Avec l'U.T.L. Arts et Découvertes et l'AGV des Vignes de Sauternes .

"SORTIE : aux Bassins de lumière à Bordeaux."

"Le  5 octobre 2020"

"Découverte de l'exposition Klimt."

  L'heure de la "sortie" sonne à peine et déjà nous évoquons la rentrée.

Celle-ci sera lumineuse et colorée par le premier projet que nous vous proposons ...

Nos deux associations, l'UTL Arts et Découvertes et la section randonnée pédestre de l'AGV des Vignes de Sauternes ont à nouveau travaillé ensemble à ce programme éblouissant ...

Le 5 octobre prochain nous proposons la découverte de l'exposition Klimt - vraiment extraordinaire - aux bassins de lumière. En effet les œuvres de ce peintre font l'objet d'une présentation somptueuse autant qu'originale dans ce qui constitue l'un des plus grands sites digitaux au monde. Voyez vous-mêmes ... https://www.bassins-lumieres.com/

La journée va se présenter ainsi :

- Départ de Sauternes et de Langon pour rejoindre Bordeaux par bus.

- Pour les marcheurs, une randonnée depuis les Quinconces nous permettra de longer les quais, de franchir le pont Chaban, de marcher sur l'autre berge de la Garonne, de revenir par le pont de Pierre et de rejoindre les bassins.

- Pour les personnes ne souhaitant pas consacrer trop de temps à la marche, ce seront quelques heures de liberté dans Bordeaux qui s'offriront à leur imagination ...

- Le type de repas reste à déterminer. Ce pourrait être un restaurant ou un pique-nique ...
- 14h30, visite de l'exposition Klimt.

- 16h retour en bus.

L'objet de ce message est de pouvoir dénombrer les participants à la visite et les places nécessaires dans le bus. Les organisateurs de cette journée vous remercient donc par avance de bien vouloir leur indiquer votre inscription avant le 31 juillet. (envoyer un message à Didier Ronce pour l'AGV dronce@wanadoo.fr  ou à Guylaine Penaud penaud.guylaine@orange.fr  pour l'UTL).

Le coût n'est pas encore précisé. Il sera de 19,50€ (bus+expo seuls).

Les personnes inscrites recevront courant août le montant précis, incluant le restaurant, et une adresse afin d'envoyer leur règlement. Les horaires seront également indiqués.

D'ici là, que vos yeux s’illuminent…

Mireille et Didier.

Didier Ronce, Mireille Chaligné.

Université du temps libre : Arts et Découvertes.    utl.artsetdecouvertes@gmail.com  /utl.artsetdecouvertes.over-blog    

 « Robert Monguillot, ou la vie d’un Sauternais requis en Allemagne nazie.( 1942-1945) ».

 Après avoir publié son premier livre « Les Jeunes de Langon dans la Grande Guerre » , Loïc Mansencal publie « Robert Monguillot, ou la vie d’un Sauternais requis en Allemagne nazie.( 1942-1945) »

Un livre réaliste qui relate l’histoire d’un de ses parents, Robert Monguillot , charron de son état, requis par les allemands dans le cadre du STO en 1942, pour pallier aux besoins en main d’oeuvre de l’industrie de guerre.

Il va passer le restant de la guerre à Vienne comme travailleur forcé pour les Allemands.

Il a entretenu une correspondance régulière avec ses amis et sa famille, et a conservé divers documents officiels. Tous ces documents retracent la vie d’un requis en Allemagne nazie de l’hiver 1942 au printemps 1945, profondément attaché à sa famille et à son village : Sauternes.

Ces sources permettent aussi d´aller à la rencontre d'un village sous l'Occupation.

L´auteur Loïc Mansencal, après des études d´histoire à l´université de Bordeaux, enseigne depuis 2007 l´histoire et la géographie dans l´académie de Versailles. Parallèlement, il s´intéresse à la micro-histoire et particulièrement à l´histoire contemporaine de sa commune d´origine : Langon, dans le département de la Gironde.

Le livre est disponible à l´espace culturel Leclerc de Langon, sur le site des Editions L´Harmattan:

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=65598

« La chambre de derrière ».

Cet ouvrage est  particulier car il qui éclaire une tranche de vie réelle sous l'occupation allemande.

Laurent Robène est né en 1952 et, après une courte carrière comme cuisinier, il s'est dirigé vers la comptabilité et son enseignement, puis l'ingénierie de la formation.

Cet auteur s'est toujours intéressé à l'histoire locale de son département de résidence (la Mayenne) et a publié de nombreux articles au sujet notamment des corporations de métiers sous l'Ancien Régime et la Libération, dans une revue trimestrielle, l'Oribus, dont il est devenu ensuite rédacteur-en-chef.

C'est après avoir pris sa retraite du monde de la formation qu'il s'est engagé sur une piste ouverte par sa tante, puis abandonnée. Cette piste, sur la base des seuls témoignages de Clara Malraux et Edgar Morin, le conduira à raconter la vie quotidienne de Pechbonnieu, village proche de Toulouse, pendant la période 1940-1944.

Aucun historien régional n'a mentionné Pechbonnieu comme un lieu notable de la résistance. Et pour cause : personne n'en a parlé. Ni les villageois eux-mêmes, qui ont peut-être évoqué entre eux à la veillée les faits de résistance de leur village, mais sans leur donner davantage d'écho, ni les acteurs principaux.

Et pourtant, de 1940 à 1944, sans discontinuité, une famille du village a hébergé et caché plusieurs dizaines de Juifs (enfants ou adultes), de réfractaires au STO, de résistants, de parachutistes anglais et même des déserteurs de l'armée nazie.

Chez eux, on imprimait des tracts, on organisait des transferts vers les Pyrénées et l'Espagne, Edgar Morin et Clara Malraux organisaient le MRPGD (Mouvement de Résistance des Prisonniers de Guerre et Déportés) en R4 (région toulousaine). Et toutes ces activités se faisaient avec le silence complice de toute la population.

Personne n'a jamais dénoncé ces actes clandestins aux autorités. Au cours des années 80, Clara Malraux et Edgar Morin ont pourtant mentionné en plusieurs écrits leurs passages et séjours dans cette maison de Pechbonnieu. A partir de ces évocations, de recherches bibliographiques et dans divers fonds d'archives, le petit-fils de cette famille, a pu reconstituer la vie de ce village pendant cette période.

 Ces recherches ont abouti à la publication du livre « La chambre de derrière », Laurent Robène, Editions l'Harmattan, novembre 2018, avec une préface d'Edgar Morin. .A la fin de la guerre, les époux Robène se sont séparés, puis ont divorcé et aucun des deux n'a jamais fait état de ses activités de résistant pour obtenir quelque récompense, chacun est resté silencieux. Ils ont été reconnus « Justes parmi les Nations » par le comité Yad Vashem en mai 2018.

Au fil des pages, le lecteur sera plongé dans la vie quotidienne des familles d'un village sous le régime de Vichy d'abord, puis sous l'occupation à partir de novembre 1942. Et il ne manquera pas de repérer les deux thèses qu'avance et soutient l'auteur. Tout d'abord, bien que la famille d'accueil de Pechbonnieu n'ait été enregistrée dans aucun mouvement de résistance (en quelque sorte, ils étaient « free lance »), le refuge abritait des personnes provenant de plusieurs réseaux ou mouvements. L'auteur a pu établir qu'au moins 4 organisations différentes utilisaient l'abri de Pechbonnieu. D'autre part, ce livre démontre que tout le village était au courant de ces activités, des commerçants aux paroissiens, du maire (ou plutôt le président de la délégation spéciale) à l'institutrice. Même le délégué cantonal de la Milice a fait silence.

Le livre est en vente à la librairie Chaumerliac à Moissac et sur commande dans toutes les bonnes librairies. Il est également présent sur tous les sites de vente en ligne.

La chambre de derrière. Pechbonnieu 1940-1944, Laurent Robène, L'Harmattan 2018, Broché - format : 13,5 x 21,5 cm. 14 novembre 2018 • 212 pages   ISBN:978-2-343-15837-2.

Laurent Robène sera à 7 à Lire, le salon de Nègrepelisse.

Couverture  de l'ouvrage.   /  Portrait de l'auteur.

Vendredi 7 février, Montauban recevait Edgar Morin, sociologue, ethnologue, philosophe, bref un de nos grands penseurs contemporains, initiateur de la pensée complexe, docteur honoris causa d'une vingtaine d'universités à travers le monde.

Brigitte Barèges, maire, ne s'est pas trompée sur la qualité du visiteur : « Je salue l'homme qui nous dit qu'il faut vivre la poésie », en lui remettant la médaille de citoyen d'honneur de la ville de Montauban.

Après sa conférence, consacrée à la période de la résistance d'abord, puis aux dangers du monde contemporain dans une deuxième partie, Edgar Morin a dédicacé ses livres auprès d'un nombreux public, sous l'égide de la librairie La Femme-Renard.

Cette visite a été l'occasion de retrouvailles singulières. En effet, en 1943, Edgar Morin avait été chargé avec Clara Malraux, par Michel Cailliau, neveu du général de Gaulle, d'organiser le MRPGD (Mouvement de Résistance des Prisonniers de Guerre et Déportés) dans la région toulousaine.

Et pour ce faire, il logeait dans un village non loin de Toulouse, Pechbonnieu, où Clara, résidente régulière de la villa des Pâquerettes à Montauban, le retrouvait de temps en temps. La maison Robène, où il habitait, était le domicile de la famille Robène : le père Lucien, son épouse Blanche et leurs deux filles Lucette et Marguerite.

En même temps, cette famille hébergeait et cachait d'autres résistants de plusieurs organisations différentes et des Juifs, enfants et adultes. Edgar Morin avait un adjoint qu'il aimait beaucoup, Jean Kratzat, allemand, ancien marin de Hambourg, qui avait fait la guerre en Espagne et s'était replié sur Toulouse.

Pendant ses moments d'inactivité, Jean méditait en façonnant des objets, le plus souvent des têtes humaines, avec de la terre qu'il allait chercher à la briquèterie voisine. La famille Robène a toujours conservé les quelques sculptures que Jean a laissé.

En juin 1944, Jean a été arrêté puis conduit à Lyon au fort de Montluc où il a été torturé, et fusillé. Il n'a jamais parlé de la cache de Pechbonnieu. C'est un visage modelé par Jean Kratzat que la famille Robène a offert à Edgar Morin qui en ignorait jusqu'à l'existence : « c'est Jean qui a fait ça ? dit-il en caressant le visage rugueux, je n'avais rien de lui ».

L'émotion a été très forte aussi pour Marguerite Robène-Denègre, qui avait 12 ans en 1943, avait côtoyé ce grand jeune homme de 22 ans, et qui ne l'avait jamais revu depuis. Ces épisodes de la Résistance toulousaine ont été racontés dans le livre « La chambre de derrière », de Laurent Robène, paru en novembre 2018 préfacé par Edgar Morin, chez L'Harmattan ».

Graines de lettres germées, fleurissent, essaiment .....!******** 

Véronique Piazza.

"Gâtinaise de coeur et tarn-et-garonnaise d'adoption, Véronique Piazza poursuit depuis une dizaine d'années son chemin en écriture, alternant albums jeunesses pleins d'humour et romans historiques aux univers variés.

N'hésitez pas à la rencontrer, sur un salon régional ou au travers de son site "https://les-livres-de-veronique-piazza.jimdo.com  , elle se fera un réel plaisir de vous faire découvrir ses ouvrages et partager son plaisir d'écrire.

Son dernier roman, Thorolf, le réveil du loup, vous emmènera, en compagnie de son héros, chez les redoutables Pictes, au delà des murs d'Hadrien et d'Antonin : là-bas, il devra affronter non seulement de farouches guerriers jaloux de leur indépendance, mais aussi ses propres doutes et ses trahisons.

Ces derniers auront-ils raison de sa toute nouvelle foi chrétienne ?..."

Jean Dupin.

«Le vieux moulin».

De mémoire d’homme, les eaux vives du Lévezou ont animé la dormante et la tournante, cette paire de meules de grés, productrice de farine nourricière. Au Vieux Moulin, elles travaillaient depuis une éternité, dans l’immuable paix d’une vallée de bout du monde.

Mais, au printemps 1940, puis, plus durement encore avec l’arrivée des Allemands à Rodez, l’incertitude des lendemains, le doute et la passion politique s’insinuent dans les esprits et les coeurs, au moulin comme dans le village proche. Les opinions s’affrontent, les soupçons pourrissent la vie, entre voisins amis jusque-là, mais aussi dans l’intimité des familles, voire des couples.

Basile, le meunier, ancien de Quatorze, voue une confiance sans réserve au Maréchal, tandis que son fils, Lucien, regarde vers Londres.

Au bourg, apparaît Antoine, nouveau mitron du boulanger, profil équivoque de séducteur, qui charme Juliette, puis qui semble la lâcher pour de mystérieuses correspondantes.

Soudain tout s’accélère. Pour les jeunes, il faut partir en Allemagne, au STO, ou se planquer ; ou entrer au maquis. Antoine, Lucien, Rivière, l’instituteur retraité, choisissent leur camp à leurs risques et périls. Les Allemands surviennent au Vieux Moulin.

Dans un final captivant, Jean Dupin donne vie à toutes les ambigüités de personnages qu’il faut voir réagir aux évènements, avant de les juger.

Une fois encore, Jean Dupin a puisé son inspiration dans son terroir aveyronnais. La guerre, le maquis, lui rappellent des souvenirs d’enfance qui sont ancrés dans sa mémoire, il a voulu nous les faire partager.

Après Le facteur du Lévézou, Le Vieux Moulin est son quinzième roman.

On peut consulter l’activité littéraire de l’auteur sur : www.o-p-i.fr/7alire

Robert Linas.

Martine Claustres.

Gabriel et la poupée des neiges.

Pour les enfants qui aiment le rêve et l’aventure .

Pour redonner joie et vie à un couple sans enfant, le petit Gabriel entreprend un périple rempli de dangers.

Gabriel et la maison hantée.

Les parents de Gabriel ont découvert pour leurs vacances une maison exceptionnelle.

Mais que de surprises et de peurs dans ce lieu qui semblait idyllique.

Le téléphone de Lya.

Lya écoute maman raconter une histoire.

La petite fille part à la rencontre des personnages, et vit avec eux une jolie aventure.

L’anniversaire de Lya.

C’est un cadeau d’anniversaire extravagant que Lya demande à sa maman.

Ce que reçoit la petite fille est bien au-delà de ses espérances.

Le Cerisier.

Grâce à un cerisier, deux enfants qui ne se connaissaient pas se rencontrent.

Et deux frères qui ne s’aimaient pas se retrouvent.

12 Euros chaque livre.  05 61 05 85 29   / marlyes@orange.fr

Robert Linas.

Colette Berthès.

«du Quercy … et d'ailleurs.»

 Les premiers écrits de Colette Berthès datent de la fin des années 50 et ne sont pas passés à la postérité : contes écrits à la plume sur un cahier d'école et illustrés aux crayons de couleur puis lus aux cousins ébahis: «mais où vas - tu chercher ça ?»

Les années ont passé, entre voyages, emplois variés, vie de famille et associations et, toujours, peu ou prou l'écriture, professionnelle et articles pour de «petits» journaux associatifs puis en de 1996 à 2000, un évènement qui a mobilisé des centaines de personnes, de médias, de politiques, de militants associatifs en France , en Europe, ailleurs : la défense d'Odell, un jeune noir texan innocent et condamné à mort.

D'où un premier ouvrage, la Machine à Tuer, qui, mêlant, essai , récit et reportages, raconte la vie, la lutte et la mort d'Odell et la justice américaine.

Il n'y a que le premier pas qui compte dit-on. Et le goût de l'écriture au long court est venu...en écrivant.

Ainsi, quelques récits de son grand-père sur les compagnons dont il avait fait parti dans sa jeunesse, ont donné, après plus de deux ans de travail, de lectures, de rencontres, un roman , La mémoire des Chemins, dont une grande partie se déroule autour de Septfonds. (De Borée 2008).

Un souvenir d'enfance de promenades au lieu-dit, le camp de Judes- a débouché, 60 ans après, sur des mois de recherches et de rencontres et sur L'exil et les Barbelés (Riveneuve 2011).

Le Lot de la famille paternelle a revécu, avec ses phosphatières, ses paysans pauvres et ses gros bourgeois cadurcins, dans Les Amants de Borde Rouge.( de Borée).

Et Toulouse, la belle capitale occitane, déroule ses légendes, mystères et vie célèbres dans le Guide secret de Toulouse ( Ouest France 2013).

Quant à son pays d'adoption depuis presque 50 ans, la Palestine, il vit maintenant à travers La petite Fille aux Ballons, une enquête passionnante qui a les ressorts d'un roman policier. Périple d’une mère qui, passée la sidération, veut comprendre comment sa fille a pu se faire exploser dans un attentat suicide . Le roman raconte aussi le quotidien des Palestiniens, les femmes et leur courage, la jeunesse tantôt révoltée, tantôt résignée et la diversité sociale, religieuse, politique de cette société si mal connue.

Colette Berthès au salon du livre de Figeac.

Colette Berthès

Adeline Camus.

Collection de livres jeunesse : « Billes de relaxation ».

La collection qui s’intitule « Billes de relaxation » contient, jusqu'à ce jour, 19 histoires (d’une vingtaine de pages).

Chacune de ces histoires contient un véritable exercice de Sophrologie ou de Méditation de pleine conscience autour des thèmes de la gestion des émotions, le développement de la concentration, le retour au calme, la confiance en soi, l’endormissement, la relaxation corporelle…

Ils ont été écrits par Adeline CAMUS, sophrologue, hypnothérapeute, professeur de yoga installée à L’Union (31), et également mère de 3 jeunes enfants.

Depuis longtemps attirée par l'envie d'écrire, c'est dans le cadre de son activité professionnelle que ce désir s'est exprimé tout naturellement. En effet, elle a rencontré un certain nombre d'enfants qui nécessitent un accompagnement particulier autour de la gestion des émotions, l'estime de soi, la canalisation de leur énergie, les troubles de l'endormissement...

Leurs parents, ainsi que certains professionnels se retrouvent ainsi démunis, ne sachant comment accompagner leur enfant dans ces freins à leur épanouissement.

« C'est à partir de ce constat qu'a commencé à germer dans mon esprit le souhait de développer mes propres "outils" pédagogiques, ludiques et thérapeutiques à la fois. Adepte des livres pour enfants dès le plus jeune âge, j'ai fait travailler mon imagination pour créer des personnages et des histoires dans lesquels chaque enfant peut se reconnaitre, de l'âge de 2 ans et demi jusqu’à environ 9 ans. »

Les illustrations ont été créées par Margot Collavini et Caroline Bonnin.

CONTACT : 06.10.26.75.67 / minalicha31@gmail.com  / facebook@billesderelaxation  / www.minalicha.com

Robert Linas. 

René Savelli.

René SAVELLI vous éditez aux Editions Auzas des contes Mongols, d’où vient cette idée ?

C’est la retombée positive du jumelage que nous avons effectué entre Auzas, village de l’ancien canton de St Martory, avec un village de Mongolie, Bulgan situé dans le désert de Gobi, au sud de la Mongolie.

Nous avons rencontré lors d’un voyage Moscou Pékin par le Transsibérien – Trans-mongolien, une guide, Urna, qui nous a fait entrer en contact avec le Maire de ce village. Nous avons reçu en 2011 une délégation Mongole et en 2012 nous sommes allés en Mongolie à leur rencontre.

À cette occasion, l’Ambassadeur de France nous a fait rencontrer Khishig, qui avait traduit les contes que lui racontait sa grand-mère.

Les Editions Auzas a qui nous les avons confiés les ont édités en trois tomes et le profit de la vente est reversé à une fondation Mongole pour l’éducation des jeunes nomades.

De quoi parlent ces contes ?
C’est très varié, mais toujours avec une morale, et souvent avec un respect de la nature. Les Mongols étant de culture nomade et éleveurs, sont très attachés à tout ce qui touche la nature et la terre mère. Leur religion Bouddhiste Tibétains mêlée de Chamanisme n’est certainement pas non plus étrangère à cela.
Ces contes ne sont-ils pas déroutants pour les enfants ?
Il y a 7 à 8 contes par tome et les contes sont variés. Certes certains sont « Mongols », plutôt rudes comme approche pour les tout petits, mais d’autres qui parlent d’animaux sont accessibles aux plus jeunes. L’intérêt est aussi de découvrir par cette lecture une culture différente et donc d’ouvrir l’esprit des jeunes lecteurs français.
Vous avez toujours des relations avec la Mongolie ?
Oui bien sûr, nous avons participé en fin d’année 2015 au 50ème anniversaire des relations Franco Mongoles au Musée Labit de Toulouse, nous avons reçu Khishig, ainsi que la guide Urna et sa famille, et nous repartons en août pour consolider ce jumelage. Et puis il y a internet qui permet de rester en relation étroite avec nos amis Mongols. Il faut savoir que seuls deux villages Français sont jumelés avec des villages Mongols.

Robert Linas.

Katherine Debelle.

Katherine Debelle, un auteur plein de ressources. Son livre « Le Grand Dictionnaire des Rêves » publié en 97 par les éditions Trajectoire a toujours autant de succès. En 2014 l’ouvrage réactualisé a connu un vrai triomphe à France loisir. L’auteur a également écrit sur les minéraux, leur pouvoir et leur vertu.

Ne tarissant jamais d’inspiration, elle s’est trouvée une nouvelle vocation de romancière avec une saga thriller qui cartonne sur le net « Le Diable écoutait aux portes. Une histoire captivante autour d’un adolescent dont la descente aux enfers va semer le chaos et le deuil dans une famille du Sud Ouest.

Interview expresse : 4 questions posées à Katherine Debelle.

Faut-il toujours tenter d’interpréter un rêve ?

Ceux qui pensent qu’un songe n’est qu’un désordre mental produit par l’inconscient font rarement des rêves passionnants. Les rêves peuvent cacher un message, nous éclairer sur nos désirs, les ignorer serait dommage.

Pourquoi avez-vous passé d’un sujet comme les rêves et les minéraux à la littérature ?

La création fait partie de ma vie, je n’aimerai pas me cantonner dans un travail mystique. Mon imagination m’a conduite sur le chemin du roman. Mais j’écrirais encore sur le rêve…

Avez-vous un autre thriller en chantier, si c’est le cas, de quoi parle-t-il ?

Oui, il est même achevé. « La Mer pour Linceul » est une histoire incroyable et d’actualité qui se déroule en Roussillon, sur une crique Je cherche d’ailleurs un éditeur sérieux.

Hors mis la littérature, avez-vous d’autres cordes à votre arc ?

La musique, je suis membre de la SACEM. Je compose et écris des chansons, ça me détend.

Bibliographie :

S’initier facilement au Tarot Editions Trajectoire

Le Grand Dictionnaire des Rêves - Trajectoire - France Loisir (2O14)

Captez l’énergie de ces Pierres si précieuses  - Trajectoire

Le Pouvoir du Rêve (2014) - Trajectoire (coffret dictionnaire + carnet + attrape rêve)

Le Diable écoutait aux portes Editions H2Q

Robert Linas.