NOUVELLES
de la
Vallée du CIRON
-o-o-o-o-
Courrier électronique occasionnel
Édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron
33210 (Gironde) (France)
-o-o-o-o-
Adressé aux abonnés:   (215)                   N° 86 du 17 septembre  2003.
Sommaire: Nouvelles de "Vallée du Ciron".
Nouvelles du Club.
Nuit du patrimoine à Barsac.
Budos sous la Révolution.
Vide-grenier.

Note: Les textes en bleu-souligné donnent accès à des pages Web. Cliquer dessus.

C'est pas gai. Cela finira bien par s'arranger.

Nouvelles de Vallée du Ciron. 

Notre site vallee-du-ciron.com vient de connaître une mésaventure.
Pour améliorer la visite du site et en voulant quitter le fournisseur d'accès, très onéreux, pour un autre plus accessible, le site se trouve inaccessible.

Le premier a coupé l'accès mais renâcle à transférer le nom de domaine chez le second, ce qui devrait se faire à la vitesse d'Internet. 

Pour accéder au site voici l'adresse actuelle: vallee du ciron.

Le concours du jeune Informaticien très passionné est toujours espéré. 

Nouvelles du Club. 

Compte-rendu de l'assemblée générale

compte rendu du 9 septembre 2003 

Ouverture de la séance 18 h 30

          Le Bilan d'activité présenté par Christian Flages regroupera trois points essentiels :

1°- les Écoles :

C.Flages insistera sur le fait qu'à l'origine, le club informatique fut créé pour les écoles et précise que cette volonté d'aide et de formation persiste dans l'esprit des fondateurs du club. Il regrettera l'absence des enseignants des écoles concernées à cette assemblée.

Il notera également la vétusté du matériel informatique de l'École de Bommes.

2°- les Adultes :

C. Flages évoquera la saison 2002/2003 comme une année en « demi-teinte » compte-tenu les défections successives de participants n'ayant pas (semble-t-il) trouvé les cours assez proches de leurs préoccupations et projets informatiques personnels. Il suggère d'affiner l'organisation même des cours prochains et d'établir un véritable programme pour 2003/2004. Il notera également l'achat d'un projecteur très utile pour le contenu pédagogique des cours informatiques.

Il précisera enfin que cette année, le Club a du faire face à une attaque de virus importante qui a « mangé » une partie importante des cours, ainsi que le vol de matériel dont a été victime le Club.

3° - les Associations :

Le président C. Flages rappellera les diverses participations du Club au Téléthon 2003, à la journée Internet, ainsi que l'animation au repas des seniors et la présence du Club lors de la fête de la St PEY.

Lors de cette fête, il notera une forte participation au stand du Club Informatique qui avait pour actions : la présentation du Club, du CD, et l'appel de fonds lors de la vente d'objets au vide -grenier.

Il remerciera à cet effet les efforts de C. de Los Angeles et de son équipe.

Le bilan  moral sera approuvé à l'unanimité de l'assemblée.

II         Le Bilan financier présenté par André Cochet, trésorier du Club :

A. Cochet notera que le nombre de cotisants pour la saison 2002/2003 ( l'exercice va du 1er septembre au 31 août ) reste identique à celui de la saison précédente, à savoir : 37.

Il précisera que le bilan financier est disponible au sein du Club pour qui souhaiterait de plus amples détails.

Il détaillera les recettes et dépenses de la saison, et rappellera l'hébergement gratuit du Club dans les locaux accordés par la mairie de Pujols-sur-Ciron.

André Cochet précisera enfin que le solde 2002/2003 s'établit à 1689 €uros, et que la volonté du Club n'est pas de « faire de l'argent et de capitaliser, mais bien d'utiliser les cotisations pour améliorer les conditions de vie du Club par l'achat de matériel performant et d'actions profitables à tous ses membres »

On notera également l'achat de deux PC & imprimantes (1249 €) et celui d'une imprimante laser couleur (816€)

Le prix des cotisations 2003/2004 reste inchangé : 35 € par personne et 46€ pour un couple pour l'année.

 Le bilan financier est approuvé à l'unanimité des participants.

III       Élection au bureau du conseil d'administration du Club :

Patrice Fabregat, membre du Club est proposé comme membre du bureau ayant notamment fonction de trésorier adjoint.

IV        Projets 2003/2004 :

C. Flages et André Cochet présenteront les grandes lignes des projets pour la saison qui s'ouvre :

1.loto le 23 octobre 2003,

2.soirée théâtre le 25 octobre 2003,

3.journée Internet en mars 2004,

4.création d'une photothèque.

Christian Flages insistera sur la nature « des avancées théoriques sur Internet » et le contenu pédagogique des cours fournis aux élèves pour la saison 2003/2004.

Il souhaite également « qu'une  planification précise soit établie  jusqu'à Noël 2003 concernant les cours adultes afin de moins se disperser en établissant sur les deux heures de cours une partie théorique non négligeable avant de passer à l'aspect pratique sur les postes de travail»

Les heures de cours pour 2003/2004 seront :

   ►le mardi de 18 h 30 à 20 h 30,

                ►le mercredi de 20 heures à 22 heures,

                ►le samedi de 17 h à 19 heures.

Avant de passer au côté festif de la réunion ( chacun avait apporté de quoi composer un véritable buffet froid), le Président demandera que chacun réfléchisse sur la future organisation de la photothèque qui reste le projet principal pour 2004 et qui demandera beaucoup de travail et d'investissement de la part des membres du Club. 

A cet effet, une réunion est proposé pour le 17 septembre à 18 heures.

Ensuite, un diaporama photos présenté  par Pierre Chaligné sur les récentes sorties du Comité de Jumelage en Espagne illustrera une des possibilités du logiciel qui servira à constituer la photothèque.

 Un projet de mascotte du Club ( un vison, celui du Ciron) est également proposé.

Il est également envisagé la fourniture de tables informatiques afin de remplacer les tables actuelles et d’avoir ainsi un matériel plus adapté à notre type d’activité.

Fin de l'assemblée vers 20 heures 30. 

Patrice Fabregat.

 42 participants, dont le Maire et un adjoint,

Joli programme pour visiter ce village. 

Nuit du patrimoine.    Patrimoine spirituel.

 à

 Barsac.

Le 20 septembre 2003.

Programme proposé avec les différentes étapes.:

20 h 30
Place du Général Leclerc, rendez-vous.

Passe-rue: fifres et cornemuses landais.

20 h 45 
Départ d'un tour de ville.
Discours de Monsieur Liberto Paniagua maire de Barsac

Marie Thérèse Charlotte de Lamourous et l'Ordre de la Miséricorde.
Par Marie Christine Baquet.
Association Ait, vin et patrimoine.

Château Suau.

Les esprits de la nuit par les enfants des écoles. (Lutins)
Le château Suau et le parc de la Garenne patrimoine végétal et souvenirs.

Lecture par Sophie Coutant.

Rue du 11 novembre.

Chant des tonneliers.
Barsac: un territoire viticole par le Syndicat viticole.

Lecture par Michel Bernard.

Eglise Saint Vincent.

L'Ave Maria, carillon.
Eglise Saint Vincent de Barsac.

Lecture par Jean Lalande.
Association des Amis de l'église de Barsac.

Maurice Rouleux, organiste.

Le presbytère.

L'Abbé Despax, un émailleur girondin.
 par Marie Christine Baquet,
Association Art, vin et patrimoine.

Maryse Lopez, violoniste soliste, accompagnée de Monique Arnaud.

Château Nairac.

Chansonnette sur le château Nairac.
Le château Nairac et son "jardin des vignes" 
Ecole de musique de Barsac.

Le lavoir.

Le lavoir et la société des femmes, évocation de la vie du lavoir.
Association Soleil d'automne.

Halle et mairie.

Histoire du centre bourg
 par Françoise Mussotte.

Mariage à trois, saynette.

Parc de Montalivet.

Barsac Antique.
 par Suzanne Andral.
Association Art, vin et patrimoine.

Final.

Chorale et accordéon par l'école de musique de Barsac.

Vin chaud par l'Association des commerçants et l'Association Détente et Loisirs.  

Bonne soirée.

BUDOS sous la Révolution. 

Article de M. Jean DARTIGOLLES paru dans le Bulletin Municipal de Budos, faisant suite à son ouvrage: 
Une Paroisse du Pays des GRAVES à la fin de l'Ancien Régime.   BUDOS.    1760 - 1789

Cet ouvrage de 484 pages est  disponible sur le site http://www.vallee-du-ciron.com .

C'est un témoignage vivant sur cette époque troublée.

( 5ème Partie )

 

Dans notre dernière chronique, nous avions vu que, pour avoir refusé de prêter le serment à la constitution civile du clergé, le vieux Curé DORAT avait été évincé de la Paroisse de BUDOS au profit de Mr. LATAPIE, prêtre constitutionnel et neveu du Maire.

Il avait dû finalement prendre le chemin de BORDEAUX pour y être interné. Ayant obtenu une permission exceptionnelle, il avait pu revenir à BUDOS dans les tous derniers jours de 1792.

Il n'y avait pas une heure qu'il était de retour lorsque le Curé LATAPIE l'aperçut sur le Bourg de BUDOS, revêtu d'une soutane. Le port de la soutane étant interdit aux prêtres "non jureurs", son sang ne fit qu'un tour. Dans une réaction fort peu évangélique, il se précipita tout aussitôt auprès de la Municipalité pour dénoncer le coupable comme perturbateur de l'ordre public.

La réaction fut rapide. Dans un Avertissement du 29 Décembre, signifié au ci-devant Curé DORAT au matin du premier Janvier 1793, on lui enjoignait de quitter BUDOS au plus vite et de regagner BORDEAUX.

 

Le vieux Curé est aux cent coups ! Dans une longue lettre datée du 3 Janvier, adressée au " Très respectable Citoyen" Maire de BUDOS. Il se défend de toute intention malicieuse :

"La seule raison qui m'obligeait à prendre cette soutane d'été, très légère, était de marcher plus aisément pour aller visiter mes bois qui sont très éloignés du Bourg où j'habite, et que mon habit de voyage, qui est très pesant était tout mouillé depuis mon voyage de BORDEAUX que j'avais fait avec un très horrible temps, et qu'ayant d'ailleurs fait porter tous mes habits à BORDEAUX où je dois (désormais) habiter continuellement; je ne pouvais en prendre d'autres.."

 

Il y a probablement beaucoup de vrai dans tout cela. Il est par exemple exact qu'en ces jours là il avait fait un très mauvais temps, et la pluie, en ces premiers jours de Janvier continuait à tomber sans désemparer.

Il est non moins exact que le Curé DORAT, pendant son long séjour à BUDOS avait acheté des parcelles de bois dont une partie se situait au-delà de PAULIN. Mais il se pourrait bien aussi que cette affaire de soutane n'ait constitué qu'un simple prétexte.

Il semble en effet que dès son retour à BUDOS, le ci-devant Curé DORAT y ait été accueilli par ses anciens paroissiens, avec des signes d'amitié qui auraient beaucoup déplu au nouveau Curé.

Ce ne serait pas tellement étonnant. Il y avait alors à BUDOS quelques jeunes enfants dont le Curé DORAT avait baptisé les Grands-Pères .... Au fil de deux générations successives, bien des liens s'étaient noués, des liens aussi bien faits de complicités souriantes que de chamailleries occasionnelles

A BUDOS, en dépit de tous les conflits passés, Me Jacques DORAT restait "le " Curé, et Mr. LATAPIE, "venu d'ailleurs", depuis moins d'un an, n'avait pas encore fait réellement sa place au soleil dans le village. D'autant que son comportement personnel n'était probablement pas exempt de critiques, quelques incidents ultérieurs en rapporteront la preuve.

Ainsi donc, l'accueil fait au ci-devant Curé DORAT peut bien avoir eu plus de poids dans cet incident que sa modeste affaire de soutane.

Malade, il se déclara néanmoins prêt à rejoindre BORDEAUX dès que sa santé le lui permettrait; c'est d'ailleurs ce qu'il fit. Mais au lieu de se rétablir, il fut bientôt saisi de fièvre et mourut peu après à l'hôpital. Il avait alors 77 ans.

 

On était pour lors dans une période particulièrement dramatique de la Révolution. Le 21 Janvier 1793, on exécutait LOUIS XVI.

C'est le moment, plutôt mal venu, que choisit la ci-devant Baronne Delphine de BRASSIER, mère du Seigneur émigré, pour se manifester. Elle n'avait pas quitté BORDEAUX où elle habitait toujours rue MARGAUX. Les biens des parents d'émigrés n'avaient pas encore été mis sous séquestre. Cela allait bientôt venir, mais seulement à la fin de la même année, avec le Décret du 17 Frimaire An II (7 Décembre 1793). Pour l'instant, il lui était donc encore possible de faire valoir les droits de ses petites-filles sur les propriétés de BUDOS.

La situation des ci-devant Seigneurs de BUDOS avait en effet beaucoup évolué au fil des derniers mois. On se souvient que Charles François Arnaud De LAROQUE BUDOS, fils de la Baronne de BRASSIER avait épousé Catherine De MENOIRE en 1787, et qu'ils avaient eu une petite Catherine Delphine née au Château de BUDOS en Juillet 1789.

Depuis lors, ils avaient eu une autre fille, née à BORDEAUX, et la jeune mère était morte peu après, peut être des suites d'un accouchement difficile. Le père ayant émigré au début de 1791, la Baronne de BRASSIER était restée seule à BORDEAUX, élevant ses deux petites-filles orphelines en très bas âge.

Nous n'entrerons évidemment pas dans le détail juridique fort complexe de la pétition que formula la Baronne. Nous ne retiendrons que sa démarche en date du 2 Janvier 1793, présentée aux autorités du Département; démarche qui, via le District de CADILLAC, parvint pour avis à la Municipalité de BUDOS le 24 Janvier.

Le Conseil Municipal en délibéra longuement afin de décider s'il y avait lieu ou non de lever une partie du séquestre établi sur les biens du Château pour permettre à la vieille Baronne d'élever ses petites-filles.

Le moment était on ne peut plus mal choisi. On venait tout juste d'apprendre l'exécution du Roi, et l'opinion locale était surchauffée. La réponse fut évidemment négative en s'appuyant sur de nombreux arguments parmi lesquels nous en retiendrons deux.

Tout d'abord, peu de temps avant sa mort, la jeune Baronne de MENOIRE avait fait enlever les vins entreposés dans les chais du Château, et les avait fait transporter en lieu sûr à BORDEAUX; et cela manifestement, la Municipalité ne l'avait pas apprécié:

" Considérant que ... ladite MENOIRE habitante chez sa Belle-Mère a fait porter dans ses chais de BORDEAUX, depuis l'émigration de son mari, plus de cent tonneaux de vin vieux provenant des récoltes de BUDOS et de LANDIRAS des années précédentes ainsi que tous les vins de la récolte de 1791 ... dans le courant de l'année dernière 1792 et que ce produit, calculé sur le prix du vin vieux à cette époque, forme des sommes considérables qui n'ont pu être consommées par une femme mourante qui n'avait que deux filles au berceau...."

Et par ailleurs, le Conseil n'a pas davantage accepté que les objets mobiliers précieux aient quitté le Château :

"Considérant que la veuve Delphine BRASSIER a dû encore trouver à la mort de sa Belle-Fille toute l'argenterie, linge, meubles et autres effets précieux qui ont été furtivement enlevés dans le ci-devant Château de BUDOS et qui pourvoiront abondamment au prétendu dédommagement qu'elle réclame..."

Enfin, et pour montrer qu'à BUDOS on avait bien assimilé le nouveau discours révolutionnaire, le Conseil Municipal s'exprima fortement dans une diatribe que n'aurait certainement désavoué aucun leader de la Convention Nationale :

" toutes ces pétitions ne tendent qu'à arracher des mains de la Nation des sommes considérables pour grossir d'autant plus les moyens d'alimenter la rage des ennemis du Bien Publie qui n'ont déserté leur Patrie que pour revenir avec plus d'audace plonger le poignard dans le sein des amis de la Liberté."

Il semble bien que le repli total de la famille De LAROQUE sur BORDEAUX ait été très mal vécu à BUDOS. A la différence de ce qui avait pu se produire en d'autres lieux, les relations entre les Budossais et les De LAROQUE n'avaient jamais été conflictuelles.

Certes, au début du siècle, un procès au sujet de l'exploitation de la lande les avait opposés à un Baron un peu trop jeune et trop sûr de lui , mais ils avaient gagné ce procès et le Baron s'était fait une raison.

Deux générations étaient passées là-dessus. Depuis lors, les uns et les autres avaient vécu en bons termes. Bien que nous n'en ayons pas de preuves formelles, il se peut bien que le fait de n'avoir plus reparu dans le village depuis le début de la Révolution, et le fait, aussi, d'avoir déménagé de BUDOS sur BORDEAUX tout ce qui pouvait l'être, aient été vécus comme une sorte d'abandon et de désengagement.

Car il ne faut pas oublier que sous une forme ou sous une autre, ils étaient nombreux les Budossais qui vivaient du Château. Il n'est pas impossible que ce repli des De LAROQUE ait été ressenti comme  nous ressentirions de nos jours la fermeture d'une usine ou d'une importante activité communale.

C'est peut-être pour cela que les Budossais ont si aisément envisagé plus tard de démolir le Château que bien d'autres Communes, ailleurs, à la même époque, et dans des circonstances identiques, ont su plus ou moins préserver.

D'autres rebondissements nous attendent dans les prochains épisodes ...

 

( à suivre )

On est pas riche, il faut faire feu de tout bois.

Vide Grenier  de la fête de la  St PEY.

 Afin de pouvoir répéter cette opération l’an prochain, dès maintenant nous récupérons tout ce que vous voudrez bien nous donner: livres, jouets, bibelots, vaisselle, meubles, disques, linge, vêtements, outillage, matèriels divers, etc…. 
Nous pouvons débarrasser caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. Merci de le faire savoir autour de vous. Avant de jeter n’hésitez pas à contacter.

au   05 56 76 61 98         Christian FLAGES, président du club,
au   05 56 76 63 12         André COCHET, trésorier,
au   05 56 76 61 81         Christian de LOS ANGELES, membre du club en charge du stand ou tout autre membre du club.
Vous pouvez aussi nous joindre par E-mail aux adresses mentionnées a la fin des
NOUVELLES DE LA VALLEE DU CIRON. 

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
Président Christian FLAGES    Tel: 05 56 76 61 98
E-mail: pujols.info@wanadoo.fr
Site: http://perso.wanadoo.fr/pujols-sur-ciron
Site: http://www.vallee-du-ciron.com
Site: Cironsite

 Le webmixer
André COCHET
Tel: 05 56 76 63 12
ancochet@wanadoo.fr
 
Pour vous désabonner: cliquer sur répondre, écrire NONenvoyer.