|
Nouvelles de la Vallée du Ciron. |
|
Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
||
Courriel occasionnel édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron. 33210 (Gironde) (France) |
||
Mustil |
N° 206 du 3 février 2008. |
Mustelle |
Pour voir les courriels précédents: clicla. |
L'informatique est comme une flamme, plus on la partage, plus elle éclaire ..! Christian Flages. |
Pour abonner un ami, clikici. | |
Pour ne plus le recevoir , O.T. |
Les violettes du Ciron, expo florale. Michel Cardoze à Budos. Mémoires et patrimoines des Graves. Lous Caps Nègues ... ! Folk Gascon. Le Bigaradier ... ! Un arbre joli à acclimater. A Louer T3 à Langon. Langue d'Oc ... ? Conseil Régional. Intervention. Déchets, décharges ... ! Que de soucis !. Lettre à Martine Faure. Eco-Construction. Formation. Créonnais, Conférence : Mme de Maintenon.. Poésie : Le Vin. Cinéma à Captieux : Programme. Conférences à Aquaforum aux rives d'Arcins. Le Ciron, la vie de la rivière. Infos utiles. |
Quelque bien que l'on vous dise sur vous-même,
on
ne vous apprendra jamais rien.
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le parc du Château La Salle,
à Pujols sur Ciron, accueillera | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Michel Cardoze,
présentera son livre de souvenirs "l'armoire rouge" 2007
à bibliothèque de Budos, le 6 mars 2008 à 18h30, salle Latapie
(derrière la mairie)
le 16 février 2008 à 20h30 ouverture de la salle des fêtes 19h30 parmi les lots: Bernard Coudreau. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Mémoires et
Patrimoines des Graves.
La
première réunion organisée par l'association s'est tenue le 25 janvier
2008 dans la salle du Foyer de la mairie d'Illats. Pour suivre les actions et
découvertes de l'Association, voir le "MEMENTO"
du site: | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Lous Caps Nègues .... ! Lous Caps Nègues est un groupe de "folk gascon". Après un voyage en Irlande, une bande d'anciens rugbymen a ressorti guitares, accordéon, fifre, percu et poubel-bass dans l'idée de fêter la Saint Patrick. Chanter en anglais s'avéra difficile et l'idée de chanter en gascon (patois bazadais) devint naturelle. Raconter le rugby, les filles, le boeuf (de Bazas bien sûr), la palombe, la gastronomie, la fête, voilà ce que les Caps Nègues ont fait. Ce groupe d'adolescents quinquagénaires" pesant plus de 1,2 tonne sur scène s'est payé le luxe de faire la première partie des "hurlements de léo" et de "nadau" en 2006. Ces jolis cadeaux ont eu un effet positif puisque nous avons enregistré notre premier CD "idientitat" et que des compositions ont vu le jour. Plus personnelles ses compositions parlent de la vie, des choses que l'on aime, des choses qu'on aime pas, avec à l'esprit en permanence : faire plaisir et donner aux autres de la joie... notre plaisir à nous est de voir dans notre région les gens de 7 à 107 ans chanter nos chansons en patois. Qu'est ce qu'on aimerait faire partager notre groupe avec d'autres autres régions et d'autres pays ; (même si tout le monde ne comprend pas l'anglais on écoute bien des chansons en anglais et croyez nous le patois ressemble à l'anglais). Tout simplement comme nous l’a dit le « Joan de Nadau « : « vous faites de la musique populaire avec du plaisir et vous en donnez aux autres, continuez… » Même si nous n’avons pas de mission, nous avons créé une association dont le but principal est de préserver le « patois bazadais » par tous les moyens…légaux bien entendu. Le patois bazadais avait sus planter l’anglo-saxon (enfin justice était faite…) Depuis
d’autres chansons ont vu le jour, toujours en patois, elles racontent
notre ville (Bazas), le rugby, la cuisine gasconne, la palombe, le boeuf, Xomin Lumo Pour nous inviter à vous réjouir ...... 06.89.30.52.69 xomin33@voila.fr | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le Bigaradier
.... !
Voici le programme de la fête de : la Bigarade 2008.
L'objectif est le sauvetage de végétaux méditerranéens en danger de disparition ; le bigaradier est pris comme exemple. Crée en 2002, l'association " La Bigarade" est en pleine expansion. Chaque année des milliers de passionnés se retrouve à la Caumette (315 habitants, hameaux compris) et emportent, toujours plus loin, un nombre considérable de plants et de graines. Chaque année, l'INRA apporte un appui de très haute qualité aux passionnés qui animent cette fête. (Les revendeurs sont exclus.) Nous préparons cette rencontre à d'autres pays du bassin méditerranéen après avoir déjà réussi l'ouverture au plan national. NB : Possibilité de circuit touristique inhabituel : Carcassonne, La Caumette + Minerve + Aigne, trois magnifiques villages typiques du Haut Minervois restés intacts, Béziers, Narbonne. Les trois communes : La Caumette, Minerve, et Aigne sont associées(à 4 km l'une de l'autre) et disposent de 80 gîtes ruraux.
Le Bigaradier résisterait aux températures négatives, jusqu'à -10°. Il pourrait donc être acclimaté en Vallée du Ciron avec quelques protections. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
A louer un
T3 à Langon, orienté plein sud. Vue superbe au 5e étage de cette résidence
plein centre, 480 le loyer plus 70 pour les charges locatives. Soit 550 au total. Il y a un parking souterrain protégé, plus une cave saine de 12 m2. Contact | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Langue d'Oc
... ?
Conseil régional d'Aquitaine. Séance
plénière du 28 janvier 2008. Intervention de Mme Mireille de Badereau. Monsieur le Président, Le projet de soutien aux langues régionales présenté parle Conseil Régional nous paraît critiquable dans ses énoncés. En effet, en utilisant le terme de « Langue Occitane », le Conseil utilise une dénomination contestable et contestée, par la majorité des locuteurs des divers dialectes Romans parlés dans le sud de la France. Cela est si vrai, et si bien admis, que lors des premières assises des langues de France qui se tinrent à Paris le 4 octobre 2003, nul document officiel ne retint ni le terme d' Occitanie ni celui de langue Occitane. Si ces mots furent prononcés, les responsables officiels s'en tinrent aux appellations des anciennes Provinces, et nommèrent les dialectes : Provençal, Auvergnat, Languedocien, Limousin et Gascon. Les débats houleux qui opposèrent localistes et occitanistes, obligèrent les organisateurs à constater qu'il existait un problème non résolu entre ces diverses tendances. Le problème est toujours pendant : il se traduit par la volonté des Occitanistes d'imposer une unique façon d'écrire, basé sur le Languedocien médiéval, à toutes les Provinces du Sud, contre l'usage qui s'est répandu depuis trois siècles d'adopter une façon d'écrire tenant compte des prononciations modernes. C'est sur ces bases que l'Espagne et l'Italie ont mené à bien la réforme de leur langue. Notons que dès l'apparition de l'Occitanisme, les Catalans refusèrent unanimement d'adopter la fabrication Occitane. C'est ainsi que dans le numéro de décembre 2007, le très officiel bulletin de « Langues et Cités », bien qu'admettant l'Occitan comme terme générique, écrit : « Tout en étant proche, le Gascon constitue, du point de vue de sa genèse un ensemble distinct de l'Occitan proprement dit ! » Vous allez donc employer un terme qui ne correspond pas à votre identité, et que déclarent impropre les meilleurs linguistes gascons, de Pierre Beck à Jean Laffitte. Disons très brièvement que le terme même générique d'Occitan, n'a pas de racines sûres. On le fait souvent dériver de OC, que l'on donnerait comme le pendant du « oui » français. Mais en fait, nulle part dans nos pays, de Nice à Bordeaux, on ne dit Oc, mais seulement 0 ! le OC dérive du latin « HOC », qui signifie tout simplement « ICI », et la langue d'Oc, signifiant la langue d' ICI, pourrait s'appliquer à tous les dialectes du monde ! Tous nos grands maîtres littéraires gascons, dont Camélat pour la Bigorre, Palay pour le Béarn, Pic pour le Gers, ou Manciet pour les Landes etc, etc, se sont refusés parfois durement à l'occitanisme, et c'est une forfaiture que de traduire aujourd'hui leurs oeuvres gasconnes, dans une graphie qu'ils avaient désavouée ! Mais un événement plus proche devrait mieux vous éclairer. Il s'est passé le 17 mars de l'année dernière. Simultanément, deux manifestations eurent lieu, l'une organisée par les Occitans à Béziers, et l'autre en Arles, organisée par le collectif Provence, avec des délégations des diverses Provinces. La manifestation de Béziers se termina par l'affrontement des clans rivaux, anarchistes, séparatistes, identitaires et autres, au point qu'il fallut faire appel au SAMU pour évacuer les blessés (on peut consulter internet à ce sujet). La manifestation très conviviale d'Arles, où la délégation gasconne fût acclamée par les Provençaux, fût illustrée par le très remarquable discours de monsieur Vauzelles, qui prit nettement parti pour les spécificités régionales. Ainsi se vérifient les propos d'André Labarrère qui, quelques mois avant sa mort, avait en public, et devant le Préfet des Pyrénées Atlantiques, refusé toute référence occitane. Et il avait dit que dans ce débat, la ligne de démarcation ne passait pas entre les partis, mais à l'intérieur des partis. Nous le vérifions aujourd'hui, puisque, sous la même étiquette politique, les Conseils Régionaux de Provence et d'Aquitaine sont en désaccord. Cela mériterait au moins une enquête, semblable à celle qui fût diligentée par le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, à l'initiative de son Président de l'époque : François Bayrou. Le résultat fût clair, à une majorité de 5 contre 1, les citoyens répudièrent le terme « Occitan » pour s'en tenir au Béarnais et au Gascon. François Bayrou n'en tint aucun compte, mais ceci est une autre histoire ! Depuis, un gouvernement provisoire d'Occitanie s'est installé à Toulouse. Il est l'héritier d'un parti nationaliste Occitan, qui n'hésitait pas à écrire sur les murs : « Les Français dehors ! » Je vous souhaite, Monsieur le Président, et chers collègues, de discerner ce qui se cache derrière un mot qui se voudrait innocent, si du moins vous croyez que la République doit toujours, être une et indivisible. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Déchets, décharges ... ! Que de soucis !
Preignac, le
27 janvier 2008
J’ai
acheté en 1999 une parcelle de terrain jouxtant mon domicile, auprès
d’un particulier, qui la possédait lui-même depuis de nombreuses années. Cette
dame m’avait prévenu qu’une partie de ce terrain était constituée
d’une ancienne gravière comblée par une entreprise de travaux publics. J’ai
eu la surprise en débroussaillant de constater qu’une portion non négligeable
de ce terrain est en fait constituée de déchets ménagers, qui de notoriété
locale, proviennent d’une décharge
de la ville de Langon dans les années 70. J’ignorais
l’existence de cette décharge, mais
son existence est confirmée par la base de données BASIAS publiée
par le BRGM qui met explicitement en cause la Mairie de Langon, rejoint en
cela par les témoignages. L’extension
totale de la partie souillée pourrait être estimée à 2000 m2
pour ce qui est de mon terrain. Mes
voisins possèdent quant à eux, la
plus grande partie du site (soit environ 8000 m2). L’évacuation
des ces déchets n’est bien évidemment pas à la portée des finances
d’un particulier et ne pourra se faire qu’avec l’aide de la
puissance publique, ou (et) de ceux qui par le passé ont pollué ce
terrain. Les
événements du terrain de Labarde à Bordeaux ont montré que de telles décharges
sauvages ne sauraient être négligées, et nous en sommes tous
responsables devant les générations futures. J’ai
déjà engagé de nombreuses démarches auprès des administrations et
collectivités territoriales concernées,
sans aucun succès : toutes me répondent que le problème relève
des compétences de la voisine : réponses orales ou écrites, mais
le plus souvent orales et parfois agressives : -
J’ai souhaité rencontrer le Maire de Langon, qui a reconnu (après
l’avoir nié par écrit) l’existence du site, mais a refusé toute
collaboration. -
L’ADEME plaide son impuissance en l’absence de toute instruction préfectorale. -
La DDASS de la Gironde refuse d’intervenir arguant du fait que le site
n’est pas classé, mais comment pourrait-il l’être puisqu’il a été
constitué en l’absence de toute démarche légale, par simple accord
amiable entre la ville de Langon et les propriétaires ? -
Monsieur le Préfet de la Gironde renvoie quant à lui le problème au
droit privé : est-ce à un particulier de réparer les erreurs de la
collectivité ? -
J’ai par la suite alerté Monsieur le Médiateur qui au terme de 5 ans
d’investigation avoue son
impuissance devant la mauvaise volonté évidente des partenaires concernés
(la Mairie de Langon en tout premier lieu), qui refusent de se porter maîtres
d’ouvrage malgré de fortes subventions. Le
Préfet refuse toujours d’intervenir… Il est évident que le citoyen
isolé se heurte à une machine bureaucratique qui le dépasse totalement.
-
J’ai donc, avec l’aide de Maître Hachet, porté plainte auprès du
Procureur de la République qui
le 7 juin 2005 refuse de donner suite à ma plainte avançant le motif
qu’il n’est pas possible d’identifier les auteurs de la pollution !!!
Sic !!! Alors que nous possédons toutes les preuves !!!! -
J’ai donc attaqué auprès du tribunal administratif. Le 27 décembre
2005, la Mairie de Langon me menace de dommages et intérêts !!!! Maître
Hachet a répondu par un contre mémoire. Mais
le jugement final (décembre 2007), me condamne à verser 1000€ à
la mairie de Langon sous
prétexte que la décharge (enfin reconnue comme existante) n’occasionne
pas de gêne démontrée. J’ai
décidé de faire appel de cette décision, mais il m’est impossible de
financer des études qui
permettraient d’établir l’extension exacte de la décharge et sa
toxicité éventuelle. -
J’ai saisi du problème Madame Faure, députée de la Gironde qui se
propose de contacter de nouveau Monsieur le Préfet. Il
apparaît clairement qu’une bonne raison du refus a pour motif de ne pas
faire de précédents : il y a d’autres décharges sauvages habitées
en Gironde et probablement en
Langonnais. Exemple :
la commune de Pujols/Ciron s’apprête à effectuer une étude sur un
terrain souillé, en vue d’une réhabilitation future, à la demande de
la DRIRE. -
J’ai informé la DRIRE qui m’a assuré, par téléphone, s’occuper
du problème. Je l’espère… Pourtant
il n’y a de ma part aucune autre ambition que le sentiment de notre
responsabilité collective face aux agissements peu responsables du passé. J’ai proposé de donner la parcelle à la puissance publique contre réhabilitation… Sans succès. Le montage trouvé par le médiateur de la République était judicieux et logique : pourquoi refuser ? Et pourquoi ne pas tenter de nouveau d’obtenir par la négociation plutôt que par une action en justice ? Eric
Roulet Bigardoy-Sud
33210 Preignac Tél. : 05.56.63.14.63
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Collectif déchets Girondin, Notre précédent courrier à M. Madrelle président du Conseil Général (mail du 23 décembre), approuvé et signé par de nombreuses associations de Gironde, a en partie porté ses fruits. Les instances du Conseil Général évoquent désormais plus clairement la nécessaire maîtrise d'ouvrage publique pour tout projet de traitement et stockage des déchets. En conséquence MERCI à tous. Voici maintenant le prochain courrier commun que nous vous proposons. Il concerne un autre sujet. Il concerne une affaire qui date de neuf ans et toujours pas réglée. Pourtant elle semble simple. Il s'agit d'une demande de réhabiliter une ancienne petite décharge située tout près des habitations, ignorée des habitants lorsqu'ils sont venus s'installer à côté. Le courrier ci-dessous vous éclairera. Et si en plus vous pouvez venir le samedi 9 février à 14h30 visiter ce terrain imprégné de déchets à Preignac (près de Langon), vous serez les bienvenus ! Philippe Mora. Coordinateur Collectif déchets Girondin, http://www.collectif-dechets-girondin Collectif déchets Girondin 1 rue de Tauzia 33800 Bordeaux Projet de lettre collective proposée à la signature de nombreuses associations. Demande de réhabilitation de l’ancienne décharge privée et municipale de Preignac Bigardoy-Sud (apports de Langon) découverte par les riverains en 1999.
Madame Martine Faure Madame la députée,
Nous avons appris que vous avez prêté attention au dossier cité en annexe. Très sincèrement, nous vous en remercions. Nous souhaitons qu’il trouve une issue prompte et pérenne, et nous comptons sur vos prochaines interventions. Après 9 ans de démarches menées par M. Roulet et sa famille, rien n’a abouti pour le moment. D’une manière plus globale, ce problème est la conséquence directe d’une mauvaise gestion des déchets antérieure à la loi de 1975 où on n’évaluait pas les conséquences des décharges qu’à l’époque on tolérait au gré des accords de particuliers à représentants communaux. A l’occasion de la campagne électorale nous souhaitons nous-mêmes intervenir dans le débat public, notamment au cours des réunions de LANGON et communes avoisinantes. Nos représentants ont connaissance du dossier et tenteront de sensibiliser les citoyens et les candidats à ce sujet qui est pour nous très important sur le fond. Nous attirerons l’attention de tous sur le fait que les riverains ne demandent aucune indemnité du préjudice qu’ils ont subi, mais simplement la remise en salubrité publique du terrain, au bénéfice de tous. Par ailleurs les travaux nécessaires pour cette réhabilitation ne semblent pas entraîner de fortes dépenses. Il s’agit surtout d’une volonté qui attend de se déclencher. Quoi qu’il en soit la collectivité se doit d’assumer ces problèmes qui sont la conséquence directe de la mauvaise gestion des déchets au cours des années passées. Il nous semble normal que le "pas cher" de la gestion à court terme soit corrigé aujourd’hui par un certain coût de réparation. Nous vous adressons, Madame la Députée, l’expression de nos salutations respectueuses. Collectif déchets Girondin 1 rue de Tauzia 33800 Bordeaux | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Eco-construction : Suite au succès des ateliers animés les années précédentes par notre invité, Etienne DAVID , nous proposons cette année une nouvelle formule avec une approche plus approfondie : Une journée entière consacrée à l'éco-construction le samedi 16 février 2008
de 9h30 à 17h30 ¤ le matin, c'est la partie théorique Le nombre de participants à cet atelier étant limité à 15, les inscriptions seront prises en compte selon l'ordre d'arrivée. Vous recevrez, ensuite, une confirmation et un plan d'accès. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Créonnais. Archéologie. Bureau de la Société Archéologique et Historique du canton de Créon. Nous vous convions, le mardi 19 février 2008 de 17h30 Mairie de Fargues Saint Hilaire, pour une nouvelle conférence historique. Le thème en sera : Madame de Maintenon et les Demoiselles de Saint-Cyr par Dominique Picco Laurent Coste | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Poésie.
LE VIN | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(1) Béni soit le soleil, père de toutes choses, Qui, tout en s'occupant de nous faire des roses Avec son baiser d'or et ses rayons divins, Trouve encore le temps de féconder les treilles Dans la saison charmante et douce où les abeilles Volent aux pampres, lourds du vieux renom des vins !
Mais surtout gloire à lui, gloire à l'oeuvre féconde qu'il accomplit d'en haut pour la gaieté du monde ! Gloire à lui, quand, versant partout l'ivresse à flots, Il fait jaillir du sol qui s'entrouvre et qui fume Les flots légers, les sols vivants, la blonde écume Du Champagne, à travers la chanson des goulots !
Le meilleur vin reste un peu fade Quand on ne trinque qu'une fois : Vive la dernière rasade Qui fait trembler le verre aux doigts C'est elle seule, ô doux mensonge, Qui peut, lorsque le rire a fui, Ressusciter le premier songe Et noyer le dernier ennui !
C'est pour la rasade suprême Où l'on boit pour tout oublier Que l'automne écrit le poème Des vignes bordant le sentier. Le vent léger, à cause d'elle, Caresse les pampres jaunis, Et les grives battent de l'aile Ne sachant plus où sont leurs nids.
Qu'un autre à ma place révère Les sages qui font leurs discours ! Le temps s'en va, les jours sont courts : Buvons encore un large verre A la santé de nos amours ! |
(2) Convives, soyons doux, puisque la vigne est douce ! Alors qu'elle frissonne en poussant, ce qui pousse Dans le fouillis des ceps tout plaqués de tons verts, Ce n'est pas seulement la plante avec sa sève, C'est aussi l'idéal et c'est aussi le rêve Subitement éclos dans l'audace du vers.
Que de quatrains mignards ont déjà l'aile prise Aux longs rameaux tordus effleurés par la brise ! Que se strophes, demain, monteront vers les cieux Dans le matin vermeil, loin des regards profanes, Après avoir trempé leurs plumes diaphanes Dans le vin célébré par les bardes joyeux !
Chez nous, ô France maternelle Qu'on n'évoque jamais en vain ! L'humanité, source éternelle, Jaillit dans l'âme du vin. Le Champagne, que nous envie L'allemand méthodique et froid, Met une espérance de vie Dans le dernier verre qu'on boit.
C'est pour cette rasade seule, Douce aux amants, chère aux amis, Que la nature, bonne aïeule, A créé les plaisirs permis. Qui n'a sa petite faiblesse A l'appel du divin moqueur ? Qu'esl est le vin qui ne nous laisse Un peu d'azur au fond du coeur ?
Qu'un autre à ma place révère Les sages qui font leurs discours ! Le temps s'en va, les jours sont courts : Buvons encore un large verre A la santé de nos amours ! | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le Cinéma à Captieux : Centre audiovisuel de Captieux. Programme du 30 janvier au 26 février 2008. Répondeur Cinéma: 05 56 65 90 50. Mairie. 05 56 65 60.31 Mel: mairiecaptieux@yahoo.fr | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Conférences à Aquaforum. Conférences-Diaporamas-débats Grand Public. Rives d'Arcins, à Bégles, en bord de Garonne. Tous les jeudi soir de 18h30 à 20h. ENTREE LIBRE, derrière le Centre commercial. Programme
du 10 janvier au 28 février 2008
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Cote du Ciron (rivière). Le niveau 0 étant
l'étiage le plus bas repéré de 1990. Dernière des trois années sèches,
88, 89,90. Le cumul
des précipitations sur l'année mobile est au milieu de la fourchette
normale. Elles débitent ensemble, 8,3 litres par seconde soit près de 30 m3 /h, 720m3//jour, au plus bas niveau de 2007.
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Infos Utiles :
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Club Informatique de PUJOLS sur
CIRON Foyer Rural 33210 PUJOLS
sur CIRON Le webmixer : André COCHET. Tel: 05 56 76 63 12 ancochet@wanadoo.fr |