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NOUVELLES
de la Vallée du CIRON. |
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Mustil |
Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
Mustelle |
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Les visons, mascottes de la Vallée du Ciron. |
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| Sommaire: | Ouvrage
sur BARSAC. Nouvelles de Vallee du Ciron.com Les conférences du Ciron. Rectif sur le Bazadais. |
Conférence à Bazas: Les Bourriot. La Vierge aux yeux rouges. La légende du nom de Barsac. Vide grenier. |
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Ecrire sur la
terre natale, | |
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Ouvrage
sur BARSAC. Un ancien document découvert par un de nos Adhérents date de 1946, comprenant 130 pages, édité par le Syndicat Viticole de Barsac. Il s'agit des tomes I st II de " Visages de BARSAC" En
prose et en vers, en chiffres et en musique Quelques textes ou poèmes publiés dans cet ouvrage et retrouvés par hasard sont sur Internet depuis 1998 et dont l'auteur signant de ses seules initiales nous était inconnu. Pour voir la Complainte de Ciron: Iciclic Notre projet est d'installer sur notre site tous les textes intéressants contenus dans cet ouvrage dont voici un premier exemple: Coupe symbolique du Taste-vin Barsacais BARSAC belle et opulente contrée, | |
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Il doit bien y avoir d'autres auteurs pour d'autres villages...! | |
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Nouvelles de Vallée du Ciron.com La mise à jour des infos sur les 45 communes de la Vallée du Ciron, présentes sur le site, se met en place progressivement. Pour voir : Allons, Lartigue et Preignac, Marimbault, Bommes, elles ont pris un coup de jeune. De nombreuses communes n'ont pas répondu à la demande de renseignements, c'est dommage pour la présentation correcte de notre Vallée. Celle-ci comprend, outre les infos administratives, plus de mille adresses d'activités recensées dans ces communes. Associations ou entreprises classées ensuite dans des annuaires par professions. C'est une mine de renseignements à disposition, il vaudrait mieux qu'ils soient le plus exacts possibles. En lisant ce courriel, les habitants de notre Vallée pourraient, éventuellement, se proposer pour intervenir auprès des mairies insouciantes. Ce n'est qu'une toute petite intervention... ! Elle nous rendrait bien service, ainsi qu'a tous ceux qui voudront utiliser les références des professionnels ou Président d'associations.. Un
petit mel S.V.P. | |
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Les conférences du Ciron.
RENSEIGNEMENT:
MAIRIE DE BOMMES (33210) TEL/FAX : 05 56 76 60 68 ou 05 56 76 61 82 le soir.
PARTICIPATION.: 3 EUROS. ENTREE GRATUITE POUR LES SCOLAIRES ETUDIANTS, RETRAITES ET SANS EMPLOI. | |
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A la suite de
l'annonce de la mise sur le site des extraits du FERET concernant les
communes du Bazadais, | |
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Précisions sur le BAZADAIS.
Une
petite rectif concernant la mise sur site de l'ouvrage de E. FERET : Cet arrondissement ne fait pas exactement suite à l'ancien évêché (organisation religieuse) de Bazas, mais à la subdélégation de l'Intendant de la province de Guyenne dont Bazas était le siège, avant la Révolution (Organisation administrative). Cela explique par exemple que Saint-Symphorien est traité dans le FERET alors qu'elle ne fait pas partie de l'évêché de Bazas. Les Bourriot sont la famille Bazadaise ayant occupé cette charge dans la plus grande partie du XVIIIème siècle. Le territoire de l'ancien évêché se retrouve sur deux arrondissements : celui de Bazas (tel que le décrit la brochure du FERET) et aussi La Réole, dans lequel on retrouve les territoires de l'Entre-Deux-Mers oriental de l'évêché de Bazas. Ces arrondissements liés à la mise en place des départements lors de la Révolution et à celle des préfets par Napoléon Premier ont existé jusqu'en 1926. Cette année là, le gouvernement POINCARE, dans sa politique de redressement du Franc, applique un budget d'économie, en particulier en diminuant le nombre de sous préfectures. C'est ainsi que Bazas et la Réole disparaissent (comme chef lieu d'arrondissement) et que la sous-Préfecture s'installe à Langon qui s'empresse, la perfide!!!! ) d'offrir l 'actuel bâtiment préfectoral à l'administration. Dommage pour les deux petites villes, mais outre les économies réalisées par l'Etat, ce déplacement valide, aussi, l'évolution économique et surtout des transports favorable à Langon. (Cela n'a pas changé.) A Bazas, la sous-préfecture était installée à l'emplacement de l'ancien palais épiscopal sur les ruines duquel en 1841, l'architecte départemental THIAC construit le bâtiment néo-classique actuel . A l'arrière on construit les prisons départementales où l'on peut encore voir les traces des cellules. Ce bâtiment est aujourd'hui le presbytère. Quant à l'évêché de Bazas, il continue d'exister "symboliquement". Supprimé en 1790, il renaît en 1936, date à laquelle les évêques de Bordeaux prennent pour titre officiel : Archevêque de Bordeaux, évêque de BAZAS. Jean Etienne BIBES. | |
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Conférence à
BAZAS.
"Les Bourriot" Une famille au service de l'Intendant et du BAZADAIS. Par Karine FORTINON Professeur, Académie de Montpellier. Salle G. Bonnac à l'Hôtel de Ville de Bazas à 15 h 15. le Dimanche 7 mars 2004. | |
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Il y a encore des places.......! | |
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La Vierge aux yeux rouges.
Une
histoire... et un peu d'histoire La
Vierge aux yeux rouges,(ou
Notre-Dame sans peur) La
peur. Et là viennent en foule et
sous d'égales lois, La
peur (en grec Phobos, en latin Pavor) avait en plusieurs lieux des autels
et des statues. Cette divinité allégorique fut honorée des Grecs et des
romains et sans doute aussi des Gaulois, car les divinités, changeant de
noms, se perpétuent à travers les âges et les pays. Un
vieillard qui devait mourir presque centenaire, me disait un jour : «
Etant jeune apprenti, et travaillant dans une maison du bourg qui était
autrefois le presbytère, je découvris l'entrée d'un tunnel qui se
dirigeait sous la route nationale ; mais je ne pus aller bien loin à
cause des éboulements. J'ai
appris depuis, que ce tunnel conduisait à une crypte gallo-romaine située
sous l'église, et que dans cette crypte se trouvait une Vierge, aux yeux
rouges, dite Notre Dame sans peur. On
lui présentait les enfants pour les guérir de la peur, et sans doute
pour en faire des guerriers braves et courageux. Ce
tunnel existe encore aujourd'hui, et il serait à désirer que l'on essayât
de le parcourir pour accéder à la crypte gallo-romaine, qui a dû
être recouverte, et, peut-être détruite en partie lorsque l'on a
remanié et rebâti l'église notamment après l'incendie de 1843. En 1792, la Patrie étant en danger, 30 volontaires Barsacais à l'appel du Commandant Boireau, après avoir entendu la messe, jurèrent du vaincre ou de mourir. Ils
ne se doutaient peut-être pas que sous leurs pas, la crypte gallo-romaine
faisait écho à leurs serments, et que la Vierge aux yeux rouges leur
accordait, a leur insu, la même protection mystique que celle qu'elle
avait accordée jadis et bien des fois à tous nos aïeux partant pour la
guerre. QUATRAIN. SANS
PEUR ET SANS REPROCHE Notre
Vierge aux yeux rouges et Bacchus aux yeux noirs,
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La légende du nom de BARSAC. Je
voudrais pouvoir écrire en patois et reproduire la physionomie et les
gestes du vieillard patriarche qui me la conta. En
voici une pale traduction : Cinq
loups avaient dévoré un enfant d'un seigneur gascon. Sachant qu'ils
avaient commis une mauvaise action, et, pour échapper à des poursuites
judiciaires (à cette époque il y avait des tribunaux pour juger les
animaux malfaisants) ils s'enfuirent et le seigneur les poursuivit à
bride abattue. Ce
seigneur arriva ainsi a un lieu dit aujourd'hui Barsac, précédant de
quelques minutes les loups qui fuyaient dans cette direction. Lorsque
les loups débouchèrent au galop dans le sentier étroit d'un bois, on
leur tendit un sac où ils vinrent se prendre et c'est alors que le
seigneur cria à ses gens: BARRE
LOU SAC (Fermez le
sac), d'où, par contraction, dérive BARSAC Les
loups étant pris, ils furent ramenés vers le château du seigneur et ils
furent obligés de demander pardon à la noble Dame, puis ils furent
condamnés à avoir la tête tranchée. Le
lieu où se fit cette cérémonie fut appelé Cinq Pardons (aujourd'hui
Saint Pardon). Mais
Clio n'aime pas les légendes, elle cherche à les reléguer au Musée des
Antiques, et notre historien Jullian voudra nous faire croire que Barsac
tire tout simplement son nom d'un consul romain BARSACUS qui y aurait
construit une villa. Je
crois que notre légende est plus vraie que son hypothèse et, quant à
nous, nous continuerons de croire à la légende. Note : La formule « barra lou sac » fait penser à Harpagon qui vient de compter ses écus ; mais nous serions aux antipodes de la vérité si l'on pensait que les gens de chez nous gardent avaricieusement leurs trésors car on sait très bien que les BARSAC sont expédiés aux quatre coins du monde. P.G. | |
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Et
Noé commença à être cultivateur | |
Vide Grenier de la fête de la St PEY.
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Club Informatique de PUJOLS sur
CIRON Foyer Rural 33210 PUJOLS
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