NOUVELLES
de la
Vallée du CIRON.

Mustil

Les visons,  mascottes de la Vallée du Ciron.

Mustelle

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Courrier électronique occasionnel
Édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron
33210 (Gironde) (France)
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Adressé aux abonnés:   (232)                   N° 89 du 29 octobre  2003.
Sommaire: Conférence.
Les aloses et les Lamproies.
Bal Gascon.
L'Intercommunalité.
Un problème de Gascon.
L'église de Léogeats.
Budos sous la Révolution.
Vide-grenier.

Note: Les textes en bleu-souligné donnent accès à des pages Web. Cliquer dessus.

Accès aux connaissances. 

Conférence: 

QUAFORUM
 Conférences/Diaporamas/débats Grand Public:

 Rives d'Arcins, à Bégles, en bord de Garonne, 
derrière le Centre commercial Rives d'Arcins 

tous les jeudi soir de 18h30 à 20h -

ENTREE LIBRE -

Le 30 octobre

" Bastides de rivières : 
Guyenne et Gascogne sur la voie océane "
 

par

- Jacques DELMAS, 
Docteur es sciences, ex-directeur de recherches INRA.

" Les villes neuves du Moyen-âge XIII° et XIV° siècles construites dans le sud-Ouest, furent essentiellement des structures économiques contribuant à la mise en valeur des régions concernées et participant largement aux échanges avec l'Europe par la voie maritime, grâce aux fleuves et rivières au bord desquels maintes de ces bastides furent établies. .

- Eric Veyssy Directeur / Médiateur Scientifique OCEAN,rue Sarrette 33 800 BORDEAUX 
- Médiation des Sciences et de l'histoire des Environnements 
- Tel/fax : 05 56 49 34 77 - Portable : 06 23 37 29 26 
- Internet :
http://www.ocean.asso.fr 
- From:
"asso.ocean" asso.ocean@wanadoo.fr

Pour mieux connaître notre environnement.

Les aloses et les lamproies
                      du bassin de la Garonne"

 

Le groupe de pilotage "migrateurs Garonne" (constitué par le CSP, l'Agence de l'Eau Adour-Garonne, les DIREN Midi-Pyrénées et Aquitaine, EDF, les pêcheurs professionnels et l'Association MI.GA.DO. : MIgrateurs GAronne DOrdogne) a mis en place une étude de synthèse des connaissances sur 4 espèces migratrices que l'on rencontre dans le bassin de la Garonne ; il s'agit de :

- la grande alose
- l'alose feinte
- la lamproie marine 
- la lamproie fluviatile.

 Cette étude s'intègre dans le programme de restauration des poissons migrateurs, entrepris pour le saumon atlantique il y a une quinzaine d'années et qui s'élargit progressivement aux autres espèces migratrices présentes sur le bassin de la Garonne. 

Il s'agit de faire un point des connaissances actuelles pour envisager ,dans les années à venir, des programmes de gestion concernant ces 4 espèces patrimoniales.

Nous recherchons toutes les informations susceptibles d'amener de l'eau à notre moulin .... des données anciennes de présence de ces espèces (avant la construction de certains barrages) des données de pêche, des témoignages, des photos anciennes ... ou des observations plus récentes (sur des sites de fraie par exemple) !

Par avance, merci pour l'aide que vous pouvez nous apporter.

Anne SOULARD
Association MI.GA.DO.
35, Avenue de la Marqueille
31650    Saint Orens de Gameville

Mail: migado.garonne@wanadoo.fr

Et si on allait danser.

Bal gascon.

 

Un bal gascon est organisé par l'association sportive de Noaillan

 salle des fêtes de Noaillan 

samedi 8 novembre à 21h

 animé par les Tortues Véloces.


Domo de PINOS.

Notre avenir se prépare, soyons attentifs.

L’INTERCOMMUNALITE EN QUESTION.

  

SOIREE D’INFORMATIONS ET DE REFLEXIONS

 Vendredi 7 novembre 2003 à 20 heures 30

 

Salle Saint Jean, 10 boulevard François Mauriac face au Lycée Jean Moulin (Langon)

 avec la participation de 

DUSSAUT Bernard

Sénateur Maire de Monségur

 Il nous présentera l’intercommunalité dans le département de la Gironde. 
Suite à cette intervention, trois élus locaux raconteront leurs expériences dans la genèse de différentes communautés de communes.

 Le débat sera animé par M. Pierre GUIGNARD, ancien président de la M.S.A.

           Les communes se regroupent volontairement en de nouvelles entités territoriales : les communauté de communes. 

Ce processus entraîne un transfert de nombreuses compétences. Le paysage politique français est  bouleversé par cette évolution en profondeur.  

Dans notre région, plusieurs communautés de communes existent ou se mettent en place.

Lors d’une soirée d’échange, la question de l’intercommunalité sera abordée sous plusieurs angles :

 - Les enjeux et les freins.

 - Les avantages et les inconvénients

 - Un regard sur la nouvelle ruralité

 - Les valeurs chrétiennes.

Alexis Ducousso 

Courrier reçu de Tederic MERGER. Il anime un groupe discussion sur le Gascon.
http://groups.yahoo.com/group/Gasconha-doman
Ainsi que plusieurs sites dédiés à l'Occitan et aux autres langues d'Oc. 

Problèmes de Gascons.....

Adishatz !

Eric Astié qu'a escrit :
Lo ccitan o lo gascon ? N'i a qui se pausan questions de las qui engüeishan...
Soi pas vertadierament engüeishat per la question, mès totun...

Je ne suis pas vraiment angoissé par la question occitan/gascon, et voudrais même éviter que toutes nos énergies s'y brûlassent...

Mès totun, mais pourtant...

Pendant longtemps, les choses étaient en ordre pour moi : j'adhérais au modèle "occitan langue non unifiée dont les dialectes sont le languedocien, le gascon, le nord-occitan, etc...".

A force d'observer les réactions des gens sur ces questions de
dénomination, et aussi par des expériences personnelles, le doute s'est
introduit en moi :-)

Voici en vrac quelques constatations :

- La plupart des gens ne sont pas habitués à concevoir une langue aussi variable que l'occitan si on y inclut le gascon, le limousin, etc...

- Il n'y a pas d'intercompréhension immédiate entre un locuteur gascon, et un locuteur auvergnat, provençal, et même languedocien.
Entre "Quin hès ?" et "Cossi fas ?" ("comment tu fais", respectivement en gascon et en languedocien), il y a quand même une différence. Et tout est plus ou moins comme ça... 

Lexique différent, conjugaison différente, tournures différentes...


Je suis en désaccord avec ce qu'a dit Domergue sur la similitude des
lexiques gascon et occitan en général : il me semble au contraire que la
grande majorité des mots ont une forme différente (même si voisine) en gascon et en languedocien, par exemple. Déjà qu'à l'intérieur du domaine gascon, il y a pas mal de différences...

- Certains éditeurs (sur papier ou sur le web) confondent occitan et
languedocien, tout en considérant que la Gascogne fait partie du domaine occitan.
Sur le web, je pense notamment au dictionnaire "occitan" en ligne Sabaud (hélas, il n'est plus en ligne en ce moment) qui ignore totalement, il m'a semblé, les formes de mots non languedociennes : conséquence, la recherche des mots gascons courants "ostau",  "casau", "hèsta", n'y aboutit pas.
Frustrant pour un gasconophone à qui on vient de dire que sa langue, c'est de l'occitan ! *

- Un éditeur (Princi Néguer) regroupe tous ce qui n'est pas gascon sous le terme occitan, met le gascon à part, et regroupe l'occitan, le gascon, et le catalan dans l'ensemble occitano-roman. J'y vois la réaction au
comportement précédent : à force de voir l'occitan assimilé au
languedocien, on ne peut plus considérer le gascon comme occitan.

- En cohérence avec tout ce qui précède, je vois des nouveaux qui viennent à un atelier d'occitan à Bordeaux (on y fait principalement du gascon) et qui, dans l'enthousiasme du néophyte, vont à la librairie Mollat acheter un assimil occitan qui n'a qu'une leçon (sur 23 ?) consacrée au gascon, ou le livre "Parli occitan" de Princi Neguer. 

Ils sont étonnés de ne rien y retrouver de ce qu'ils entendent à l'atelier, et il faut leur expliquer que les livres qu'ils ont acheté ne leur serviront pas directement, parce qu'ils traitent de l'occitan languedocien et non du gascon...

Je suis curieux de savoir comment la nouvelle méthode "òc-ben", dont a parlé Eric, va résoudre le problème. Le fait qu'elle comporte un CD par "dialecte" est a priori encourageant.

Après mûre réflexion, je crois qu'il vaudrait mieux clarifier les choses en élevant au rang de "langue" le gascon, le languedocien, le provençal, le limousin, etc... (que l'occitanisme a, jusqu'à présent, considéré comme des dialectes de l'occitan) et en considérant l'occitan comme un regroupement de ces langues.

On ne parlerait plus alors de langue occitane, mais de langueS occitaneS. Etudier l'occitan serait étudier les caractéristiques communes à ces langues.

La recherche de néologismes pourrait se faire dans le cadre de l'occitan, avec adaptation, si nécessaire, aux différentes langues de l'ensemble occitan.

Quant à la graphie, je persiste à penser que le gascon peut utiliser sans dommage la graphie occitane normalisée.

@ mei !


*En fait, le gasconophone moyen cherchera "ostaou",  "casaou", "hesto" ou "heste". Au problème de la non prise en compte du gascon, s'ajoute celui de la non prise en compte de l'ignorance générale de la graphie normalisée occitane.
Deux problèmes que le lexique gascon de Gasconha.com tente de résoudre (
http://mots.gasconha.com ), avec les moyens du bord.

Tederic Merger
http://www.gasconha.com
http://gaskoi.gasconha.com
http://prenoms.occitans.free.fr
http://groups.yahoo.com/group/Gasconha-doman

http://www.gasconha.com

Les informations ci-dessous demandent confirmation, en particulier pour les dates.

L'église de LEOGEATS.

Nous apprenons avec plaisir par la presse que l'église de Léogeats sera restaurée.

L'église Saint Christophe est une église fortifiée dont la construction remonte au XIIIème siècle.

Elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, ainsi qu'une partie de son mobilier.

Elle abrite en particulier la plus ancienne cloche de la région (1654), on sait que les cloches furent fondues à la révolution, celle-ci de petite taille a put être y soustraite.

Elle abrite aussi une Vierge assise du premier quart du XIVème siècle en bois sculpté. Elle porte des traces d'immersion. Elle aussi a du être soustraite aux exactions lors des guerres de religion de 1570 et pendant le période révolutionnaire, pour parvenir jusqu'à nous. Elle aurait séjourné sous les eaux du vieux château fort.

Cette église était connue sous le nom de Notre Dame de Fargues au XIIème siècle.

Paru dans Sud-Ouest des 20 septembre et 9 octobre 2003.

Ces textes sur la révolution à BUDOS, de Jean DARTIGOLLES,  sont disponibles sur disquette.
Il y a actuellement 10 chapitres.

BUDOS sous la Révolution. 

Article de M. Jean DARTIGOLLES paru dans le Bulletin Municipal de Budos, faisant suite à son ouvrage: 
Une Paroisse du Pays des GRAVES à la fin de l'Ancien Régime.   BUDOS.    1760 - 1789

Cet ouvrage de 484 pages est  disponible sur le site http://www.vallee-du-ciron.com .

C'est un témoignage vivant sur cette époque troublée.

( 8ème Partie )

A la fin du précédent épisode, nous avions laissé, en mal de recrutement, les quatre jeunes soldats Budossais équipés par la Commune. Non sans mal, il finiront par trouver le chemin des frontières.

Dans le même temps, BUDOS allait se distinguer en prenant des initiatives quant à la culture de la pomme de terre. Certes, elle était déjà connue dans la région. Connue, oui, mais pas encore développée.

C'est Monsieur BOURIOT, Subdélégué (une sorte de Sous Préfet) de BAZAS qui, une trentaine d'années auparavant, en avait engagé la culture dans ce qui, par la suite, allait devenir le Sud Gironde.

Il avait fait venir d'IRLANDE à cet effet un bateau chargé de 70 barriques de semence. Dans un temps où la navigation de haute mer parvenait jusqu'à LANGON (ce qui ne sera plus possible après la construction du Pont de Pierre de BORDEAUX en 1823), ce bateau était venu directement accoster à ce Port à la fin Avril 1769.

Ces pommes de terre avaient été distribuées dans 52 paroisses, et Monsieur BOURIOT avait demandé à l'Evêque de BAZAS de lui prêter le concours de ses Curés pour instruire les paysans locaux du haut de leur chaire, sur la façon de planter ces tubercules, de les cultiver, de les récolter et de les consommer.

Ce qui fut fait. Jusqu'à la récolte, tout alla pour le mieux, mais en aucun cas, personne ne voulut en manger. Tout au plus les plus hardis osèrent en donner à leurs porcs qui s'en accommodèrent fort bien.

L'affaire en était resté là, encore que ceux qui avaient poursuivi l'expérience furent bien aise d'en retrouver l'usage lors de la famine qui sévit pendant le grand hiver de 1788/89.

Fort de cette expérience. le Gouvernement aurait bien voulu en relancer la production. et surtout la consommation. Message reçu à BUDOS.

Le 22 Mai 1793, le Citoyen LATAPIE, Curé Constitutionnel que nous avons déjà rencontré, se présenta devant le Conseil Municipal pour lui expliquer comment il avait fait défricher une terre inculte :

" qu'il a ensemencée en patates ainsy qu'une autre pièce non cultivée, de même que les allées de son jardin pour ne point laisser de terre sans culture dans un moment où la rareté des subsistances oblige tous les Citoyens."

Et il convia tous le Officiers Municipaux à se transporter sur les lieux afin de constater la réalisation de ses travaux. Mais Pierre BEDOURET qui avait également ensemencé une autre pièce à PINGOY, ne voulut pas être, en reste et se présenta, lui aussi, au Conseil pour lui faire la même demande. Ils furent entendus tous les deux et les Conseillers se déplacèrent sur le terrain où ils dressèrent un Procès Verbal de leurs constatations.

Ce document nous a été conservé, il se trouve encore dans les archives de la Mairie. BUDOS avait joué là un rôle de précurseur car ce n'est que le 17 Brumaire suivant (8 Novembre 1793), qu'un Arrêté des Administrateurs du District encouragea la culture et la consommation des pommes de terre.

Pour la culture, pourquoi pas ? Mais pour la consommation, ce fut toute autre chose ... Il fallut encore attendre quelques dizaines d'années pour qu'elle s'implante vraiment dans l'arsenal alimentaire de nos campagnes.

Au cours du même mois de Mai 1793, on commença à parler sérieusement du nouveau système métrique. Certes, il n'entrera en vigueur que beaucoup plus tard, avec la Loi du Premier Vendémiaire An IV (23 Septembre 1795). Mais ceux qui suivaient l'actualité avaient déjà une idée de ce qu'il allait être. A tel point que le Conseil Municipal de BUDOS n'attendit pas davantage pour se lancer dans de savants calculs pour traduire les mesures traditionnelles de la Commune dans le nouveau système.

Le résultat de ce travail figure en première page du grand Registre des Délibérations du Conseil conservé dans les archives de la Mairie. Il était en effet urgent de mettre de l'ordre dans les poids et mesures que l'on utilisait; leur complexité constituait un redoutable casse-tête.

Pourrait-on imaginer de nos jours qu'un kilo, un litre ou un mètre n'ait pas la même valeur à BUDOS qu'à BALIZAC ou à SAUTERNES ?

Cela nous paraîtrait, à juste titre, inimaginable. C'était pourtant un fondement de la vie quotidienne de nos Ancêtres, et la chose durait depuis des siècles ...

Le "pied" de BUDOS valait 35cm,42, tout comme celui de LANDIRAS, de PODENSAC et de BARSAC. Mais celui de LANGON valait 34cm,18 et celui de BAZAS 35cm,19. Allez savoir pourquoi ...

Les subdivisions de ce pied étaient le "pouce" (2cm,707 à BUDOS) et la "ligne" (Ocm,225 à BUDOS).

Pour ne rien arranger il y avait à BUDOS 13 pouces et une ligne dans un pied, tandis qu'à LANGON il n'y en avait que 12 5/8ème dans le pied local ... ! Par contre, il y avait à peu près partout 12 lignes dans un pouce.

Essayons d'imaginer les calculs d'un Budossais qui aurait voulu par exemple se faire fabriquer un table de 35 pieds carrés chez un menuisier de LANGON, chacun devant convertir son calcul dans la mesure de l'autre ...

Et pour corser l'affaire, n'oublions pas que dans neuf cas sur dix, ces braves gens ne savaient ni lire ni écrire, mais ils savaient compter, et bien compter, ils nous en ont laissé maintes preuves.

Les mesures agraires étaient encore plus complexes. L'unité de base était le "journal". Cette unité portait le même nom dans toutes les Communes avoisinantes, mais recouvrait des situations bien différentes.

A BUDOS, le Journal valait 35 ares, 01, à BARSAC 31 ares, 45, à BOMMES 51 ares,07 et à SAUTERNES 60 ares,78, et nous pourrions poursuivre ainsi longtemps cette énumération.

Comment donc se comprendre sinon en précisant toujours, dans chaque transaction, "mesure de BUDOS" ou "mesure de BARSAC', etc ... etc ...

On retrouvait des situations tout aussi effarantes en matière de mesures de grains, de liquides, etc ...

C'est pour cela que dès l'annonce des nouvelles mesures, le Conseil Municipal de BUDOS mit tant d'empressement à traduire les anciennes unités locales dans le nouveau système. Il fut ainsi convenu que le Journal de BUDOS, traditionnellement subdivisé en 45 "règes" représenterait 35 ares,01. que chaque rège qui était jusque là constituée de " 90 pas", mesurerait désormais 79m,65 et que le pas dont la valeur était jusque là fixée à " 2 pieds 8 pouces 8 lignes ½ serait désormais de Om,885.

Bel empressement, certes, et combien justifié, mais de la Municipalité seulement car les Budossais eux-mêmes furent beaucoup plus réticents lorsque l'heure fut venue d'appliquer les nouvelles dispositions.

Longtemps, très longtemps encore, ils continuèrent à utiliser les anciennes mesures auxquelles ils étaient habitués. Quelques témoins, aujourd'hui disparus, racontaient encore il n'y a guère, comment l'usage de certaines d'entre elles s'était maintenu jusque dans les années 1920 et même au-delà.

Pourquoi vendait-on le foin au "quintal" de 50 kg ?

Pourquoi vendait-on la bruyère "au pilot" ?

Pourquoi coupait-on le bois de faissonnat à l m,46 ? et tant d'autres survivances, (la "livre" par exemple) qui ont traversé gaillardement les siècles.

Ne nous en étonnons pas. Gageons qu'au temps de l'Euro on parlera encore longtemps de Francs. N'oublions pas en effet que le "sou" a perdu toute existence légale en FRANCE depuis sa suppression le 7 Décembre 1793 et qu'il a pourtant fallu attendre l'inflation de l'après-guerre pour que, dans les années 1946/47 on cesse de parler des pièces de 20, de 40 ou de 100 sous ...

Alors ?

( à suivre )

On est pas riche, il faut faire feu de tout bois et ça marche.....!

Vide Grenier  de la fête de la  St PEY.

 Afin de pouvoir répéter cette opération l’an prochain, dès maintenant nous récupérons tout ce que vous voudrez bien nous donner: livres, jouets, bibelots, vaisselle, meubles, disques, linge, vêtements, outillage, matèriels divers, etc…. 
Nous pouvons débarrasser caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. Merci de le faire savoir autour de vous. Avant de jeter n’hésitez pas à contacter.

au   05 56 76 61 98         Christian FLAGES, président du club,
au   05 56 76 63 12         André COCHET, trésorier,
au   05 56 76 61 81         Christian de LOS ANGELES, membre du club en charge du stand.
Vous pouvez aussi nous joindre par E-mail aux adresses ci-dessous.

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
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