Internet) passé à Pujols avec succès pour 20 élèves de CM2. Ils pourront intégrer le collège avec de bonnes bases informatiques. Logiciels libres : l'utilisation de ces logiciels ouvre de nouvelles perspectives pour les utilisateurs car ils peuvent être portables c'est-à-dire qu'ils peuvent être utilisés sans contraintes. Clef USB : L'utilisation de ces logiciels installés sur une clef USB a permis aux Adhérents de recevoir les cours sur cette clef et de pouvoir les reprendre sur leur ordinateur, manipuler et continuer les exercices. Cette méthode est d'une efficacité exceptionnelle pour la formation. Elle permet des progrès très rapides et donc la possibilité d'aborder des domaines jusque là ignorés. Archivage, compression des fichiers, composition, etc... Une section de Photo Généalogie a permis au Club de participer au dépouillement de plus de 7.000 actes d'état civil d'Illats. Un site Internet pour mettre en ligne les 481 variétés du "Jardin de Tomates" est en cours de construction, toujours à l'aide des logiciels libres. Un nouveau formateur est venu épauler le Président et fait découvrir aux Adhérents des aspects, des possibilités de l'informatique généralement ignorés. Année riche donc, pleine d'innovations qu'il faut organiser et proposer pour l'année prochaine et il y a des projets ....! Venez blaguer avec nous. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Lou Camin Lu
dans le Républicain du 24 mai 2007. ASSOCIATION
/ Une soirée de soutien pour les enfants autistes. Lo
Camin ouvre le chemin. L'association
des familles d'enfants autistes «Lo Camin» célèbre, samedi Jacky
Grattecap, est le père de Clémentine, 12 ans, une enfant autiste, et le
président de Lo Camin. Il
raconte le chemin parcouru depuis 2002. «Au départ, six familles du
Sud Gironde avaient décidé de se regrouper, car les familles isolées en
milieu rural n'ont que très peu de recours possibles, face à l'absence
de structures publiques adaptées, et de proximité». Lo
Camin rassemble aujourd'hui 14 familles ainsi qu'une soixantaine de
sympathisants, et oeuvre sur trois axes : l'aide aux familles, la défense
des intérêts des personnes autistes et la sensibilisation et
l'information de l'opinion publique sur les problèmes particuliers liés
à ces handicaps et les stratégies possibles en matière d'aide et de
soutien. Ainsi
depuis 2005, dans le cadre des loisirs du samedi, de jeunes étudiants bénévoles
de l'association «Unis Vers» proposent à Barsac, des activités d'éveil,
de création, de motricité, de sport, ainsi que des sorties pédagogiques
et des initiations au spectacle. Lo
Gamin emploie aussi deux auxiliaires de vie, Aurélie et Laetitia, qui se
rendent au domicile des familles et dont les activités d'épanouissement
auprès des enfants sont remarquables. La
mobilisation des membres avec l'inauguration prochaine à Saint Macaire,
de l'ESTAPE, Institut Médico Educatif pour les enfants de 3 à 20 ans
atteints d'autisme ou de troubles apparentés. IME,
qui sera gérée par l'AEAEI, Association pour l'Etude et l'Action pour
l'Enfance Inadaptée, qui s'occupe déjà de celui de Lamothe Landerron. «La
scolarisation en alternance dans un établissement normal, grâce à
l'appui des Auxilliaires de Vie Scolaire, et dans un lieu spécialisé tel
que celui-ci, créera les meilleurs atouts pour favoriser l'autonomie et
l'intégration des enfants autistes dans la Société».
Lo
Camin milite maintenant pour la création d'une structure à destination
des autistes adultes. Cédric
Pallaruello.
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A Malagar
en juin.
** Samedi 16 & Dimanche 17 juin** Musica Malagar 6 concerts du département Musique de chambre du Conservatoire de Bordeaux Jacques-Thibaud, direction Jean-Luc Portelli, en partenariat avec la Caisse d'Épargne Aquitaine Nord. Durant ces deux jours, les élèves du Conservatoire de Bordeaux proposeront 6 concerts d'une heure. Le samedi 16 juin à 15h00, 17h00 et 19h00, avec au programme : Berlioz, Britten, Poulenc, Katchaturian, Beethoven, Dvorak, Brahms, Rota, Emmanuel, Saint-Saëns, Mozart, Schumann et Debussy. Le dimanche 17 juin à 13h, 15h et concert de clôture à 17h00, avec au programme : Martinu, Weber, Haydn, Mendelssohn, Mozart, Glazounov, Brahms, Beethoven, Arnold, Purcell, Lully, Lara et Rolin. Programme détaillé sur demande et réservation obligatoire au : 05 57 98 17 17.
Regards croisés père-fils : Mauriac et les autres. En partenariat avec la Société Internationale des Études Mauriaciennes et le Centre Mauriac de l'université Michel de Montaigne Bordeaux 3. Le colloque s’attachera à traiter de la filiation littéraire, symbolique ou réelle à partir de l’exemple de François et Claude Mauriac, mais aussi de Montaigne, Dumas, Stendhal et Gary, Queffelec, Vailland... "Tout fils est le père de son père." Claude Mauriac. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Santé
et Naturopathie.
La naturopathie a pour vocation de préserver la santé par des méthodes naturelles. Béatrice BURIOT Bodet Sud - 33750 Saint Quentin De Baron 05.57.24.21.91 bb.nat@wanadoo.fr - http://perso.wanadoo.fr/be.buriot Béatrice BURIOT | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Expo
à Dudon.
Lumières d'Afrique de Geneviève Coisset Vayssiere Chateau Dudon à Barsac. du 09 juin au 08 juillet 2007. de 8 à 12 h et de 14 à 17 h.
Ce sont des souvenirs inoubliables, des clichés insolites, des instants émouvants voire révoltants. Ces rencontres souvent trop brèves, ces morceaux de vie uniques, je les garde jalousement au plus profond de moi. Ils viendront ainsi, de retour à mon atelier, nourrir mon esprit et mes toiles pendant bien des années. J'ai adopté une technique mixte pour peindre cette Afrique telle que je l'ai vue et que je la ressens encore aujourd'hui: pigments et parfois terres, mêlés à l'acrylique et finition par glacis successifs à l'huile Installée en région bordelaise, j'ai fréquenté divers ateliers et commence à exposer en 1999. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Fédération
Française des Amis des Moulins.
Cette fédération, fondée en 1977, a pour objet la connaissance, la sauvegarde, la restauration, la défense, la promotion et l'animation des moulins de France ainsi que la protection de leur environnement naturel, notamment la défense des cours d'eau et le respect du voisinage des moulins à vent. Elle regroupe des associations régionales ou locales ayant le même objet. La prochaine édition aura lieu le 24 juin 2007. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Des déchets mal triés et peu recyclés.... LE MONDE du 25.05.07 C'est la Bérézina. Alors que la quantité d'ordures ménagères ne cesse d'augmenter en France - 340 kg par an et par personne, un poids multiplié par deux en quarante ans -, seule une très faible partie de nos déchets est recyclée. Cela n'est pas sans conséquence : aujourd'hui, dix départements sont débordés par l'afflux d'ordures. Dans trois ans, si rien ne change, les trois quarts des départements seront saturés, sans capacité de les éliminer ou, mieux, de les recycler. Quinze ans après la mise en place de la collecte sélective en France, chaque foyer se débarrasse en moyenne de 10 emballages alimentaires par jour. Des bouteilles, des boîtes, des barquettes, des briques, notamment. Certains sont en verre, d'autres en papier, en carton ou en plastique. Pour être réemployée une nouvelle fois, chaque matière devra être traitée de manière spécifique. D'où la nécessité de trier. Une bouteille de lait, par exemple, pourra être recyclée en pull, mais pas la barquette en plastique où sont enveloppés les biscuits à l'intérieur de la boîte en carton. Un prospectus publicitaire pourra être recyclé en papier, mais pas un bloc de feuilles... Ainsi, près de quatre emballages sur dix ne seront pas recyclés. "On recycle 13 % des déchets ménagers et on en composte 6 %. C'est très faible par rapport à l'Autriche, où 59 % des déchets ménagers sont recyclés. Ou à la région wallonne, en Belgique, où l'on est proche des 70 %", explique Hélène Bourges, du Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid). En Belgique, on ramasse davantage, et on réutilise aussi. Les épluchures, les fleurs fanées, les sachets de thé, par exemple (qui constituent un tiers du poids de la poubelle), sont compostés. Dans chaque appartement, maison ou cour d'immeuble. En France, le compostage en est à ses débuts. L'envoi en décharge reste la solution la plus utilisée. Jusqu'à quand ? Si chacun d'entre nous doit apprendre à moins jeter et à mieux trier, une réforme globale du système est nécessaire : la responsabilité laissée, depuis 1992, à chaque département et à quelques industriels de la collecte et du recyclage (Sita-Suez et Onyx-Veolia) - comme la délégation donnée à l'entreprise privée Eco-emballage - montre ses limites. "Le problème est que notre dispositif est incomplet. Nous avons commencé à nous préoccuper des emballages, et puis ensuite, plus rien", reconnaît Bernard Hérodin, le patron d'Eco-emballage. L'absence de vision globale empêche d'être efficace. Les limites à l'efficacité du recyclage sont connues : chaque copropriété peut décider ou non d'avoir des bacs de tri ; les communes ont le choix de la couleur des poubelles (qui peuvent être des cagettes ou des sacs) ; le régime fiscal ne tient pas compte de la quantité de déchets par foyer, et ne permet pas de récompenser les bons citoyens - puisque les taxes d'enlèvement des ordures sont calculées sur le prix du foncier. Enfin, les industriels du recyclage s'intéressent en priorité à leur propre rentabilité. Face à des emballages dont la composition se sophistique, les Français ne savent plus à quel bac se vouer et ne voient pas toujours l'intérêt du tri. A Paris, un camion sur trois est envoyé vers un incinérateur à cause d'erreurs de tri. "Les particuliers ont une connaissance superficielle du recyclage et de son utilité", indique-t-on chez Verre Avenir, qui recycle le verre d'emballage. Les jeunes adultes et les citadins sont les moins motivés. Or, recycler le verre, c'est aussi faire des économies : le prix varie entre 68 euros et 133 euros la tonne selon qu'il est ou non recyclé. Mais l'information manque. "C'est aussi une question de volonté de la part des professionnels du recyclage", affirme Mme Bourges. Contrairement à l'Allemagne, par exemple, pas question ici de recycler les sacs (sauf à Paris), les barquettes ou les pots de yaourt en plastique. "Il n'y a pas suffisamment de matière", répond Jean-Luc Le Blevec, directeur exécutif de SITA France. Question de rentabilité économique ou de priorité écologique ? Sous la contrainte européenne, les industriels font, certes, des efforts. Ils réduisent la quantité de matière qui constitue les emballages : en dix ans, ceux en plastique ont perdu 28 % de leur poids, les briques alimentaires 24 % et les boîtes de conserve, 37 %. Ils cherchent aussi à développer une filière plus performante pour le recyclage du plastique. Mais tout cela n'est pas suffisant. L'absence d'intérêt politique pour nos poubelles a un coût. Bien au-delà de la nécessité impérieuse de préserver les ressources naturelles de la planète. Florence Amalou. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le Cinéma à Captieux : Centre audiovisuel de Captieux. Programme de juin 2007. en pdf. Répondeur Cinéma: 05 56 65 90 50. Mairie. 05 56 65 60.31 Mel: mairiecaptieux@yahoo.fr | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
La Machine à Lire.
Jeudi 7 juin à 19h Les éditions confluences Dans le cadre de l'Aquitaine se livre, la Machine à Lire organise du 4 au 9 juin une semaine "portes ouvertes" aux éditions confluences, invitées à présenter leur collection littéraire, Traversées. Cette collection à ce jour réunit deux domaines : un domaine africain, dirigé par Alain Ricard, Traversées de l’Afrique et un domaine français, dirigé par Éric Audinet, Traversées. Sans a priori de genres, on trouve dans cette collection aussi bien des essais que des fictions, des récits ou des nouvelles. La réalisation des couvertures de la collection, depuis le début, a été confiée, sauf exception, au peintre Thierry Lahontàa. Depuis 1994, date de la création de la maison d'édition, trente et un titres sont parus, vingt neuf auteurs publiés, que vous pourrez retrouver à l'occasion de cette semaine. Le jeudi 7 juin, à partir de 19h, sera proposée une soirée en plusieurs temps, entrecoupée par un cocktail, qui réunira, autour d'Éric Audinet et Alain Ricard, les auteurs présents de la collection. Par ordre alphabétique : Jacques Abeille, Pierre Benoit, Jean-Pierre Bernés, Jean Broustra, Renaud Borderie, Sory Camara, Denis Caniaux, Christian Coulon, Jean Esponde, Alain Ferrari, Bertrand Guillot de Suduiraut, Jean-François Hamon, Yves Harté, Jean Lacouture, Michèle Laforest, James Machobane, Bernard Manciet, William Margolis, Thomas Mofolo, Olivier Mony, Edouard Motsamai, Marc Pautrel, Jean-Francis Pécresse, Jean-Marie Planes, Didier Pourquié, Patrick Rödel, Angelo de Sorr, Pierre Veilletet. Le vin du cocktail est offert par le Château Lamblin (côtes de Bourg). La manifestation l'Aquitaine se livre est soutenue par la Direction Régionale des Affaires Culturelles, l'Agence Régionale pour l'Écrit et le Livre, les Librairies Atlantiques et le Conseil Régional d'Aquitaine. Vendredi 8 juin à 18h30 Daniel Grandclément Autour de son livre : "L'affaire Grandclément" aux éditions Lucien Souny. Auteur et réalisateur, Daniel Grandclément parcourt le monde depuis le début des années 80. Il commence comme journaliste politique (France Inter, RTL) puis devient présentateur de télévision (Antenne 2, France 3), rédacteur en chef de TF1, et abandonne les salles de rédaction pour voyager et filmer les sujets qui l’intéressent. France 3 vient de diffuser son documentaire sur "L'affaire Grandclément" qui retrace les dix années d'enquête sur André Grandclément, figure emblématique et controversée de la Résistance Bordelaise. Samedi 9 juin à 17h Isabelle Morin Autour de son livre : "La phobie, le vivant, le féminin" publié aux éditions Presses Universitaires du Mirail. Isabelle Morin est psychanalyste, docteur en psychopathologie. "Chacun a l'expérience de la phobie : la sienne ou celle d'un proche. Et il mesure la disproportion qu'il y a entre l'objet de la phobie et la peur que cet objet suscite. On soupçonne dès lors que cette peur peut en cacher une autre, plus énigmatique qui maintient le sujet à distance de cet objet. À contrario des psychothérapies qui prennent le risque de démunir le sujet du symptôme pour le protéger de ce danger, Isabelle Morin examine les conditions d'émergence, les raisons et la fonction de la phobie. Elle en tire les conséquences pour la direction de la cure quand elle est menée jusqu'à son terme. La phobie permet au sujet de traiter son rapport à ce qu'il est comme "réel vivant". Elle borne le champ du désir, sa fonction est de mettre une limite là où règne la pulsion. De nombreuses références cliniques empruntées à la pratique de l'auteur ainsi qu'à la littérature contribuent à une démonstration des plus convaincantes." "J'ai entendu à la radio c'matin : On a une chance sur dix millions de se faire mordre par une chauve-souris enragée. Faut quand même savoir qu'il y a un gars qui s'est sûrement cassé le cul pendant des mois et des mois (avec du matériel et tout !) pour arriver à la conclusion suivante : "on a une chance sur dix millions de se faire mordre par une chauve-souris enragée". Alors moi, j'suis pas curieux, mais j'aurais quand même bien voulu savoir comment il a fait, le gars pour déterminer qu'on avait tous - en moyenne - une chance sur dix millions de se faire mordre. Ben oui, parce que bon… Admettons que le gars soit très copain avec une bande de chauves-souris enragées, il les connaît depuis longtemps, il les a déjà dépannées quand elles étaient dans la merde et tout… Mon vieux, elles lui doivent tout, elles ne lui cachent rien, ils ont un degré d'intimité ensemble, mais bon…" La rencontre est organisée par l'A.P.J.L., Divan d'Ouest et la Lettre lacanienne et sera animée par Michel Mesclier et Jean-Louis Meurant. Jeudi 14 juin à 18h Hommage à Jean Hugon À propos de l'ouvrage : "Jean Hugon" de Michel Pétuaud-Létang, Christian Jean dit Cazaux, photographies de Jean-Bernard Nadeau et Jean-François Zamanski, préface de Dominique Dussol (A éditions). "C'est dans la lumière que Jean Hugon, coloriste autodidacte, conduit son œuvre jusqu'à l'épanouissement de ses ultimes toiles. Lumières de Marseille, où il naît en 1919, qui le guident des rives de la Méditerranée à celles de l'Atlantique dont il saura exploiter les nuances infinies. Lumières dont il guette tous les effets de ses premières ébauches, gauches et massives aux fulgurances de ses acryliques de la plénitude." Dès la guerre finie, il n'a qu'un désir, peindre. Entre tradition perdue et abstraction sèche, il cherche un chemin personnel. Il fréquente de jeunes artistes très actifs, et fait sa première exposition en octobre 1946 à Toulouse. Spontanément fauve dans ses premières œuvres, sa peinture s'épaissit dans une quête de paix qu'il semble ne pas trouver. Il intègre le "Groupe du Chariot" avec Yankel, Schmidt, Pagès, Goedgebuer, Patez, Teulières, Vernette, rencontre Dieuzaide dont l'amitié lui sera un soutien permanent et entretient une correspondance suivie avec Pignon. Il s'installe à Bordeaux en 1953, au milieu d'une intense effervescence artistique et d'une floraison de groupes. Il y côtoie Labégorre, Carrère, Vallet, Pistre, Charazac, Bouilly, Lhote, Tessandier, Rivière, Belaubre, Maurin... Dès le début des années 1970, il part exposer à l'étranger et en profite pour peindre des paysages nouveaux : le Maroc, le Canada en 1981, puis New York et Miami, la Martinique, Cincinnati en 1983 et surtout Moscou et Leningrad en avril 1986. "Avec les tonalités pâles de la Russie, il va surprendre en créant une série toute en touches subtiles. Étonnante évolution qu'il développera lors de ses voyages à Berlin en juillet 1987." Jean Hugon disparaît le 28 mars 1990. Rencontre avec Michel Pétuaud-Létang, Christian Jean dit Cazaux et Catherine Hugon. Samedi 23 juin à 17h Roland Pfefferkorn Pour son ouvrage : "Inégalités et rapports sociaux" publié aux éditions La Dispute. Roland Pfefferkorn, professeur agrégé en sciences sociales, enseigne à l'université Marc-Bloch de Strasbourg. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages. "Les défis à relever par une analyse en termes de classes ne manquent pas, notamment par rapport aux lacunes des analyses classistes antérieures et aux transformations de la structure sociale intervenues au cours des dernières décennies : modifications des contours et caractéristiques des différentes classes et fractions de classes, transformations induites par la montée de l’activité professionnelle des femmes et effets de la transnationalisation croissante de l’économie, sans compter la question de la subjectivité et de la conscience de classe qui mérite une attention particulière… L'effervescence théorique qui a résulté de la Révolution féministe des années 1969-1976 est l'autre point fort du livre. Les concepts de "genre" ou de "rapports sociaux de sexe" insistent sur le caractère construit et antagonique des rapports hommes-femmes." La rencontre sera animée par Monique Nicolas. Vendredi 22 juin à 18h30 Frédérique Deghelt Pour ses deux ouvrages : "Je porte un enfant et dans mes yeux l'étreinte sublime qui l'a conçu" et "La vie d'une autre" publiés aux éditions Actes-Sud. Journaliste et réalisatrice de télévision, voyageuse infatigable, avec Paris pour port d'attache, Frédérique Deghelt est déjà l'auteur de "La valse renversante" (Sauret, 1995). "Frédérique Deghelt est une rusée. Elle ne craint pas de flirter avec le fantastique pour mieux nous accrocher. "La Vie d'une autre" joue sur du velours - notre fascination pour le mystère de l'amnésie. La narratrice se réveille un matin, amputée de sa vie récente. Douze années effacées. Tsunami de la mémoire. "Ai-je toujours une mère ? Ai-je toujours les mêmes amis ? Ai-je toujours un boulot ? Mais où ?" On ne sait pourquoi, elle s'abstient de parler de son étrange handicap à Pablo, son mari. Retrouvera-t-elle sa propre vie ? Réponse vers la fin du roman, à lire sans reprendre haleine..." (Catherine David) Jeudi 28 juin à 18h30 Gabriel Périès Autour de son livre : "Une guerre noire, enquête sur les origines du génocide rwandais (1959-1994)" publié aux éditions La Découverte. Gabriel Périès, docteur en Sciences politiques, est enseignant à l'Institut National des Télécommunications d'Évry. Il est l'auteur de nombreux travaux sur les doctrines militaires contre-insurrectionnelles. "Au printemps 1994, au Rwanda, près d'un million de personnes ont été exterminées en quelques semaines. À un rythme trois fois plus élevé que le génocide des juifs d'Europe. Comment un tel crime de masse a-t-il été rendu possible ? Quelle est la responsabilité des grandes puissances occidentales et de la France, surtout, si proche des génocidaires ? Après quatre ans d'enquête, dans les archives du monde entier, sur le terrain, auprès des militaires français, rwandais et belges, à interroger diplomates et politiques, Gabriel Périès et David Servenay tentent de répondre à ces questions. À l'aide de témoignages inédits et de documents confidentiels, ils lèvent le voile sur l'une des origines secrètes du génocide rwandais : la doctrine française de la "guerre révolutionnaire". Des opérations clandestines menées dans le " pré carré" au moment de la décolonisation, en passant par le trouble jeu du général De Gaulle, ils établissent la généalogie de ce qui fut pendant des décennies un véritable savoir-faire de l’armée française. Formalisé pendant la guerre d'Indochine et appliqué en Algérie, il a largement inspiré les dispositifs répressifs mis en place dans un grand nombre d'États africains… dont le Rwanda des années 1960. Et ce n'est pas le fruit du hasard si l'un des meilleurs élèves africains de la "guerre révolutionnaire" perpétra, plus de trois décennies plus tard, le dernier génocide du XXe siècle : hiérarchies politico-militaires parallèles, gardes présidentielles transformées en escadrons de la mort, action psychologique, quadrillage administratif et militaire des populations formèrent un système efficace susceptible de mobiliser toute une société au service du projet exterminateur de ses dirigeants. Cette histoire inconnue éclaire d'un jour nouveau la responsabilité de l'État français dans le génocide rwandais." La rencontre est organisée par l'association Cauri et sera animée par Adelaïde Mukantabana et Pascal Bianchini.
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Le Ciron (rivière). Le Ciron est à la cote
de 97 cm.
Le cumul des précipitations sur l'année
mobile se situe à la moyenne. Invasion d'escargots et de limaces.
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Infos Utiles :
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Club Informatique de PUJOLS sur
CIRON Foyer Rural 33210 PUJOLS
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