L'informatique c'est comme une flamme,... plus on la partage, plus elle éclaire....Christian Flages.

Qui était Albert Bécus ?

La nouvelle page installée sur le site avec les oeuvres de l'artiste comportait un lien qui ne s'ouvrait pas.

Mille excuses, voici le bon lien : Clicla

Souscription.                           Une belle idée de cadeau pour Noël.

(pour retrouver des racines en ce beau pays.)

Les Conférences du CIRON  de Bommes.

Le Club Informatique de Pujols sur Ciron.

vous présentent le projet d’édition de:
(sortie prévue pour le 15 novembre 2005.)

Un marque page inédit est offert et joint à chaque livre commandé avec la copie de ce courriel. 

Jean Dartigolles est connu dans cette région du Sud-Gironde pour ses conférences sur l'histoire et la vie des gens aux temps passés où sa verve et son érudition, captivent chaque fois ses auditoires, qu'ils soient d'un âge certain et même, aussi,  les enfants des écoles.

Depuis plus de 70 ans, il recherche, recueille, analyse, classe des milliers de documents, archives municipales, archives départementales, actes notariés etc.

Rassemblant ses connaissances sur la génération précédant la Révolution, il a rédigé un ouvrage où il fait découvrir l'évolution des mentalités qui a conduit à ces bouleversements considérables dans la vie de tous les jours.

Il ne traite pas l'histoire, comme généralement cela se fait, en partant des puissants et des événements majeurs mais au contraire en citant les mille comportements des gens, de leurs modes de vie, de leurs espérances, de leurs déboires, de leurs rivalités, etc.

Les bouviers, journaliers, laboureurs, artisans, bourgeois, curés ou seigneurs sont tous acteurs égaux dans leur vie de quotidienne à cette époque.

La plume alerte de l'auteur, son humour, l'exactitude des informations garanties par les sources citées, font de cet ouvrage un livre de référence, d'érudition mais aussi de compréhension de ces gens qui nous ont précédés en ce pays, ceux qui l'ont façonné pour nous le léguer.

Bien que prenant pour exemple Budos et les communes avoisinantes, il peint une situation semblable dans toute notre région où les habitants d'alors était soumis aux mêmes aléas.

Ses amis n'ont pas voulu qu'une telle somme de connaissances disparaisse. Ils ont obtenu le soutien d'un éditeur pour la publication de ce livre et viennent vers vous pour vous le proposer.

Dominique de PINOS  et André COCHET.

Renseignements, commandes et retraits des livres  (souscrits sans frais de port) : 

 André Cochet, Lamagnon,      05 56 76 63 12      33 210 Pujols sur Ciron        ancochet@wanadoo.fr

Editeur :        05 57 24 14 94.          33 420 Camiac et St Denis    editions.entre.deux.mers@wanadoo.fr

Mme de Pinos, 12 Haut-Bommes,     05 56 76 61 82.      33 210 Bommes .     dominique.depinos@free.fr

Commande : ................X 20 Euros = ..............  ou 20 Euros+ port éventuel 5 E= 25 Euros, soit ............Euros

Ci-joint un chèque de: ___________Euros.   à l'ordre de : Editions de l'Entre-deux-Mers ou E2M.

Si l' adresse de réception désirée est différente de celle du chèque, la préciser.

Commandes multiples, se renseigner. Iciclic

BUDOS sous la Révolution.(11ème partie).

Notre dernière chronique s'achevait sur l'évocation de la transformation du Château en prison, et pas seulement en prison locale, car elle recrutait sa clientèle dans toute la contrée de la rive gauche de la GARONNE, de PORTETS à PREIGNAC et autres lieux.

" Clientèle " ?  le mot est insolite, et pourtant ... Chaque prisonnier, ou plutôt sa famille, devait payer à la Commune les frais de sa nourriture, et de son gardiennage. Il était donc bel et bien "pensionnaire", et cette charge pouvait être très lourde pour les siens.

Le 19 Frimaire An II (19 Décembre 1793), la Citoyenne BRUNEIT-VENDIERES écrivait au Citoyen GRELETTI, homme influent qui avait ses entrées au District de CADILLAC dont dépendait BUDOS.

Elle avait quatre enfants et l'un d'eux, ainsi que son mari, avaient été arrêtés; elle était resté seule, en grande difficulté, avec les trois autres :

" Il y a bientôt deux mois, Citoyen, que mon mari et mon fils sont détenus au Château de BUDOS. Vous connaissez la situation malheureuse où ils sont l'un et l'autre, et surtout le Père avec qui on ne peut communiquer que par écrit, comme vous savez..."

Elle avait déjà fait des démarches auprès du District en produisant:

" un certificat du Chirurgien de BUDOS qui atteste que mon mari a une maladie grave qui pourrait le mettre dans un grand danger si on négligeait les remèdes nécessaires à son état (dans) un endroit dénué de tous secours."

Et elle demandait au Citoyen GRELETTI d'intervenir en sa faveur:

 " étant hors d'état ... de payer si longtemps des frais d'emprisonnement."

Il fallait, au demeurant, peu de choses pour se retrouver en prison. Il n'était besoin d'être ni ci-devant Seigneur, ni traître à la Patrie.

Il suffisait d'une dénonciation (parfois anonyme) d'un voisin un peu jaloux pour être déclaré "égoïste" ou "malveillant", et quelquefois les deux réunis, par les Commissaires du District, et se voir taxer d'une lourde amende sans aucun jugement et sans appel possible.

Et si l'on ne pouvait s'acquitter de cette forte somme dans un délai très bref, c'était le déclenchement de la "contrainte par corps", autrement dît la conduite en prison.

Les exemples de ces condamnations sont nombreux dans tous les villages des environs.

C'est ainsi que trois semaines après l'intervention de la Citoyenne BRUNET-VENDIERES que nous venons de voir, le Citoyen DUFORT, pris de court par une décision de ce genre, écrivait aux Représentants du Peuple à BORDEAUX le 19 Nivôse An II (6 Janvier 1794), non point pour leur demander de supprimer l'amende (cela aurait pu, à l'occasion, lui coûter sa tête), mais du moins pour obtenir un délai :

"Le Citoyen DUFORT, Procureur National en l'Administration Forestière, vous expose que le Citoyen son Père vient d'être condamné par le Comité de Surveillance de CADILLAC à une taxe révolutionnaire de 25.000 Livres, attendu, il est dit, son égoïsme et sa malveillance, et cela sans qu'on lui ait fait connaître les inculpations qu'on lui fait et sans l'avoir entendu dans sa défense. Faute de ce paiement, sous trois jours, il doit être conduit au Château de BUDOS jusqu'au paiement"

et il demande un délai de six mois pour vendre les propriétés de la famille, à défaut de pouvoir emprunter pour rassembler cette somme car :

" vous êtes à portée de voir combien les circonstances des temps ont rendu difficiles les moyens d'emprunter..."

Avec l'inflation galopante que l'on connaissait alors, on ne pouvait en effet envisager de trouver quelqu'un pour prêter de l'argent à quiconque.

Quant à vendre des propriétés à un juste prix, ce n'était guère non plus le moment, compte tenu de la profusion de biens nationaux proposée sur le marché immobilier, des biens payables en assignats de papier.

Et le tout, sous un délai de trois jours ... C'était pour les DUFORT une situation bien difficile. Et c'est comme cela que le Château de BUDOS s'alimentait en "clientèle".

Mais on n'y enferme pas que des prisonniers politiques. A quelques semaines de là, le 11 Floréal An II (30 Avril 1794), des habitants de PAULIN surprennent le dénommé PERROY dit LASTONNE, en flagrant délit de vol de quelques cuisses d'oie chez le Citoyen Michel LANTRES.

Ils s'en saisissent, non sans mal et le conduisent, sans ménagement, devant le Maire qui dresse Procès Verbal de l'incident et déclare l'avoir :

"conduit dans la Maison d'Arrêt, (le) ci-devant Château de BUDOS"

d'où il sera d'ailleurs extrait dès le lendemain pour être conduit sous bonne escorte devant le Juge de Paix de LANDIRAS (qui était alors le Chef Lieu du Canton).

On aurait pu croire que ce rôle de prison aurait cessé avec la fin de la Terreur, le 9 Thermidor An II (27 Juillet 1794).

Il n'en est rien. Huit mois plus tard, le 26 Ventôse An III (17 Mars 1795), il y a encore six prisonniers au Château, dont une femme.

A la vérité, les Administrateurs du District de CADILLAC en avait un peu perdu le compte. Aussi, l'Agent National qui le préside écrit-il au Maire de BUDOS pour lui en demander le nombre et la liste, et celui-ci répond :

" ... vous verrez ci-après détaillés les Citoyens qui ont été mis en état d'arrestation dans notre Commune :

les Citoyens BAUDIERE, Père et Fils de la Commune de PREIGNAC

la Citoyenne DUBAC, de PREIGNAC,

le Citoyen SOULE, de PORTETS,

le Citoyen DUCASSE, de PORTETS,

le Citoyen MODERYER, de VIRELADE.

Salut et Fraternité. DUBOURDIEU, Maire."

Tout ceci nous a fait brûler quelques étapes. Il. nous faut reprendre le fil des évènements en fin d'année 1793.

C'est à ce moment-là que le culte catholique avait été purement et simplement interdit. Nous avons déjà vu comment les prêtres dits "réfractaires" avaient été chassés ou arrêtés, le dernier en date, à BUDOS, l'Abbé SAINT BLANCARD, au village de MEDOUC, le 31 Mars précédent.

Mais cette fois-ci, on allait beaucoup plus loin, la religion elle-même était supprimée, et même les prêtres "constitutionnels" n'avaient plus le droit d'exercer leur ministère

L'église fut désaffectée et surtout il fut interdit de sonner la cloche, la seule restante dans le clocher après la réquisition des cloches "superflues".

Cette mesure fut très mal ressentie, aussi bien à BUDOS que dans toutes les autres Communes. Puisqu'il n'y avait plus ni baptême ni mariage à l'église, l'absence de cloche ne se faisait pas trop pressante.

Mais le problème était celui des inhumations que l'on ne pouvait éluder. Enterrer ses Parents sans curé était déjà fort mal vécu, mais les enterrer sans les sonneries de cloche traditionnelles parut à chacun une contrainte insupportable.

Certaines Communes tentèrent de tricher en essayant de passer outre, uniquement pour les obsèques. La réaction des autorités fut brutale. Ces cloches, déclarées "coupables" furent immédiatement descendues et brisées sur place, pour l'exemple.

D'autres, Communes, plus prudentes, demandèrent des autorisations spécifiques, en particulier pour sonner le tocsin qui était bien le seul moyen d'alerte générale en cas d'incendie. Elles essuyèrent un refus catégorique.

Pas plus pour les incendies que pour les enterrements, on ne devrait plus sonner la cloche.

A quelques temps de là, au mois de Mai 1794, le Gouvernement institua par Décret une Religion d'Etat proclamant la Foi de la Nation en l'Etre suprême et en l'immortalité de l'âme, et du même coup, inaugurait des Fêtes de l'Etre Suprême et de la Nature.

Des instructions arrivèrent bientôt pour célébrer ce culte dans l'église désaffectée.

Aucune indication ne nous est parvenue sur l'assiduité des Budossais à ce nouveau culte. Par contre, nous sommes bien renseignés sur les réactions populaires dans plusieurs communes des environs (VILLANDRAUT, NOAILLAN, etc..)

Après deux ou trois séances, partout, on trouva cela très ennuyeux. Il ne s'y prononçait que des discours à la diligence des édiles locaux qui n'étaient pas tellement formés pour ce genre d'activité et qui, au surplus, n'avaient pas grand chose à dire sur un Etre Suprême dont ils ne savaient rien, sinon qu'il fallait le démarquer du Dieu du catéchisme de leur enfance. C'était un peu court.

Au surplus, les braves gens qui venaient là avaient bien souvent accepté de s'ennuyer un peu lorsque le sermon du Curé était un peu long, mais parce que c'était leur Curé ...

Et maintenant, BUDOS s'apprêtait à vivre sous  la Terreur.

 Jean DARTIGOLLES

Conférence sur l'eau.

Mercredi 19 octobre 2005 à 20 H 30 : 

à Pujols-sur-Ciron, 
           Salle des Fêtes.

Organisée par  La SEPANSO et l’Agence de l’Eau Adour-Garonne.

pour l'information et la sensibilisation aux enjeux de la Directive cadre sur l’eau.

Jetons nous à l’eau. 

Donnons notre avis, c’est important. 

La politique de l’eau nous touche dans notre quotidien... Des évènements récents sont là pour nous le rappeler : eau potable, sécheresse,  inondations, pollutions, répartition des coûts. On nous invite à donner notre avis sur la politique à mener dans notre région.Ne laissons pas échapper cette opportunité de nous faire entendre, de participer. Pas besoin d'être un spécialiste.

Nous sommes tous concernés, buveurs d’eau potable, amateurs de baignade en mer ou rivière, promeneurs, agriculteurs, industriels, conchyliculteurs, pêcheurs professionnels ou amateurs, habitants de l’amont et de l’aval...

L’eau est un patrimoine commun qui doit être géré harmonieusement pour le bénéfice de tous les usagers et dans le respect de la ressource et de  l’environnement. Vaste programme.

La prise de conscience, par les pouvoirs publics français, de la nécessité de stopper la dégradation des cours d'eau qui devenaient de véritables égouts a conduit à l'élaboration de lois (1964, 1992).

La qualité de l’eau des rivières et du littoral s’est, incontestablement améliorée. Mais tous les problèmes sont loin d’être résolus et de nouveaux apparaissent, conséquence du développement économique, de l’évolution des modes de vie. 

C’est pourquoi, après les directives nitrates, eaux résiduaires, habitat… le parlement européen a adopté une Directive Cadre de l’Eau (DCE) (adoptée le 22 octobre 2000, mise en application en France par la loi du 21 avril 2004.) qui contraint les états membres à atteindre un "bon état des eaux" dans 10 ans.  (bon état qualitatif, chimique et écologique, et aussi bon état quantitatif), dans une logique de résultats et non de moyens.

Dans une première étape, il fallait faire le point, l’état des lieux. C’est chose faite (2004). A partir de ce document de référence, l’état des eaux 2015, si l’évolution actuelle se poursuivait, a été simulé. 

Le résultat est parlant : un tiers des rivières du bassin Adour-Garonne ne seraient pas en bon état selon les normes européennes, une proportion importante des eaux littorales et estuariennes ne le seraient pas non plus. 

Les facteurs de déclassement qui ont conduit à ces conclusions sont, par ordre décroissant : les pollutions diffuses d’origine principalement agricoles (pesticides et nitrates), les artificialisations du tracé des cours d’eau (seuils, barrages, endiguements...), les pollutions industrielles et les pollutions domestiques. 

Plusieurs  stratégies peuvent être envisagées pour redresser la barre, et c’est là que nous intervenons : pour donner notre opinion, nos préférences. C’est, avec la transparence des coûts, un autre des points forts de la Directive cadre européenne (DCE) : elle impose la consultation et la participation de tous les acteurs de l'eau, notamment du grand public appelé à donner son avis régulièrement dans l'esprit de la convention d'Aarhus2

Cette démarche est parfaitement justifiée car nous allons devoir supporter le coût de cette nouvelle politique de l'eau, coût financier, mais aussi coût en terme de santé et de qualité de vie en particulier. 

Le résultat de cette consultation doit être pris en compte pour  élaborer un programme d’actions, c'est-à-dire réviser, redéfinir,  actualiser le Schéma Directeur de l’Aménagement et de la Gestion de l’Eau  (SDAGE) dans le bassin Adour-Garonne. 

Ce SDAGE, document de planification établi en 1996, fixe pour le bassin les orientations fondamentales de la gestion de l’eau ; il  doit légalement être révisé en fonction des objectifs de la DCE et adopté en 2009.

 Nous serons alors de nouveau consultés avant son adoption (en 2007). La consultation actuelle s'effectue au niveau national mais, pour chacun des 6 bassins hydrologiques français, le Comité de Bassin, avec l'Agence de l'eau qu'il pilote, établit sa propre consultation puisque chaque bassin a ses spécificités.

Rappelons que le bassin Adour-Garonne recouvre les bassins versants de ces deux fleuves et de  leurs affluents, de même que ceux de  la Charente et des fleuves côtiers, et aussi les eaux lacustres, littorales et souterraines du Sud-Ouest. 

Pour mobiliser le public, l’informer, l’aider dans sa réflexion, l’Agence de l’Eau Adour-Garonne a établi un partenariat avec, entre autres, des associations de protection de la nature et de l’environnement sensibilisées à ces problèmes. A ce titre, la  SEPANSO vous incite fortement à participer à cette consultation sur les enjeux de la gestion de l’eau dans notre région.

Quand et comment participer ? Il s’agit de répondre à un questionnaire avant le 2 novembre 2005. Vous avez le choix entre un questionnaire papier ou un questionnaire sur Internet. 

Vous trouverez les questionnaires papier, avec enveloppe prépayée, dans les Préfectures, Sous-préfectures, de nombreuses mairies, la SEPANSO et divers lieux que nous vous indiquerons à la demande. 

Pour le questionnaire sur Internet, il suffit de se connecter sur les sites:

-de l’Agence de l’Eau  (www.eau-adour-garonne.fr) 

-de la SEPANSO (http://perso.wanadoo.fr/federation.sepanso/) 

-de France Nature Environnement (www.fne.asso.fr/)

La SEPANSO se tient à la disposition des différentes structures, collectivités locales, associations, organisations professionnelles désirant organiser des réunions publiques d’information et de sensibilisation aux enjeux de la Directive cadre sur l’eau. Vous trouverez aussi de nombreuses informations sur le site Internet de l’Agence de l’Eau Adour-Garonne.

Fédération SEPANSO : 1 rue de Tauzia - 33800 Bordeaux - Tél. 05.56.91.33.65

Agence de l’Eau Adour-Garonne : Rue du Professeur Lavignolle - 33049 Bordeaux Lac Cedex - Tél. 05.56.11.19.99   

DCE adoptée le 22 octobre 2000, mise en application en France par la loi du 21 avril 2004. 2 Cette convention porte sur l'accès à l'information, la participation du public au processus décisionnel et l'accès à la justice en matière d'environnement. Signée à Aarhus le 25 juin 1998.     Fédération des Sociétés pour l’Etude, la Protection et l’Aménagement de la Nature dans le Sud-Ouest Associations affiliées : SEPANSO Basque, Béarn, Dordogne, Landes, Lot-et-Garonne, L.P.O. Aquitaine, C.R.E.A.Q., Groupe de Recherche et d’Etudes des Mammifères Marins (G.R.E.M.M.S.), Aquitaine Alternatives, L’AGUNA., Secrétariat Maison de la nature et de l’Environnement.

Claude Bonnet.

L'association LES AMIS DE LA BRECHE propose :

                              samedi 22 octobre 2005 à 16 heures.
                   salle des conférences mairie de BAZAS.

Une conférence de SIMON CHARBONNEAU
professeur de droit de l'environnement

                    AGIR POUR L'ENVIRONNEMENT :
             30  ans d'actions  associatives  en GIRONDE.

Entrée libre, nous vous attendons nombreux pour cette rencontre,

Pour le Conseil d'administration de l'association LES AMIS DE LA BRECHE,
                   le Président,

                                                                                Dominique  LAMBERT

Information communiquée par la Communauté de communes du Canton de Villandraut.

Rencontre publique : 

Débat sur « Développement solidaire et responsable du territoire » 
et sur le « Service Public »

Jeudi 20 Octobre 2005 de 19h à 21h
à la salle des fêtes de Villandraut.

Le Conseil Général de la Gironde nous invite à débattre du Développement Durable et du futur Agenda 21 de la Gironde. L'Agenda 21 ou « ce qu'il faut faire pour le XXIème siècle », signé par plus de 180 Nations.

 Aujourd'hui, plus de 150 collectivités locales françaises se sont engagées en Agenda 21, dont 21 en Gironde. Elles sont toutes soutenues par le Conseil Général. La participation des girondins est un fondement de l'Agenda 21. 

Ces premiers forums seront donc l'occasion, pour chacun et chacune, de réfléchir et de débattre sur le Développement Durable et l'avenir de la Gironde.

Onze rendez-vous citoyens pour s'engager en faveur du Développement Durable sont au programme du 13 Octobre au 15 Novembre 2005.

Pour le Pays des Landes de Gascogne, la rencontre publique se déroulera le 20 Octobre 2005 de 19h à 21h, à la salle des fêtes de Villandraut. Débat sur « Développement solidaire et responsable du territoire » et sur le « Service Public ».

Vous trouverez le programme des forums Agenda 21, sur le site du Conseil Général www.cg33.fr et dans les bureaux de la Communauté de Communes du Canton de Villandraut, au 1 étage de la Mairie de Noaillan.

Sur le site du Conseil Général www.cg33.fr à propos de cet Agenda et du Développement durable:

"... Nous comptons sur votre participation active pour dialoguer, imaginer et élaborer ensemble un programme d'actions contre la dégradation de notre planète, la pauvreté et les inégalités.
- Le 18 octobre (19h-21h) Ã Langon - Centre culturel des Carmes
- Le 20 octobre (19h-21h) Ã Villandraut - Salle des Fêtes.."

Caroline Saïsset.

Bal trad

samedi 29 octobre 2005 à 21h

organisé par l'évolution sportive  Noaillannaise
à
Noaillan salle des fetes
animé par TRIO CH'OC

Buvette pâtisserie
Tel 05.56.25.38.61

Un cycle de Conférences géologiques est organisé en 2005, sur le thème général :

Exemples de ressources naturelles en Aquitaine ; géologie et substances utiles.

         Cinq conférences sont prévues le mardi, à 18h30, 
au siège des Sociétés Savantes, place Bardineau, salle de réunion au rez-de-chaussée; 
ENTREE LIBRE.

- mardi 18 octobre  2005:  

Les ressources en eau en Aquitaine (F. Huneau; ),

Frédéric Huneau et Catherine Ferrier sont Maîtres de Conf. à l'Univ. Bordeaux 1

Pout tout contact ou information, écrire à :

Dr Bruno Cahuzac, Maître de Conférences,
Université Bordeaux-1, UFR Sciences de la Terre et de la Mer,
Château Bonnefont, Bât. A37,  351, cours de la Libération,
33 405- TALENCE Cedex F.  Tél. : (33 5) 05 40 00 29 08.
b.cahuzac@ufr-termer.u-bordeaux1.fr

Dr Bruno Cahuzac.

Pour lire une présentation de cette asso dans un courriel précédent : Clicla.

La Machine à Lire.

La librairie vous invite à rencontrer en octobre.

Mercredi 12 octobre à 19h

Stéphane Lelong

Pour son ouvrage : "Un psychanalyste dans le secteur psychiatrique", publié aux éditions L'Harmattan.

Docteur en médecine et en psychologie, Stéphane Lelong est pédopsychiatre et chef de service au Centre Hospitalier de Jonzac. Il a déjà publié "Trauma et devenir psychique" (Puf, 1995) et "Fantasme maternel et folie" (L'Harmattan, 1998).

"Un psychanalyste dans le secteur psychiatrique est un pari qui semble aller à contre-courant de la modernité. La nécessité s'est donc imposée à l'auteur de témoigner de manière précise de sa position de psychanalyste fort atypique dans ce milieu hospitalier. En effet, en respectant le cadre et la formation initiale des soignants, avec l'assurance toujours fragile conférée par les fonctions de chef de service, Stéphane Lelong s'est risqué "du dedans" à rester sur le fil psychanalytique. Cette praxis en train de naître ne saurait être dans le prolongement ni des psychanalystes qui instituaient des cures dans un bureau calfeutré à l'HP, ni des psychanalystes "sans divan" qui se proposaient d'intervenir auprès de l'équipe pour soigner l'institution."

Vendredi 14 octobre à 20h30

"Ulysse"

Lecture par le comédien Frédéric Delhoume (Compagnie Gardel) et en anglais par Jill Faucher, à l'occasion de la Nuit des Libraires.

"Ulysse", de James Joyce, traduit sous la direction de Jacques Aubert (Gallimard).

"Joyce, le plus puissant phénomène littéraire dans la langue anglaise qui porte de nouveau, avec cette traduction, au paroxysme les capacités d’étrangetés et de rythme musical de la langue française." (Hélène Cixous)

Samedi 15 octobre à 14h

Hommage à Henry Bauchau

Il y a un an tout juste paraissait le dernier ouvrage d'Henry Bauchau, "L'enfant bleu" (Actes Sud)auquel nous consacrions une "vitrine" dans ce bulletin. Henry Bauchau vient de recevoir le Grand Prix de la Société des Gens de Lettres pour l'ensemble de son œuvre.

Poète, dramaturge, romancier et psychanalyste, né à Malines (Belgique) en 1913, il vit aujourd'hui à Paris.

Le Groupe Trait propose une rencontre autour du travail de cet immense écrivain avec Marie-José Grihom, Serge Bedère, Jean Broustra et Michel Demangeat.

Samedi 15 octobre à 15h

Mathieu Immer et Serge Creppy

Duo musique et textes en improvisation.

La rencontre d'une voix (essentiellement parlée) et d'une contrebasse, cherchant des lieux et des passerelles unissant musique et textes. Cherchant, à travers une formulation improvisée de l'écrit comme son et du son comme texte(s) - ou du moins comme langage - à dénuder la trame d'un discours dont l'enjeu n'est plus le sens, mais la cohérence d'une expression, la coexistence de voix.

Mathieu Immer

Né à Bordeaux en 1975. Mène en parallèle des études universitaires de Philosophie (à Bordeaux et Montréal), et l'apprentissage de la contrebasse en autodidacte. Cette proximité des mots et des sons ne sera jamais démentie, et reste aujourd’hui le lieu privilégié de son travail.

Il fonde en 2003 avec le bordelais Didier Lasserre (batteur, free jazz, improvisateur) le label Amor Fati qu'il dirige actuellement.

Serge Creppy

Né en 1977 à Strasbourg. Études de Droit et Sciences Politiques à Bordeaux. Débute, concomitamment à son cursus universitaire des travaux d’écriture.

Découverte de l’improvisation musicale, vif intérêt, travaille dans ce sens avec divers instrumentistes (saxophoniste, guitariste).

Prix de poésie de la Crypte d’Hagetmau pour un recueil intitulé “La ruine de Peter K.” (Publié en 2002).

Il rencontre ensuite les musiciens du Centre d’Improvisation Libre (C.I.L), plus spécialement Didier Lasserre (batterie). Il effectue lectures et improvisations en 2003 avec Christophe Carrère (clarinette), en 2003/2004 en compagnie de Didier Lassere et Mathieu Immer (contrebasse).

La rencontre est organisée par l'association Permanences de la littérature et les Librairies Atlantiques dans le cadre de la sixième édition de Ritournelles.

Mardi 18 octobre à 18h30

Nicolas Nercam

Autour de son livre : "Peindre au Bengale (1937-1977), contribution à une lecture plurielle de la modernité", publié aux éditions L'Harmattan.

Agrégé d'arts plastiques, Nicolas Nercam est docteur en Sciences de l'Art, chargé de cours à l'UFR des Sciences de l'information de la Communication et des Arts (université Michel de Montaigne).

"Ce livre porte sur l’analyse des évolutions des arts plastiques (plus particulièrement de la peinture) et de la réflexion esthétique des artistes du Bengale entre 1939 et 1977. La période historique considérée couvre les événements du combat anticolonial, de la guerre, de l'avènement de l'indépendance et de la partition, ainsi que des troubles sociaux des années soixante… L'indépendance acquise, le domaine artistique est libéré de l'obsession de l'affirmation d’une identité nationale. Une modernité "progressiste" voit le jour. Décomplexée par rapport à son héritage colonial, empruntant librement à la modernité occidentale, tout comme à l'art populaire bengali et revendiquant le contenu social et politique de leurs oeuvres, cette première génération de créateurs de la post-indépendance lance les fondements d’une modernité indienne soucieuse de revendiquer à la fois sa spécificité et son appartenance au monde contemporain."

Mercredi 19 octobre à 18h30

Christian Petit

Autour de son roman : "Le songe du Taj Mahal" publié aux éditions Fayard.

Né à Paris, Christian Petit a "fait la route des Indes" dans les années soixante. Docteur en ethnologie, diplômé des langues orientales, il a été chargé de mission Asie-Pacifique auprès du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement. Il a publié, entre autres, "Bombay Victoria" (Zulma, 2001) et "Les cerfs-volants de Bénarès" (Presses de la Renaissance, 2004).

En 1605, Augustin Hiriart de Bordeaux a tout juste vingt ans et des allures de séducteur. Un matin, le jeune orfèvre est enlevé par des soldats et traîné jusqu'à Paris. Envoyé en mission secrète en Angleterre, il s’enfuit. Ses pas vont le mener jusqu’aux rivages de l’Inde où il mettra son génie au service du Grand Moghol

Christian Petit a imaginé ce roman d'amour et d'aventures, d'après les lettres d'un joaillier français du XVIIème siècle, dont le nom fut associé à la construction du plus célèbre monument du monde, le Taj Mahal.

Jeudi 20 octobre à 18h30

Liliane Giraudon, Mireille Grangaud, 

Josée Lapeyrère et Anne Portugal

Rencontre lecture autour de la publication d’un ouvrage à quatre mains.

Quatre des plus importantes voix de la poésie contemporaine ont correspondu librement au cours de ces cinq dernières années par messageries sur des sujets propres à leurs expériences sociales, politiques, artistiques, amoureuses et composent aujourd'hui, à partir de ce terreau iconoclaste, un livre commun aux parties disjointes, publié par la Biennale internationale des poètes en Val de Marne.

Michelle Grangaud : poète, membre de l'Oulipo, elle est née en 1941 à Alger et vit à Paris ; publications récentes : "Calendrier des fêtes nationales" (P.O.L, 2003), "Calendrier des poètes" (P.O.L, 2001), "Souvenirs de ma vie collective" (P.O.L, 2000).

Josée Lapeyrère : poète, elle vit à Paris où elle exerce la psychanalyse ; "Belles joues les géraniums" (Flammarion, 1994), "Entre le 2 et le 3", avec Thierry Cauwet, (Al Dante, 1999), "1 sur 0" (Ulysse fin de siècle, 2000), "La grammaire en forêt" (Farrago, 2003).

Anne Portugal est née à Angers en 1949. Elle vit et travaille à Paris et collabore à de nombreuses revues poétiques et littéraires. Elle a publié, entre autres, aux éditions P.O.L. : "Les Commodités d'une banquette" (1985), "De quoi faire un mur" (1987), "Le plus simple appareil" (1992), "Définitif bob" (2002).

Liliane Giraudon, née en 1946 est poète et traductrice et vit à Marseille. Elle a publié : "La réserve" (P.O.L, 1984), "La nuit" (P.O.L, 1986), "Divagations des chiens" (P.O.L, 1988), "Pallaksch, Pallaksch" (P.O.L, 1990), "Homobiographie" (Farrago, 2000), "La fiancée de Makhno" (P.O.L, 2004) et vient de faire paraître "Greffe de spectres" (P.O.L, 2005).

La rencontre est organisée par l'association Permanences de la littérature et les Librairies Atlantiques dans le cadre de la sixième édition de Ritournelles.

Vendredi 21 octobre à 19h45

Didier Coste

Pour son roman : "Days in Sydney", publiée aux éditions Noésis-Agnès Viénot.

Didier Coste en né en Dordogne en 1947 et enseigne à l'université Michel de Montaigne et à Sfax (Tunisie).

Il est l'auteur de très nombreux ouvrages, traductions, essais critiques, poésies, théâtre, fictions parmi lesquels : "Environs d'un temps, (Minuit, 1963), "Pour mon herbe", (Seuil, 1970), "La Lune avec les dents", (Minuit, 1963), "Je demeure en Sylvia", (Minuit, 1966), "Le voyage organisé", (Seuil, 1966), "Journal exemplaire", (Seuil, 1969), "Vita Australis", (Flammarion, 1981), "Le récit amoureux" (Champ Vallon, 1984).

"Dans la lignée des grands romans de ville, "Days in Sydney" se joue en contrepoint, alliant l'hyperréalisme du détail quotidien aux prestiges de la fresque narrative… Une ville-monde, l'insupportable beauté du réel, toutes les destinées possibles d'une nymphe de la rive et d'un Ulysse de pacotille s'y entrecroisent jusqu'à la fin." (Ronald Kapla).

La rencontre sera animée par Dominique Rabaté.

Samedi 22 octobre à 17h

Autour de Pierre Molinier

Avec Jacques Abeille, Pierre Chaveau et Pierre Petit.

Pierre Molinier, "Entretien avec Pierre Chaveau"(livre + CD audio)

Né en 1900, Pierre Molinier décide, après s'être essayé à la peinture académique, de "devenir lui-même" à l'âge de cinquante ans. On connaît la suite : adoubé par André Breton, il devient un artiste majeur du XXe siècle, tant par ses peintures que pour ses photomontages. Cet entretien avec Pierre Chaveau a été réalisé en 1972 dans la chambre-atelier du peintre à Bordeaux.

Jacques Abeille : "Pierre Molinier, présence de l'exil"

En Jacques Abeille, Pierre Molinier a trouvé la plume la plus intelligente, la plus belle et la plus troublante qui soit. Écrits entre 1966 et 2004, les six textes qui composent ce volume éclairent les multiples facettes du personnage Molinier.

Pierre Petit : "Pierre Molinier et la tentation de l'Orient"

Pierre Petit a bien connu l'artiste pendant les cinq dernières années de sa vie et s'emploie dans ce nouvel ouvrage à traquer les influences orientales affichées (dont sa liaison avec Emmanuelle Arsan est une forme d'incarnation) et celles, beaucoup plus secrètes, qui sous-tendent son imagination.

La rencontre est organisée par les éditions Pleine Page.

Le Cinéma à Captieux :  

Centre audiovisuel de Captieux.

Programme du 12 octobre au 9 novembre 2005.

 LES YEUX CLAIRS France 05 - 1h27

Comédie dramatique de Jérôme Bonnell avec Nathalie Boutefeu, Marc Citti, J. Rémy

Fanny n’a jamais été tout à fait comme les autres. Différente, mal regardée, mal aimée, elle vit encore chez Gabriel, son frère. Entre l’épouse de Gabriel et Fanny, l’inimitié a été spontanée. Face à une hostilité de plus en plus agressive, Fanny comprend qu ‘elle doit fuir, quitter la maison familiale et partir sur les traces de son enfance. Traverser la frontière et s’enfoncer dans la forêt.

« Une surprenante histoire d’amour magnifiquement filmée laissant le spectateur tout à son émotion »

PRIX DE LA SÉANCE : Tarif plein : 5 E / Tarif réduit* : 4 E  
CARTE DE FIDÉLITÉ : 5 films + le 6e gratuit - Tarif plein : 25 E / Tarif réduit* : 20 E
Tarif réduit* : demandeurs d’emploi, étudiants, enfants de moins de 12 ans
Répondeur Cinéma: 05 56 65 90 50. Mairie. 05 56 65 60.31     

Conférences: 

AQUAFORUM
 Conférences-Diaporamas-débats Grand Public:

 Rives d'Arcins, à Bégles, en bord de Garonne, 
derrière le Centre commercial: Rives d'Arcins 

tous les jeudi soir de 18h30 à 20h.

Des modifications de dernières minutes sont possibles

ENTREE LIBRE.

jeudi 13 octobre 2005

« La qualité bactériologique des eaux de baignade de la côte basque »

Peguy BERGERON et Michèle CAPDEPUY, Laboratoire d’Océanographie Biologique, Arcachon, Univ. Bordeaux 1

« Prévoir la qualité des eaux de baignade est essentiel pour gérer rationnellement fermeture et réouverture des plages et assurer la protection des baigneurs. La mise au point d’un modèle simple et pratique de surveillance permettra d’anticiper les risques de dégradation de la qualité bactériologique des eaux de baignade liés aux différents rejets dans le milieu marin, en définissant des seuils d’alerte, puis de confirmer ou d’infirmer ces alarmes à l’aide d’une méthode d’analyse rapide. »

jeudi 20 octobre 2005 

« Mer d’Aral : histoire d’une catastrophe ... »

Philippe LE COUSTUMER, Centre Géologie Appliquée, Univ. Bdx 1

« La Mer d’Aral est souvent citée comme la plus grande catastrophe écologique du 20ème siècle. Victime d’une planification agricole à courte vue, élaborée sans tenir compte des effets hydrologiques à long terme, cette mer intérieure a perdu les 2/3 de son volume, provoquant l’effondrement de l’économie locale et des graves problèmes de santé publique … » 

our tout renseignement :

OCEAN (Association loi 1901), 2 rue Sarrette 33 800 BORDEAUX.
Eric Veyssy    Directeur-Médiateur scientifique.     
Médiation des Sciences et de l'histoire des Environnements.
Tel-fax : 05 56 49 34 77 - Portable : 06 23 37 29 26
Mel: asso.ocean@wanadoo.fr
Internet : http:--www.ocean.asso.fr 

Le Ciron (rivière).

Le Ciron est à la cote de 15 cm. Température: 16°
Le niveau 0 étant l'étiage le plus bas repéré de 1990. Dernière des trois années sèches, 88, 89,90
Point de relevés, sis à 5.300 mètres du confluent avec la Garonne à vol d'oiseau soit près de 8.000 mètres au fil de l'eau.

A la suite des pluies du 8 au 12 septembre, soit 51 mm, la cote 27 fut atteinte le 12 septembre 2005.

Dépannage Informatique. Frédéric Flores Sos Depan. Info.05.57.31.05.38 / 06.65.26.45.42 floresfr@wanadoo.fr

Débarrassons caves, greniers, garages, maisons ou tout autre locaux. 

Avant de jeter n’hésitez pas à contacter Christian de LOS ANGELES, membre du club Informatique :  05 56 76 61 81

Passez vos annonces artistiques, culturelles, sportives, de loisirs, sociales et covoiturage sur le Web. 
Participer au covoiturage géré par Adiu : (adiu@adiu.fr) ou http://www.adiu.fr

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
Président Christian FLAGES    Tel: 05 56 76 61 98
E-mail: club.info.pujols@wanadoo.fr
Site: http:perso.wanadoo.fr-pujols-sur-ciron
Site: Vallee-du-ciron.com
Site: Cironsite

 Le webmixer
André COCHET
Tel: 05 56 76 63 12
ancochet@wanadoo.fr