Pujols d'hier et d'aujourd'hui.  

1885

Les leçons de morale et d'écriture occupent une place importante dans l'enseignement à Pujols sur Ciron. Mais également, "Le Tour de France par Deux Enfants" décrit les voyages et prolongent l'enseignement de la géographie tout en lui apportant une dimension morale.

1886

Construction d'une dépendance pour le stockage du bois et des denrées des Instituteurs.

1888

Elections municipales. Jean GUIASSE devient Maire de la' commune. Adjoint: Pierre CLAVERIE

Autres membres du Conseil Municipal : Osmin MYRAN, Jules AUDINE, LACOSTE Désir, Jean BOIREAU, CHEVEAU CHEVALIER, FABIUS, D. MINSANT, DUPIN Désir.

Construction d'un trottoir devant la Mairie.

1889

Service Militaire National. La durée d'Activité passe de 5 ans à 3 ans ; la "réserve d'activité" de 4 ans à 9 ans ; la "Territoriale " de 5 ans à 6 ans et la "Réserve Territoriale" de 6 ans à 7 ans.

Les séances du "Conseil de Révision", ainsi que le départ pour le "Régiment" sont selon des documents de l'époque un véritable rite pour les jeunes de notre village. L'Armée est pour eux l'occasion de voyages, de dépaysement, d'enrichissement. Ils passent une partie de leur jeunesse à l'Armée sans avoir le sentiment d'y perdre leur temps. L'esprit de l'époque est tel qu'ils ont la conviction d'accomplir un devoir essentiel. 

Les Instituteurs deviennent des fonctionnaires de l'Etat.

1890

Population Pujolaise : 765 habitants. 

Par rapport à 1875, baisse du nombre de métiers dans notre commune : 17 au lieu de 22. Mais il est constaté une progression du chiffre des agriculteurs et des tonneliers. 

Par ordre décroissant, voici quelle est la nouvelle répartition : 

174 agriculteurs ; 37 maçons ; 11 tonneliers ; 11 carriers ; 3 sabotiers ; 2 aubergistes (au bourg) ; 2 laitiers ; 2 boulanger un au bourg, l'autre à Mareuil, 2 charpentiers ; 2 forgerons ; 2 meuniers ; 1 épicier au Bourg; 1 boucher à Videau ; 1 menuisier ; 1 cordonnier ; 1 perruquier ; 1 ferblantier étameur.

COURREGES, Instituteur, habite le logement des écoles.

VERNET, Curé du village, habite le Presbytère.

PEYRON, cantonnier communal depuis une dizaine d'années.

La loi instaure le Syndicat de Communes.

1891

Elections Municipales Partielles. Six conseillers sortants : Osmain MYRAN ; Jules AUDINE ; Pierre CLAVERIE ; Jean BOIREAU CHEVEAU CHEVALIER et Fabius MINSANT. 

Entrent au Conseil Municipal : Jacques CONSTANT ; Paul CARREYRE ; Fernand TAUDIN Jules TENAUD ; Paul REGNE Léon CADILLON. Maire : Jean GUIASSE. Fernand TAUDIN devient adjoint.

Mareuil, quartier Pujolais de plus de 200 âmes, bénéficie d'une boite aux lettres. Quelques années plus tard, Jean DUBOS, sera le second quartier communal semblablement doté.

1892

Mouvement de la population. On enregistre cette année là, 10 mariages, 13 naissances et 10 décès dans le village.

Construction du chemin du marais.

Elections municipales : Jean BOIREAU devient Maire de Pujois. Fabius MINSANT est son adjoint. Autres membres du Conseil Municipal : Léon CADILLON, Jule AUDINE, Fernand TAUDIN, Jacques CONSTANT, Paul CARREYRE, Jules TENAUD, Francis BATAILLEY, Jean LACOSTE, Victor TALAZAC, Jean ESCUDEY.

Adoption d'un ensemble de mesures destinées à protéger l'agriculture.

Création de l'inspection du Travail.

1893

Etablissement d'une passerelle de Fer sur le Ciron afin de mettre en communication directe les villages voisins de Preignac, et Bommes avec le bourg de Pujols sur Ciron dont le marché attire un grand nombre de producteurs.

La municipalité crée une organisation médicale gratuite pour les indigents de la commune.

1894

Naissance de la Caisse des écoles à Pujols sur Ciron.

1895

Déplacement du marché communal. Nouvel emplacement : Au "Foirail".

Création d'une recette auxiliaire rurale des postes dans la commune.

Suite à la démission de Jean BOIREAU, Léon CADILLON devient Maire de Pujols sur Ciron.

1896

Elections Municipales. Maire Léon CADILLON Adjoint : Fabius MINSANT.

Autres membres du Conseil Municipal. Jean TENAUD, Jean BOIREAU, Jacques CONSTANT, Fernand TAUDIN, Jean LACOSTE, Fulbert CHEVEAU, Paul CARREYRE, Francis BATAILLEY, Pierre HAZERA, Victor TALAZAC.

1898

Très important legs testamentaire de Mr MYRAN à la "fabrique" de l'Eglise de Pujols sur Ciron.

La Viticulture Pujolaise traverse à l'instar de la viticulture girondine une des crises les plus aiguës occasionnée par la mévente de ses vins et l'avilissement de ses prix. Invasion frauduleuse de vins espagnols sur le marché girondin.

Première loi sur les accidents du travail.

1900

Elections Municipales. Maire Léon CADILLON. Adjoint : Fabius MINSANT.

Autres membres du Conseil Municipal : Jean BOIREAU, Jacques CONSTANT, Fernand TAUDIN, Fulbert CHEVEAU, Paul CARREYYRE, Eloi CHEVEAU, Francis BATAILLEY, Jean BINQUET, Pierre HAZERA.

Loi fixant la journée de travail à 11 heures, qui sera progressivement ramenée à 10 heures dans un délai de 4 ans. Rappelons que la journée de travail limitée à 12 heures datait de 1848.

L'alphabétisation est à peu près générale. A la veille de la Révolution Française de 1789, la moitié des français et le quart seulement des françaises étaient capables de signer leur nom sur un acte de mariage.

1901

Loi sur les associations leur accordant une entière liberté.

Loi sur l'acceptation des dons et legs par les Conseils Municipaux.

Jacques CONSTANT remplace Fabius MINSANT au poste d'Adjoint au Maire.

1902

Loi relative à l'administration financière des communes.

1903

Organisation de la première course cycliste dans le village mais également premier tour de France Cycliste.

1904

Elections Municipales. Fabius MINSANT devient Maire de Pujols sur Ciron. Adjoint : Jacques CONSTANT.

Autres membres du Conseil Municipal : Julien AUDINE, Raoul Delpech, Alban BOIREAU, Gervais ESCUDEY, Jean BOIREAU, Osmin MYRAN, Edmond PELLE, Fulbert CHEVEAU, Louis GUIASSE, Ferdinand TAUZIN.

1905

Un charron construit le Corbillard de la commune.

Depuis la création des foires et marchés à Pujols sur Ciron, il est procédé tous les cinq ans à l'adjudication aux enchères des droits de plaçage.

Démolition de l'ancienne Mairie menacée de ruine et construction sur le même emplacement d'un local pour abriter le corbillard.

Existence d'une porcherie à Cap de Hé.

Les rives des ruisseaux l'Arec et Tursan sont éboulées, dans un grand nombre de leur parcours. Il est procédé au curage des dits cours d'eau par les propriétaires riverains.

Loi sur les actions en Justice des communes.

La durée du Service Militaire est ramenée à 2 ans.

Loi sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat.

1906

Réparations urgentes à la Mairie et aux Ecoles : couverture, charpente et plancher.

Loi sur le repos hebdomadaire.

1907

Existence de chemins de processions.

Pose de dix bancs avec pieds en fonte sur la place du Marché à Pujols sur Ciron.

La passerelle en bois des "CHONS" menacée d'effondrement est remplacée par une passerelle en fer.

Réparation de la passerelle en bois de "COMBELLE".

1908

Elections Municipales. Maire Fabius MINSANT. Adjoint Jacques CONSTANT.

MYRAN, Eloi CHEVEAU, Julien AUDINE, Edmond PELLE, Alban BOIREAU, Pierre HAZERA, Paul CARREYRE.

1909

Un service d'assistance aux vieillards, infirmes et incurables est créé dans la commune.

Le téléphone fait son apparition dans le village. A cet effet, location d'un local dans le bourg et nomination d'une gérante. Monsieur MOURA devient le porteur de dépêches téléphoniques.

Réfection de la charpente et de la couverture de l'Eglise.

1910

Projet de construction d'un lavoir à Cap de Hé, au lieu dit "La Fontaine de Cap de Hé", ce projet est déclaré d'utilité publique.

Loi sur les retraites ouvrières.

Instauration du Code du Travail.

Les exploitants agricoles de notre commune bénéficient très lentement des progrès techniques. Mais ils sont soumis étroitement aux variations de la conjoncture qu'ils ressentent durement. Ils sont très attachés à leurs terres et assez individualistes. Le travail se fait en famille et l'autorité du Père reste grande.

L'instituteur du village est considéré à l'époque comme un personnage important dans le village. Sa longue permanence et sa qualité de distributeur du savoir lui donne un rôle de notable local. Les instituteurs qui se sont succédé dans notre village jusqu'en 1940 ont tous occupé la fonction de Secrétaire de Mairie.

1911

Les ouvriers vignerons du villages réduits au chômage par suite du vignoble dévasté par de violentes grêles ont pour mission d'entretenir les chemins ruraux de la commune.

1912

Elections Municipales. Maire Fabius MINSANT.Fulbert CHEVEAU devient son adjoint.

Autres membres du Conseil Municipal : Jean BOIREAU, Ferdinand TAUZIN, Eloi CHEVEAU, Edmond PELLE, Maximin BOIREAU, Paul CARREYRE, Osmin MYRAN, Charles TAUDIN, Pierre AZERA, LANUSSE.

Construction du lavoir de Cap de Hé.

Achat du terrain à Mr MINSANT pour agrandissement de la Place de la Mairie.

Quelques bicyclettes dans notre village. Mais encore très peu nombreuses. Elles permettent à ceux qui en possèdent la facilité des contacts avec les villages voisins.

L'ascension sociale favorisée par l'enseignement, une mobilité plus grande et un changement de mentalité facilitent l'exode rural. Pujols sur Ciron est confronté à ce genre de situation. Sa population continue à décroître. L'attrait de la ville, d'une vie apparemment facile contribue au départ de certains de ses habitants.

Malgré cette ouverture vers la ville, la vie Pujolaise reste profondément attachée à ses traditions. Les journées de travail sont longues. Les femmes travaillent partout ; à la maison, elles s'occupent des vêtements, de la nourriture, des animaux ; elles participent également aux travaux agricoles.

Dans l'habitat, point d'électricité, mais une lampe à pétrole. Pas d'installations sanitaires.

L'alimentation des Pujolais. On consomme du porc, de la volaille, des légumes, des oeufs, riz et pâtes ont également fait leur apparition sur la table du Pujolais.

Les préoccupations et l'intérêt des Pujolais se portent sur des sujets très proches de la vie de tous les jours : le temps, une mauvaise ou une bonne récolte, les commérages du village.

Les marchés et les foires ont dans la vie Pujolaise une importance que seules diminueront quelques années plus tard les facilités de déplacement et de transport.

Ces foires qui sont mentionnées sur le calendrier des postes et ces marchés sont en quelque sorte les poumons de Pujols sur Ciron. On y apportent quelques volailles, des oeufs, des fruits, des légumes. Les cafés à cette occasion regorgent de monde. Les gens abandonnent pour un temps l'ambiance tranquille et monotone de la vie du village. Car, hors quelques occasions, les loisirs sont limités. Le Dimanche, la messe est l'instant de "retrouvailles" pour d'assez nombreux pratiquants, à l'époque. Aucune activité sportive. En dehors de la fête locale, de bals périodiques, les seules interruptions à la vie quotidienne de travail sont les événements naturels : naissances, mariages, décès, fêtes de fin de vendanges; "tuailles de cochons" faits d'interminables repas.

1913

La durée du Service Militaire passe de deux à trois ans.

Restauration et agrandissement de l'Eglise. Les pierres utilisées pour les travaux proviennent des carrières de Pontbreton, Frontenac, Pujols et Bommes.

a) les pierres de Pontbreton qui sont des pierres de taille dures sont employées en élévation comme premières assises clocher, fût (corps d'une colonne entre la base et la chapiteau) porche, portail d'entrée, arceaux, corbeaux en tercé, fonts baptismaux, piliers, fenêtres et arcs des fenêtres, niches. L'escalier extérieur, comportant 27 marches est également constitué de pierres de Pontbreton.

b) les pierres de Frontenac sont employées pour les têtes et rampants des contreforts, mais aussi pour les socles des poteaux du porche.

c) Les pierres de Bommes sont employées au doublage des pierres de Frontenac clocher) et dans certains travaux de maçonnerie. Les poteaux du porche sont en chêne ; les fermes et chevronnage en pichpin ; les chevalements du beffroi et la charpente du clocher en sapin rouge.

La fête locale se déroule pour la première fois en deux jours.

Une allocation est versée par la commune aux familles nombreuses ainsi qu'un secours aux femmes en couche selon les exigences d'une nouvelle loi.

1914

Le 9 mars le Conseil Municipal de Pujols sur Ciron décide à l'unanimité de remettre sa démission collective au préfet après la décision prise par le syndicat de Sauternes de refuser à notre commune le droit de donner à ses vins l'appellation "Pujols Sauternes".

D'autre part, les pouvoirs publics se désintéressant plutôt de cette affaire n'ont pris aucune mesure nécessaire. Pourtant un récent jugement confirmait ce droit arbitraire et abusif.

Voici quel sont les arguments avancés par les élus Pujolais.

1) "Sauternes est considérée comme une région et non comme une commune".

2) "Ils ne saurait appartenir à un syndicat de propriétaires intéressés de délimiter la dite région au mépris de tous droits".

3) "'Une portion importante des vins ci-nommés Haut-Barsac Sauternes est récoltée dans Pujols par des propriétaires domicilies à Barsac. Tandis que les vins récoltés dans Barsac par des propriétaires domiciliés à Pujols se voient refuser le droit de l'appellation de Pujols-Sauternes ou de Barsac".

4) "Il en est de même, mais en proportion moindre pour les communes de Preignac, Bommes et Sauternes."

5) "La nature des terrains est partout la même. Les vignes sont plantées des mêmes cépages. Les méthodes de vinification sont identiques".

6) "Il y a quelques années encore, Bommes prenait tous ses acquits à Pujois ; les vins de ces deux communes étaient également appréciés, la préférence allant même aux vins de Pujols".

Création de l'Impôt sur le Revenu.

2 Août : Ordre de Mobilisation Générale. Notre commune va vivre le temps de la Grande Guerre. Beaucoup de Pujolais quittent leur village pour défendre leur patrie en danger. Guerre atroce qui aura fait à l'heure du bilan de très nombreuses victimes.

1915

Du Conseil Municipal démissionnaire, seuls restent en place le Maire et l'Adjoint pour l'administration de la commune.

Exploitation et vente de bois communaux. Les poteaux de pins sont transportés au Port de Barsac pour être acheminés par voie fluviale.

1916

Constitution et fonctionnement d'un Comité d'Action Agricole dont Fabius MINSANT est le président. Ce comité est composé de sept membres.

L'Instituteur du village est Monsieur DUBOIS.

1917

Fulbert CHEVEAU devient Maire de Pujols sur Ciron. Adjoint : Eloi CHEVEAU.

1918

La signature de l'Armistice, le 11 novembre, met fin à un terrible cauchemar qui aura duré quatre longues années.

Importantes inondations dans le village.

Sur le plan national, situation catastrophique de notre monnaie.

1919

Elections Municipales du 30 Novembre. Maire Fulbert CHEVEAU. Adjoint: Eloi CHEVEAU.

Autres membres du Conseil Municipal : Paul CARREYRE, Xavier BATAILLEY, Maximin BOIREAU, Lucien TAUZIN, Simon MOURA, Abel BERNADET, Théodore ESPAGNET, Jules LACOSTE, Ferdinand AUDINE, Charles TAUDIN.

On évoque les absents. Les enfants de Pujols morts pour la France en 14/18 forment une longue liste. Un peu partout , on édifie le monument du Souvenir. On y pense à Pujols, le projet se réalisera très vite.

Loi fixant la journée de travail à 8 heures par jour.

Loi sur les pensions de guerre.

Loi sur les appellations d'origine concernant les vins.

Mr et Mme CARRIE, nouveaux instituteurs du village jusqu'en 1925; Mr CARRIE assure également la fonction de secrétaire de Mairie.

1920

L'euphorie qui suit la victoire est bien naturelle. On sort d'un abominable cataclysme et chacun aspire à la paix, au bonheur.

La durée du Service Militaire est réduite de trois a un an.

1921

Les gelées printanières causent d'importants dégâts au vignoble Pujolais.

1922

En avril, inauguration du Monument aux Morts de la Grande Guerre. Présence de M. Le Sous Préfet, de l'Abbé Beylard, des Instituteurs M. et Mme CARRIE, de M. Le Maire accompagné de son Conseil Municipal et de nombreux Pujolais.

Ce monument érigé en 1921 porte les inscriptions suivantes

"Hommage de Pujols sur Ciron à ses enfants morts pour la France". Figure sur la pierre une longue liste de noms. Vingt cinq Pujolais tombés au Champ d'Honneur.

1923

Nomination de Mme TALAZAC à la recette auxiliaire des Postes.

Loi sur les appellations d'origine a mis les propriétaires de Pujols sur Ciron dans l'obligation de déclarer leur récolte sous une appellation d'origine déterminée. Persuadés que la similitude des produits déclarés à Pujols sur Ciron avec ceux récoltés dans les communes affiliées au syndicat de Barsac Sauternes, justifiait pour eux le droit à cette appellation Sauternes, tous les produits des propriétaires récoltants de Pujols sur Ciron furent déclarés sous l'appellation Sauternes. C'est tout à fait par hasard que trois propriétaires Pujolais furent cités devant le Tribunal de Grande Instance de Bordeaux.

Attaquer ces propriétaires et obtenir contre eux l'interdiction de se servir de cette appellation d'origine équivalait à en priver la commune de Pujols sur Ciron toute entière. La commune est intervenue en appel et a supporté en toute justice l'intégralité des frais du procès.

1924

Dans le but d'entreprendre une propagande active auprès des autorités et les assemblées élues du département, il est fait imprimé une circulaire exposant la situation ainsi créée à la commune au point de vue appellation d'origine par la loi de 1919 et les jugements qui ont été rendus. Une carte montrant l'amalgame complet des deux communes de Barsac et Pujols au point de vue viticole est jointe à cette circulaire.

M. MALLET est le Garde Champêtre et cantonnier de Pujols sur Ciron.

1925

Le Conseil municipal adresse sa démission au préfet. Il considère que le préjudice énorme causé par l'absence d'une appellation d'origine légitime pour les vins de Pujols ne fait que s'accroître et que le soutien des pouvoirs publics est pratiquement inexistant.

Premier Journal parlé à la T.S.F.

M. et Mme MOMBET sont nommés Instituteurs de Pujols sur Ciron. M. MOMBET occupe également la fonction de secrétaire de Mairie.

Elections Municipales: Maire Fulbert CHEVEAU. Adjoint Lucien TAUZIN.

Autres membres du Conseil Municipal : Jules LACOSTE, Camille DESQUEYROUX, Abel BERNADET, Théodore ESPAGNET, Maximin BOIREAU, Jean TAUDIN, Xavier BATAILLEY, Simon MOURA, Jean LACOSTE, Ferdinand AUDINE.