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Nouvelles de la Vallée du Ciron. |
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Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
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Courriel occasionnel édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron. 33210 (Gironde) (France) |
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Mustil |
N° 300 du 26 Janvier 2011. |
Mustelle |
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L'informatique, c'est comme une flamme, plus on la partage, plus elle éclaire ..! Christian Flages. |
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Primever, réseau de lecture. Infos Utiles: Quelques adresses d'artisans et de services.. |
"Le coeur de l'homme est comme l'habit du pauvre ; c'est à l'endroit où il a été raccommodé qu'il est le plus fort. ".
Paul Brulat | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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N° 300,(1999) 12 ans : 10 milliers de correspondants sur la toile universelle, occasions d'échanges et de relations virtuelles. |
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La
Ballade du
Ciron en balade. Essai
de poésie participative.
Au long du Ciron, les muses s'ammusent ! Pour
participer, composer le poème de son choix sur un sujet
libre. |
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Primever, réseau de lecture. Pour un Réseau Intercommunal Multimédia Entre Vignobles Et Rivières. Dans le cadre de l'animation du réseau de lecture PRIMEVER Au pied de mon arbre.
Le vendredi 04 février 2011 , salle polyvalente de Budos à 20 heures 30 Monsieur Jean Dartigolles animera une conférence : Michèle Coudreau. Christophe GHISLAIN. Lauréat du Prix Gironde Nouvelles Ecritures 2010. Sera présent à la : bibliothèque de Landiras samedi 12 février à 11h. pour une rencontre-lecture. L'opération, sous l'égide du Conseil Général, est organisée par la Bibliothèque Départementale de Prêt (BDP) et l'association Lettres du Monde. Chaque bibliothèque du territoire a reçu en ce début de semaine un exemplaire de : "La colère du rhinocéros". La BDP nous a par ailleurs fait don de 4 exemplaires supplémentaires. Les lecteurs/trices intéressés peuvent donc tenter leur chance pour emprunter l'ouvrage avant la venue de l'auteur. La rencontre et la lecture seront animées par M. DELHOUME, de la Compagnie GARDEL. La CDC offrira pour sa part un verre de l'amitié à l'issue des échanges. Avec
"l'Oeil du Ciron"
L'affiche >>>>
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L'Oeil du Ciron : Ciné Club de Pujols.
"l'Oeil du Ciron"
propose un joli panel de films pour ce premier semestre 2011 >>>>
Imprimez donc déjà ce programme et envoyez-le à vos amis, réservez-nous les soirées qui vous intéressent tout de suite. Toutes affaires cessantes retenez le 11 février 2011 à 20 h 30 pour un grand Woody Allen. Avec la Rose Pourpre du Caire traversons l'écran et poussons la porte qui sépare le monde réel (et combien réel avec toutes ses difficultés) et le monde magique.
Théâtre à Pujols. Pujols n'a pas vraiment d'immeuble mais avec un peu d'imagination nous pourrons apprécier la dernière pièce de l'Association Spectacles pour Tous. Depuis de nombreuses années vous êtes fidèles à cette troupe de théâtre voisine qui prend parfois ses acteurs dans Pujols.Cette année la pièce proposée : "Bienvenue dans l'immeuble" est une création, c'est à dire que la troupe a le plaisir d'être la première à interpréter cette comédie de Monsieur Yvon Taburet (qui nous avait déjà régalés avec : "au Camping des flots bleus"). L'auteur s'est déplacé de sa Bretagne pour comparer ce qu'il a imaginé et ce que Spectacles pour Tous a réalisé. Je peux vous assurer que cette rencontre a été sensationnelle. Confortés par cet échange fructueux, professionnel et amical les artistes vont nous offrir une superbe soirée. Samedi 26 Février 2011 à 21 heures au Foyer Rural Entrée : 6 euros. Organisée par : Club Loisirs, Détente et Amitié. Avec
"l'Oeil du Ciron"
voir l'affiche >>>>
Le lundi 14 février assemblée générale du Club Loisirs, Détente et Amitié à 21 heures au Foyer Rural de Pujols sur Ciron. L'équipe
de l'Oeil. |
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Chandel'Art, Exposition à Paillet. Le Comité d'Action Culturelle de la Bibliothèque Municipale de Paillet organise pour la troisième année consécutive la manifestation mettant à l'honneur des artistes locaux : « Chandel'Art » Ceux-ci exposeront leurs oeuvres : mosaïques, peintures, sculptures, et la musique ne sera pas oubliée. Vernissage à la bibliothèque le samedi 5 février 2011 à 15h30 autour de crêpes et du verre de l'amitié. L'exposition restera ouverte les lundi mercredi et samedi de 15 h à 18h30 jusqu'au 19 février 2011. "l'Oeil
du Ciron" vous
permet de voir l'affiche >>>>
Les bibliothécaires |
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Conférence à l'Abbaye du Rivet ....à Auros
Samedi 5 Février 2011 Madame Geneviève Raba donnera une conférence à l’abbaye du Rivet (Auros 33) sur le sujet suivant: «Le livre des morts égyptien» selon la traduction de G. Kolpakchy. La conférence aura lieu de 10 heures à 12 heures et reprendra l’après midi sous une forme différente. Le matin, G. Raba abordera le «Livre des morts» sous l’aspect «livre de l’entrée dans la vie» en effectuant le rapprochement entre «Osiris-Christ» en référence à la pensée Juguienne. Les auditeurs suivrons à l’aide d’images extraites des fresques tombales, la description des voyages de l’initié ou les voyages célestes du mort. La conférence évoquera la force et le mystère des hiéroglyphes, et montrera le rôle et l’importance de la « Psychostasie » (le jugement). Puis elle évoquera, évidemment, l’entrée dans les « arrits » ou Paradis après de multiples combats contre l’ombre ou Seth. Victoire de l’ombre sur la lumière, ce livre illustre parfaitement, avec son périple rempli d’embûches symboliques et réelles, les péripéties d’une véritable recherche spirituelle, qui bien que millénaire est toujours d’actualité. L’après-midi sera consacrée à la discussion et à la projection de diapositives des monuments et des tombes égyptiennes. Un atelier sera consacré à la préparation du travail sur les rêves. La journée se terminera vers 16 heures. Le repas (10 €.) peut être pris à l’Abbaye à condition de s'inscrire au 05 56 71 69 96 ou Participation à la journée: 5€ . avec "l'Oeil du Ciron" vous
pouvez voir l'affiche >>>>
Geneviève Raba |
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Comité de Jumelages et animations de Pujols s/ Ciron. Super Soldes à Pujols-sur-Ciron ! L'Atelier Travaux d'Aiguilles propose de Super Soldes sur tous ses articles, le vendredi 4 février de 14 h à 18 h, au Foyer Rural. Créations originales, tricots, broderies, sacs, etc... etc..., nos "petites mains" ont du talent à revendre. Tout à prix mini, tout doit disparaître ! Rappel des activités régulières proposées par le Comité de Jumelages et d'Animations : |
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Découverte
Archéologique à Podensac.
Les archives du XIXème siècle ont permis de porter à notre connaissance une découverte importante sur la commune de Podensac. Enfouie au cœur du Bourg, une villa romaine témoigne du riche passé de la commune et de son occupation ancienne. La finesse et l’harmonie de la mosaïque aux médaillons découverte en 1898, permettent d’attribuer cette œuvre à la période Constantinienne au IVème siècle p.C. "l'Oeil
du Ciron" vous
permet d'accéder au document présentant cette découverte >>>>
Depuydt Jean-Marc. |
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Sauvons la Halle de Grignols !
Note : Les municipalités de nos communes investissent dans l'édification ou la remise en état d'espaces publics pour permettre à la vie sociale de se développer agréablement dans nos villages et c'est une bonne chose. Il ne faudrait pas qu'elles prennent exemple sur celle de Grignols et fassent installer des magasins dans les salles des fêtes ou foyers ruraux, ce serait une catastrophe .... culturelle ! Est-ce vraiment de bon sens ? Quelles sont donc les raisons d'un tel contresens ??? D'un
clin de"l'Oeil
du Ciron" voir
la lettre de Casino à un pétitionnaire >>>>
La réponse du groupe Casino à l'un de nos adhérents appelle les commentaires suivants: En quoi les halles de Grignols ont elles besoin d'être "redynamisées"? Le marché s'y tenait tous les mercredis matin avant que la municipalité actuelle décide son déplacement. Les marchands ambulants ont d'ailleurs vigoureusement protesté à l'occasion de cette décision autoritaire. Diverses manifestations s'y déroulaient régulièrement (foire de la Sainte Catherine, foire aux chapons, salon du livre, fête de la musique etc...) C'est un lieu de rendez vous qui permet de rester à l'abri en attendant (les amis de Leo Drouyn, randonneurs etc..), lieu de rencontre aussi pour papoter ou jouer. Le groupe Casino possède déjà un magasin sur Grignols et s'apprête à investir 4 à 500.000 euros dans ce projet. Le bail commercial liera d'une manière quasi définitive la municipalité même en cas de changement de majorité. C'est l'appropriation d'un espace public par une enseigne privée sans possibilité de retour (sauf indemnité importante pour le rachat du fonds de commerce) et la collectivité devra toujours le clos et le couvert ! Nous rappelons, à cette occasion, que plus de 46.000 euros ont été dépensés en 2003 pour l'étanchéité de la toiture et la fermeture du pourtour. Contrairement à ce qui a été avancé, la halle ne présente actuellement
aucun danger et sa structure est en parfait état; elle est d'ailleurs pour le moment accessible au public. Les normes de sécurité requises
(faciles à mettre rapidement en oeuvre) ne concernent qu'un accueil Sur le plan social il faut préciser que l'existence même d'une autre enseigne "Vival" risque d'être compromise si la nouvelle supérette "Spar" est réalisée. Le détenteur actuel étant franchisé (avec obligation d'acheter 80% de ses produits à Casino), c'est sa survie et celle de sa famille (quatre enfants) qui est en question. Par ailleurs, je découvre avec surprise que la politique commerciale du groupe Casino dépend d'une volonté municipale ! Pour ces raisons, je vous invite à signer la pétition actuellement en ligne. Cela ne concerne pas seulement les grignolais mais chacun d'entre nous qui entendons protester contre cette marchandisation et cette main mise du privé sur l'espace public; Pierre Moreau. Pourquoi nous sommes opposés à ce projet : Parce
que la halle est un espace public, parce qu’elle joue un rôle
économique et moteur au travers de son activité commerciale, parce qu’elle
est un lieu de rencontre et de convivialité et un lieu d’échanges
culturels et sociaux par les manifestations qui y sont produites, parce qu’elle
est un élément de l’histoire du bourg et qu’elle présente un
intérêt patrimonial certain au regard de Nous voulons que la halle de Grignols reste une halle ! Le changement de destination modifiera son volume et son aspect général et aura un impact urbanistique certain dont les nuisances n’ont pas été évaluées. Dans le sillage des grandes réformes de 1936, elle symbolise un esprit d’ouverture et de générosité sociale caractérisé par la modernité de sa construction, son appropriation au profit d’une entreprise privée serait donc lourde de sens. Cette question nous concerne tous, grignolais ou non. Comment nous aider ? Deux modèles de lettre, à destination de monsieur le Maire de Grignols et de la société Casino, vous sont proposés en copie jointe mais vous pouvez aussi les personnaliser (en restant toujours respectueux !) Adressez les, par courrier électronique ou postal, aux adresses suivantes : communedegrignols@wanadoo.fr /05 56 65 01 20 / fax : 05 56 25 61 22 / http://www.groupe-casino.fr/fr/Propositions-de-fonciers-Projets-d.html/04 77 45 31 31
D'un
clin de"l'Oeil
du Ciron" Pétition
au Maire. >>>>
D'autres
infos. >>>>
Association de Défense du Patrimoine en Grignolais (ADPG) 2, Le Jardiney 33690 Grignols tel : 06 77 76 30 14 courriel : patrimoinegrignolais@orange.fr Adhérez à notre association, cotisation annuelle : 5 Euros, nous n’avons pas les moyens financiers de rétribuer un avocat ! Jean
Jacques Coustolle. |
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Syndrome d'effondrement des colonies d'abeille. Lu dans Univers Nature du 19 janvier 2011. Les abeilles sont des espèces primordiales pour la pollinisation des cultures. Selon Edward B. Knipling, administrateur de l'Agricultural Research Service (ARS), près de 130 types de cultures aux Etats-Unis sont dépendantes de la pollinisation. L'intervention de ces hyménoptères apporte une valeur ajoutée aux cultures de plus de 15 milliards de dollars chaque année. Depuis 2006 aux Etats-Unis, le Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles ou CCD, pour Colony Collapse Disorder a fait son apparition : il se caractérise par une soudaine disparition de toutes les abeilles adultes d'une colonie. L'U.S. Department of Agriculture (USDA) vient de publier un rapport sur le sujet : le 2010 Colony Collapse Disorder (CCD) Progress Report qui fait le point des travaux de recherche en cours sur ce syndrome. Depuis l'apparition de ce syndrome, les études menées auprès d'apiculteurs, montrent que l'industrie apicole souffre de pertes s'élevant à plus de 30% par an. L'analyse initiale des échantillons d'abeilles prélevées (affectés ou non par le CCD) montre une charge importante en virus et autres pathogènes, pesticides et parasites dans les colonies CCD par rapport aux colonies non-CCD. Ce travail suggère qu'une combinaison de causes de stress pourrait déclencher une cascade d'événements et contribuer à l'apparition de colonies où les ouvrières affaiblies sont plus prédisposées aux parasites et pathogènes. Les résultats des recherches indiquent qu'à la fois la teneur en protéine de leur alimentation et la présence de pollen naturel pourraient renforcer les colonies et compenser les impacts négatifs du stress causé par les parasites, pesticides et également les transports de longues distances des abeilles pour l'exploitation apicole. Dans le but de minimiser les cas de CCD et en vue de mettre en place des habitats améliorés et durables pour les pollinisateurs, le Natural Resources Conservation Service (NRCS) met en application la Pollinator Initiative impliquant : Financez vos projets scolaires tout en sauvant les abeilles. Demandez un kit gratuit. |
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La Sylviculture Naturelle et Continue. Appel à débat..... ! quel est l'intérêt de labourer le sol en grande profondeur ? Cette fois, c'est François Lefèvre (de France-Nature-Environnement) qui prend la parole : Cher Monsieur HAZERA, « Cher », car ce que vous écrivez m’est cher. J’ai parcouru avec un grand intérêt le débat que vous avez initié sur le labour. Comme vous, j’estime indispensable le débat contradictoire et courtois pour éclairer une problématique. Malheureusement, vous avez été obligé d’apporter vous-même cette avis contradictoire à partir de la littérature. Je me propose ici d’essayer de vous apporter quelques éléments de cette contradiction que j’ai pu recueillir lors de mes rencontres sur le terrain. Je me propose ensuite de vous donner mon point de vue et les voies que nous proposons au titre du réseau forêt de FNE, dont je suis le responsable bénévole. Le travail du sol m’est souvent présenté de manière confuse selon les arguments que vous avez déjà exposé : amélioration de l’enracinement, mélange des horizons dans l’idée de constituer un « terreau », ralentissement de la molinie et autres « adventices », mise hors d’eau des plants (labour souvent avec des ados). Concernant la landaise, celle-ci est davantage utilisée pour faire de entretiens mécaniques dans un contexte où de moins en moins de désherbants sont autorisés en forêt. Elle contribuerait ainsi à limiter la concurrence pour l’eau tout en assurant une meilleure croissance des plants (sous l’effet également, d’un enfouissement superficiel des « adventices »). Voici les arguments qui me sont régulièrement présentés sur labour. Il ne faut pas oublier dans ce débat le traitement préalable des souches et des rémanents puisque le labour nécessite un sol « propre », même si les charrues forestières (charrues à disques escamotables à lame de ressort dites « crabe ») ont une certaine capacité à les franchir. Les évolutions récentes de la ligniculture initiées par les techniques du semi artificiel, l’émergence de la plantation et la tempête de 99, ont généralisé le broyage en plein et le « croquage » des souches (avec un dent spéciale sur une pelleteuse) voire, leur récolte à des fins énergétiques. Ainsi, c’est tout le travail du labour et des entretiens qui sont facilités avec l’avantage d’éliminer les sources de problèmes sanitaires (hylobe, fomes). Tout cela doit être intégré dans la réflexion. Cette approche globale du reboisement, au-delà du débat reboisement / régénération naturelle, s’exprime dans les dispositifs d’aides aux reboisements. En effet, avec la tempête de 1999 et la fin du FFN, le dispositif des aides a introduit le principe du forfait en remplacement du système devis-facture, c’est à dire que l’on admet que depuis la préparation du sol jusqu’à la 5ème année de croissance incluant tous les entretiens, les techniques utilisées aboutissent au même prix de revient. De par mon expérience professionnelle, j’ai pu constater en effet, qu’une intense préparation du terrain diminuait les coûts de plantation et le nombre d’entretiens tandis qu’une absence totale de préparation augmentait les coûts de plantation et nécessitait des interventions d’entretien chaque année. Au bout du compte, on arrive à peu près au même prix, mais la technique sans préparations a un caractère plus aléatoire qui nécessite plus de suivi. Ce dernier point est très important à considérer lorsque l’intervention de gestionnaires prestataires nécessite pour eux d’assurer une garantie de reprise, une garantie des coûts et une organisation rationalisée, en résumé, de la sécurité et de la simplicité. Les forfaits ainsi établis par l’administration variaient d’une région à l’autre en avoisinant les 3000 euros par hectare, base sur laquelle s’applique le taux de subvention accordé (80% pour le dispositif « plan chablis »). Tout cela permet de dire que le prix de revient peut être considéré comme neutre dans le débat, à moins de considérer la sécurité comme un facteur économique. Mon point de vue rejoint le vôtre et les éléments de votre débat le confortent. Je ne reviendrais donc pas sur ces points mais sur la traduction que nous en faisons en tant qu’organisation écologiste. Bien évidemment, nous défendons avant tout la régénération naturelle pour laquelle les enjeux du moment sont de démontrer que la nature fait bien les choses à moindre frais avec un accompagnement minimal. Pour les reboisements, nous demandons l’abandon du travail du sol en plein (en plein, pour tenir compte de la situation des sols très abîmés par les interventions humaines et laisser également la place à des techniques de reboisement par points d’appui). Nous demandons également de conserver les rémanents et les souches ainsi que le bois mort au sol et sur pied. Prochainement la définition d’un cahier des charges PEFC pour cadrer ces récoltes de biomasse devrait être l’occasion d’ouvrir un nouveau débat. Nous défendons aussi l’idée de faire le bilan carbone des itinéraires techniques proposés par les forestiers. Etant donné que deux tiers du stock de carbone des écosystèmes forestiers se trouvent dans le sol, on peut considérer que l’arbre qui stocke du CO2 cache le sol qui l’alimente. Le travail du sol et l’intensification des cycles détruisent ce stock qui devrait pourtant ne jamais diminuer. Toutes ces mauvaises pratiques résultent d’une approche des sols réduite à leur dimensions physico-chimique qui méprise ou ignore le rôle de la biodiversité dans ce fonctionnement. Comme cela est justement souligné dans votre document, la biodiversité est ici le cuisinier sans lequel toute alimentation apportée serait purement et simplement indigeste, donc inassimilable. En agriculture, le développement du non labour, l’émergence de la bioremédiation des sols au travers des réflexions autour du BRF, devraient interpeller nos forestiers qui s’attellent au wagon de queue du train du progrès. Il y a donc un gros chantier à mettre en œuvre pour que le sol reprennent toute sa place dans la sylviculture. Il faut interpeller pour provoquer le débat et le poser en commençant par expliquer le chemin invisible qui va du bois mort jusqu’aux racines. J’espère que nous aurons l’occasion de collaborer sur ces sujets essentiels et passionnants ! François Lefèvre.
J'ai reçu mardi sur mon blog un commentaire au sujet du labour en forêt. Quoique tardif, cet avis est très intéressant, d'autant plus qu'il vient d'une personne qui connaît quand même un peu la question des sols : Alain Brêthes. « Je viens seulement de découvrir ce débat sur le labour des sols en milieu forestier. Je me permets quelques réflexions même si le débat est clos. J'ai bien apprécié certains propos de Jacques Hazera et de Yves Lefèvre : "Besoin d'un écosystème en bon état", "Eaux pures sous forêt" et pas seulement à Vittel ou Munich, c'est général. - Le labour en forêt est difficile surtout en raison de l'ensouchement. Se pratique, il est vrai, après dessouchement. Mais là les problèmes sont autres (perturbations du sol ...) - Il n'est pas nécessaire dans la majorité des cas. Surtout le labour profond (indépendant du sous-solage lorsqu'il y a quelque chose à casser). - Son intérêt n'existe qu'en cas de tassement du sol. Mais dans ce cas, il est préférable d'éviter les dégats que de chercher à y remédier (rôle des cloisonnements). - Incorportation de la matière organique. C'est vrai. Mais ceci conduit à une dilution (pas toujours favorable) et à une accentuation de la minéralisation donc la libération de nutriments rarement fixés dans le sol lorsque l'on a affaire à des sols filtrants (ce qui est le cas de beaucoup de sols acides). Il y a donc perte d'éléments et non pas gains. - Autre intérêt, à cour terme, lutter contre les graminées envahissantes en particulier contre la Molinie (dont on ne se débarassera que difficilement). L'avantage de l'ameublissement ne porte principalement que sur la facilité de la plantation. Je ne pense pas que cela permet une amélioration de la croissance et de la qualité. Comme cela a été souligné par plusieurs personnes, le travail superficiel du sol pour rompre la continuité de l'humus est favorable à la régénération naturelle. Cela me semble suffisant. - En d'autres termes, si le sol est riche et a une bonne activité biologique tout travail du sol est inutile (surtout pour la régénération naturelle. Dans le cas de sols acides, à humus plus ou moins épais, un simple travail de surface est à envisager. Le labour profond est inutile (sauf, comme je l'ai dit, s'il y a eu tassement du sol et que l'on cherche donc à améliorer le milieu). Revenons, comme l'a dit Francis, à une sylviculture naturelle. A l'heure où les milieux agricoles étudient le retour à des cultures sans labour, on ne va pas développer cette pratique en milieu forestier où elle est souvent inutile. Alain Brêthes. Jacques Hazera (sylviculteur à Hostens) 05.56.88.55.72 jacques.hazera@pijouls.com http://www.Pijouls.com/Blog/. |
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| L'Arec
au vent
de
Kirghizie.
De L'Arec à l'Arik.
Qui a dit qu’avec Internet, on ne pouvait plus faire de belles rencontres ? Christophe Robert. M. René Cagnat qui présenta la conférence sur la Kirghizie le 23 octobre 2009, journée inoubliable, pleine de promesses, propose des sujets de conférence sur l'Asie Centrale. 22 rue Hector Malot , Paris, 75012.
Tel. (domicile) 00 33 1 43 47 46 15 Portable 00 33 6 24 91 41 93 "l'Oeil
du Ciron" vous
permet de faire un choix ou de commander un autre sujet. >>>>
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"ça conte en Gironde" "L'Art du Conte a de tout temps été un art au même titre que le chant, la danse... Conter est un Art de la Parole comme la Poèsie... C'est une parole portée par un élan, un enthousiasme. C'est une parole profonde, puissante, magique." Michel Hindenoch dans "Conter, un art ?" D'un
clin de "l'Oeil du Ciron"
voir les manifestations de
janvier et février en Gironde >>>>
Mireille LAFFORT | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Conférences
à Aquaforum.
Programme
: janvier et février 2011
>>>> Conférences-Diaporamas-débats. Grand Public. Rives d'Arcins à Bégles tous les jeudis soir de 18h30 à 20h. ENTREE LIBRE. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Cote du Ciron (rivière). Le niveau 0 étant
l'étiage le plus bas repéré de 1990. Dernière des trois années sèches,
88, 89,90. Le peu de pluie fait baisser la moyenne mobile des précipitations. Ceci est préoccupant car la fourchette basse est en principe franchie. Le Ciron est toujours actif mais dans des proportions de plus en plus calmes. Les sources n'ont pas monté comme les annéesprécédentes ce qui laisse penser qu'un déficit s'installe.
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Infos
Utiles: Quelques
adresses d'artisans et de services locaux.
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Club Informatique de PUJOLS sur
CIRON Foyer Rural 33210 PUJOLS
sur CIRON Le webmixer : André COCHET. Tel: 05 56 76 63 12 ancochet@wanadoo.fr | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
