NOUVELLES
de la
Vallée du CIRON.
Mustel Les visons,  mascottes de la Vallée du Ciron. Mustelle
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Courrier électronique occasionnel
Édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron
33210 (Gironde) (France)
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Adressé aux abonnés:   (215)                   N° 87 du 30 septembre  2003.
Sommaire: Nouvelles de "Vallée du Ciron".
L'Asso, "Savoir Faire d'Aquitaine" .
Calendrier des messes en Langonnais
Budos sous la Révolution.
Vide-grenier.

Note: Les textes en bleu-souligné donnent accès à des pages Web. Cliquer dessus.

Ouf.... c'est reparti..

Nouvelles de Vallée du Ciron. 

Il est enfin remis en ordre notre site  Vallee-du-ciron.com. Il est de nouveau opérationnel et nous l'espérons sera plus facilement accessible par les moteurs de recherche.

Nous vous demandons une petite minute d'attention pour cliquer sur : Vallee-du-ciron.com et l'ajouter à vos favoris après avoir supprimer les adresses antérieures.

Autre bonne nouvelle, la mise sur Cironsite d'une page Web sur la Belette. Le plus petit carnivore de notre environnement et partant si discret. Avant l'introduction du chat domestique, au moyen âge, elle était présente dans les maisons pour faire la chasse aux souris. Nous n'avons pas gagné au change vu l'ardeur de nos chats plus friands de pâtée que de souris.

Autre nouvelle, celle-là moins heureuse, nous avons essayé de lancer un groupe de discussions par le courrier électronique.. Vous avez donc reçu une invitation à vous y inscrire. Ceux qui ont essayé n'ont pas pu s'abonner.

Un de nos abonné, plus dégourdi, nous a communiqué la méthode.

C'est très simple, je n'ai fait que suivre les instructions présentes sur le site wanadoo.
L'inscription s'effectue en trois temps :
1. inscription par e-mail
2. validation de l'e-mail
3. inscription sur
http://groupes.wanadoo.fr/groups/valciron

On ne saurait tout voir. A vous de jouer.

Cette initiative est destinée à permettre des échanges, sur ce grand sujet de la Vallée du Ciron, sur les projets du Club et tout autre sujet, sauf ceux qui pourraient susciter des polémiques, en cas de dérapage un modérateur sévira.

Une affaire en marche. 

Les "Savoir Faire d'Aquitaine". 

 

Découverte  des "Savoir faire d'Aquitaine".

 

Dernièrement  nous avons eu connaissance de l'existence d'une Association crée au cours de l'Année 2002 et dont l'action et les objectifs nous ont semblé très proches des projets du Club sur la Vallée du Ciron. "Savoir faire d'Aquitaine".

 

Voici son objet :

 

L'Association se veut être l'observatoire de l'identité de l'Aquitaine par la recherche et la valorisation de ses "savoir faire."

 

Ce projet a reçu un accueil très intéressé tant auprès des collectivités territoriales que de la société civile. L'Association compte déjà plus de 80 Adhérents parmi lesquels de nombreux décideurs, administratifs ou économiques, des journalistes, écrivains, professionnels de la communication etc....

 

Le problème de l’identité et des identités de l’Aquitaine dépasse le cadre administratif voire économique et touche bien sûr au culturel.

 

Hormis le fond de langue d'oc, avec ses variantes multiples, il ne semble pas que cette Région ait un fond commun sur lequel bâtir une identité, une image valorisante acceptée par tous les Aquitains.

 

En voyage, pour se situer, nous habitons au-dessus ou au-dessous de Bordeaux. Un jour peut-être nous dirons tout naturellement, nous sommes d'Aquitaine, comme d'autres disent, nous habitons la Bretagne ou l'Alsace.

L'action des "Savoir faire d'Aquitaine" va dans ce sens, elle mérite que l'on s'y intéresse et le cas échéant, que l'on y participe parce que dans notre société actuelle qui se mondialise, nous avons besoin de nous situer. C'est ce que l'on pourrait appeler une recherche d'identité.

Cette action, depuis la fondation s'est développée et se développe par:

·        La participation  à des manifestations: Expositions, Université de la communication d'Hourtin, débats divers, etc…

·        Le soutien à la création de films sur la vie en Aquitaine.

·        La recherche sur l'Aquitaine vue d'ailleurs. Comment est-elle perçue ?

·        L'aide à l'édition d'ouvrages traitant de sujets typiquement Aquitains.

·        La recherche de sujets de films, d'émissions télé, d'ouvrages. Les Savoir-Faire d’Aquitaine sont effectivement un laboratoire d’idées.

·        La définition de nouveaux projets et la recherche des moyens de leur réalisation ainsi que l’établissement de partenariats avec d’autres groupes et associations.

 

Sur ce dernier point, il y a un projet qui nous intéresse beaucoup, nous amoureux de la Vallée du Ciron, c'est la recherche du point géographique central de l'Aquitaine. Point qui doit matérialiser un centre et autour duquel devrait être organisé des manifestations de rassemblement.

 

Ceci nous intéresse d'autant plus qu'il se situe chez nous, dans notre Vallée, à Soubiran, commune d'Escaudes, à la limite avec Bernos Baulac et Lucmau.

 

Incontournable cette Vallée du Ciron puisque c'est dans cette Vallée, à quelques centaines de mètres de la rivière, que se situe le point central de l'Aquitaine déterminé par l'IGN, avec comme cerise sur le gâteau, que ce point doit se situer pratiquement au mitan du cours de la rivière.

 

Deux points centraux qui cohabitent en voisins voilà qui est peu fréquent et cocasse. Encore que…, cette dernière information doit être prise avec beaucoup de prudence, les méandres de la rivière pourraient bien nous jouer quelques tours en ses détours ombragés.

 

Si quelqu'un pouvait solliciter l'IGN ou toute autre source de connaissance, avec quelque chance de succès, pour lever cette incertitude je serai rassuré.

 

Le Club informatique avec ses faibles moyens:

 désire s'impliquer dans cette démarche sachant toutefois que dans cet aréopage d'éminentes personnalités il devra être aussi efficace et discret que notre amie la Belette.

André COCHET.

 

Pour adhérer, voici les coordonnées de l'Association.

 

Les "Savoir faire d'Aquitaine".

Petite Tour 2000

1 Terrasse Front du Médoc.

33076 BORDEAUX

Tel: 05 57 57 03 77

Mel: contact@savoir-faire-aquitaine.com

Site: www.savoir-faire-aquitaine.com

 

 

Secteur Pastoral du Langonnais.

Horaires des messes.

4 octobre 2003 Auros St Macaire Langon
11 octobre 2003 Auros Verdelais Langon
18 octobre 2003 Auros St Macaire Langon
25 octobre 2003 Auros Verdelais Langon

Toussaint à 11 h

Auros

Samedi à 18 h.

8 novembre 2003 Auros Verdelais Langon
15 novembre 2003 Auros St Macaire Langon
22 novembre 2003 Auros Verdelais Langon
29 novembre 2003 Auros St Macaire Langon
6 décembre 2003 Auros Verdelais Langon
13 décembre 2003 Auros St Macaire Langon
20 décembre 2003 Auros Verdelais Langon
27 décembre 2003 Auros St Macaire Langon
 

Dimanche à 11 h.

5 octobre 2003 Verdelais Pèlerinage à LOURDES.
12 octobre 2003 Verdelais St Macaire Langon
19 octobre 2003 Verdelais St Macaire Langon
26 octobre 2003 Verdelais St Macaire Langon
2 novembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
9 novembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
16 novembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
23 novembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
30 novembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
7 décembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
14 décembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
21 décembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
28 décembre 2003 Verdelais St Macaire Langon
 

Dimanche à 9 h 30

5 octobre 2003 Pèlerinage à LOURDES.
12 octobre 2003 Bommes Coimères St Pierre d'Aurillac
19 octobre 2003 Brannens Fargues St Germain des Graves
26 octobre 2003 Budos St Loubert St Martin de Sescas
2 novembre 2003 Berthès Roaillan St Maixant
9 novembre 2003 Bieujac  St André du Bois Sauternes
16 novembre 2003 Caudrot Lados St Pierre de Mons
23 novembre 2003 Aillas Ste Foy la Longue Toulenne
30 novembre 2003 Pujols sur Ciron St Pardon Semens
7 décembre 2003 Brouqueyran Mazères Ste Croix du Mont
14 décembre 2003 Castets Pian s/ Garonne Preignac
21 décembre 2003 Bommes Coimères St Pierre d'Aurillac
28 décembre 2003 Brannens Fargues St Germain des Graves

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BUDOS sous la Révolution. 

Article de M. Jean DARTIGOLLES paru dans le Bulletin Municipal de Budos, faisant suite à son ouvrage: 
Une Paroisse du Pays des GRAVES à la fin de l'Ancien Régime.   BUDOS.    1760 - 1789

Cet ouvrage de 484 pages est  disponible sur le site vallee-du-ciron.com .

C'est un témoignage vivant sur cette époque troublée.

( 6ème Partie )

 

Nous sommes au début du printemps de 1793. Nous avons vu que LOUIS XVI a été guillotiné le 21 Janvier précédent; nous sommes donc là au coeur de la Révolution.

Le Citoyen LATAPIE, Maire de la Commune avait démissionné le 21 Décembre 1792, tout en acceptant d'assurer l'intérim de sa fonction jusqu'à la désignation de son successeur.

Mais l'effervescence des derniers mois, tout spécialement depuis l'exécution du Roi, constituait pour lui une dérive qu'il ne maîtrisait plus. Comment tout cela allait-il se terminer ?

Et il ne devait pas être le seul à se poser la question car, en dépit des fortes paroles républicaines que nous avons entendu prononcer à la fin de l'épisode précédent, en dépit des prises de position fermement civiques que pouvait prendre les uns et les autres, force est de constater qu'aucun candidat ne s'était manifesté pour briguer la succession du Maire.

Or, le Citoyen LATAPIE en avait maintenant assez. Le 29 Mars 1793, il va solennellement confirmer sa décision, et, cette fois-ci, va bien se garder de proposer d'assurer le moindre intérim :

" Je soussigné déclare avoir été nommé par la Commune de BUDOS assemblée dans l'église de la susdite paroisse le Dimanche après la St. MARTIIN de l'année 1790 à la place de Maire que j'ai occupée jusqu'à ce jour.

Mon âge et mes infirmités m'empêchent de pouvoir remplir les devoirs qu'exige cette place. J'ai prié les Citoyens Officiers Municipaux et les habitants qui forment la susdite Commune d'accepter ma démission."

 

La situation du Citoyen LATAPIE est assez classique et se retrouve à cette époque là en d'autres Communes rurales.

Pourquoi l'avait-on élu Maire ?

Essentiellement parce qu'il savait lire et écrire et qu'il  était l'un des plus riches propriétaires  du village.

Les  Assemblées  révolutionnaires successives, et tout autant les Départements, et même les Districts, ont  légiféré en toutes matières et réglementé toutes choses à flot continu pendant des années.

Les Municipalités étaient littéralement submergées de  documents écrits de toutes sortes. Il arrivait alors en un mois à BUDOS autant de directives que l'on en recevait autrefois en dix ans d'administration royale ... Et ceux qui étaient capables de les lire n'étaient pas tellement nombreux, disons pas tout à fait dix pour  cent de la population masculine.

C'est ainsi que, tout naturellement, ce sont les Notables de l'Ancien Régime (Notaires, Magistrats, Officiers de Santé, gros propriétaires, etc...) qui furent élus responsables des affaires  municipales.

La Révolution, en ses débuts, et pendant pas mal de temps, a été conduite par les bourgeois locaux et non point par le peuple des paysans.

Par la suite, et aux environs de 1793, ces nouveaux responsables politiques se sont partagés entre ceux qui ont trouvé que les choses allaient trop loin, tel le Citoyen LATAPIE, et ceux qui au contraire, ont radicalisé leurs positions pour devenir des extrémistes et quelquefois jusqu'à une dangereuse démesure.

 

Et si le Citoyen LATAPIE était si pressé de confirmer sa démission, c'est parce qu'il ressentait l'imminence d'une opération qu'il ne tenait pas à cautionner.

 

En effet, deux jours plus tard, on arrêtait l'Abbé SAINT- BLANCARD.

Cet Abbé, nous l'avons déjà rencontré. C'était un enfant du pays, bien connu de tous à BUDOS et qui avait même été vicaire de la Paroisse pendant pas mal de temps. Souvenons nous qu'à l'automne de 1792, il avait obtenu, pour raison médicales, l'autorisation de se retirer dans sa famille à MEDOUC.

 

C'est bien ce qu'il avait fait, et désormais, il déroulait des jours sans histoire au milieu des siens sans plus faire parler de lui. Mais ....

Mais ... Avez-vous vu ces ombres furtives qui se glissent sur les chemins par les nuits sans lune en direction de MEDOUC ?

On vient des MOULIES, de PAULIN, en passant par les bois, du BOURG aussi , en faisant un grand détour pour se donner l'air de prendre une autre direction, bref, d'un peu partout, en marchant dans la nuit au hasard des chemins car toute lanterne était proscrite.

Partout, on enfermait les chiens car le silence était de rigueur. Parvenues à MEDOUC, ces ombres s'engouffraient par la porte entr'ouverte d'un chai.

Et là, l'Abbé SAINT-BLANCARD, à jour et heures convenus, à la lueur vacillant d'une chandelle, célébrait une Messe basse, si basse qu'elle était à peine chuchotée. BUDOS était revenu au temps des catacombes.

On se retirait ensuite aussi discrètement que l'on était venu. A tort ou à raison, les Budossais avaient beaucoup plus confiance dans la valeur de cette Messe que dans celle, tout à fait officielle que le Curé LATAPIE célébrait dans l'église.

Que pouvait-on y faire ?

Les rendez-vous se transmettaient de bouche à oreilles. Or, parmi ces oreilles, il s'en trouva au moins une qui ne fut pas à la hauteur de la confiance qu'on lui avait faite. La chose s'ébruita.

L'Abbé SAINT-BLANCARD fut dénoncé.

Sur les ordres du Citoyen BRETHON, les Gendarmes Nationaux venus de LANGON vinrent l'arrêter à  MEDOUC le 31 Mars 1793. Ils le conduisirent devant le Juge de Paix de cette Ville, lequel dressa un Procès Verbal de sa comparution en retenant à son encontre toute une série d'infractions au statut des prêtres insermentés.

Le prévenu ne manqua pas de faire état du certificat médical que lui avait délivré l'Officier de Santé de BARSAC en 1792, et de l'autorisation qu'il avait reçue de se retirer dans sa famille. Peine perdue, le Juge :

"Arrête que le Sieur SAINT-BLANCARD sera transféré à la Municipalité de BORDEAUX qui le tiendra en état d'arrestation jusqu'à ce que la Maison de Sûreté soit préparée dans laquelle il sera enfermé."

C'est bien ce qui fut fait. Au mois de Décembre de la même année 1793, il devait être transféré dans la Citadelle de BLAYE où il demeura jusqu'au printemps suivant. Sa santé déclinant toujours, le Président du Département du BEC d'AMBES ( autrement dit le Préfet de la GIRONDE) , le 18 Germinal An III (7 Avril 1795) :

" permet au Citoyen SAINT-BLANCARD, prêtre reclus à la Citadelle de BLAYE, de se rendre à la Maison des ci-devant Orphelines de BORDEAUX."

C'est là que peu après, il devait finir ses jours.

 

      Tout ceci nous a conduit un peu trop loin. Il nous faut donc revenir sans tarder à BUDOS au printemps de 1793 où d'autres affaires nous attendent.

Une, en particulier, plutôt désagréable. Au cours de l'hiver précédent, une forte crue du CIRON avait emporté le Pont d'AULAN.

C'était un lourd handicap pour la vie locale, les Budossais s'en plaignaient beaucoup (le Pont de la MADELEINE ne sera construit que bien plus tard).

De son côté, le meunier du moulin de FONBANNE faisait littéralement le siège de la Municipalité pour obtenir le rétablissement de ce Pont

" depuis que le Pont a été enlevé, ...il a perdu les moutures de BOMMES et de SAUTERNES qui forment ensemble plus de la moitié de ses (pratiques )..."

Mais la Commune ne disposait d'aucune ressource à l'effet de cette reconstruction. Autrefois, les choses étaient beaucoup plus simples.

Les Seigneurs avaient construit ce Pont et l'entretenaient en tant que de besoin; et de plus, ce qui ne gâtait rien, il y avait belle lurette que l'on n'acquittait plus de péage pour l'emprunter.

Reconnaissons qu'il était difficile d'admettre que la situation fût moins bonne sous la République qu'elle ne l'était au temps des ci devant Seigneurs.

C'est pourtant ce que quelques mauvais esprits commençaient à murmurer et cela faisait vraiment désordre .... Que faire ?

Finalement, le 19 Mai 1793, le Conseil décida de couper dans les domaines placés sous séquestre du Baron émigre les quatre chênes et les pins nécessaires à la reconstruction de l'ouvrage. Quant au coût de la main d'oeuvre, on décida de le laisser . . . à la charge du meunier de FONBANNE.

Après tout, c'était bien lui qui avait manifesté l'intérêt le plus direct et le plus immédiat pour cette reconstruction. Dire que cette solution le fit sauter de joie serait certainement beaucoup trop dire. C'est pourtant bien comme cela que fut réglée l'affaire.

 

Nous découvrirons dans une  prochaine chronique comment BUDOS, en dépit de ses modestes moyens, participa à l'effort de guerre et à l'équipement des "Soldats de l'An II."

( à suivre )

On est pas riche, il faut faire feu de tout bois.

Vide Grenier  de la fête de la  St PEY.

 Afin de pouvoir répéter cette opération l’an prochain, dès maintenant nous récupérons tout ce que vous voudrez bien nous donner: livres, jouets, bibelots, vaisselle, meubles, disques, linge, vêtements, outillage, matèriels divers, etc…. 
Nous pouvons débarrasser caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. Merci de le faire savoir autour de vous. Avant de jeter n’hésitez pas à contacter.

au   05 56 76 61 98         Christian FLAGES, président du club,
au   05 56 76 63 12         André COCHET, trésorier,
au   05 56 76 61 81         Christian de LOS ANGELES, membre du club en charge du stand ou tout autre membre du club.
                                        Vous pouvez aussi nous joindre par E-mail aux adresses mentionnées ci-dessous.
 

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